**Aaron Thomas Webber avait retrouvé la mémoire lors du tremblement de terre. La vue de la mort de Alice et de la colère de son frère l’avait d’une certaine manière réveillé. Il savait très bien que les derniers mois avaient très dûr, mais maintenant qu’il pouvait reprendre sa vie, il allait retourner vivre chez lui, par contre, Jared n’allait pas bien du tout depuis le décès de sa petite amie. Il n’acceptait pas du tout la mort de celle-ci et croyait même qu’elle était toujours en vie. Il était dans une sorte de bulle hallusinatoire, ce qui faisait plutôt peur au rouquin qui devait constamment suivre l’homme. Red conservait les choses de Alice, il appelait pour confirmer ses rendez-vous à l’hôpital ou bien pour ses magasines de décoration. Il demandait une assiette pour la brunette lorsqu’il se rendait au restaurant, c’était très triste de le voir ainsi surtout que Lee était un homme plutôt fort habituellement. Aaron passait donc beaucoup de temps là-bas pour l’aider, il lui préparait ses repas, ce qui était également une bonne façon de le remercier pour tout ce qu’il avait fait pour lui lorsqu’il n’avait plus de mémoire. Ce soir-là, Aaron était chez lui. Il avait vu sa voisine Linda dans la journée et elle lui avait témoigné la joie de son retour dans le quartier, ce qui était partagé pour le rouquin qui adorait sa voisine, une femme très gentille. Enfin, Webber complèta un bouquin d’amour qu’il avait acheté au début de la semaine avant de se mettre au lit, mais quelques heures plus tard, un bruit se fit entendre au rez-de-chaussée. Webber sursauta. Il attrapa un bibelot qu’il possédait près de sa table de chevet et descendit à l’étage, lorsqu’il vit la silhouette d’un homme fouillé dans sa cuisine, il retenue son souffle et sortit rapidement. Il avait bien trop peur. L’infirmier débarqua chez Linda, il était onze heures, c’était tard, mais pas aussi pire que la mi-nuit. Il frappa avec insistance et sonna à la porte, tenant son bibelot bien fort dans ses mains au cas où que le voleur se pointerait pour l’abattre.**

Au voleur !

Ce soir là, Linda était chez elle tranquille à se passer des dvds. Son compagnon était parti voir un match de foot avec Noah. Les deux avaient cette passion en commun. Elle aurait bien invité Cassie, sa jeune sœur, mais la jolie bossait au Reaper. Elle se donnait sans compter pour son entreprise personnelle. Elle y mettait du sien et ne vivait que pour ça. D’ailleurs, elle délaissait pas mal de choses mais Line ne s’en mêlait pas. Le principal était son bonheur. En bossant ainsi, elle paraissait rayonnante et fière alors la blonde l’encourageait. La jolie était donc seule et elle s’était organisée une soirée pépère. Le calme régnait sauf au moment où Line eut l’idée idiote de se mettre un bon film d’horreur. Le femme ne faisait que sursauter. Ce n’était décidément pas pour elle. Le pire fut vers 23h, on vint sonner à sa porte. Qui était-ce ? Ce grand monsieur en noir avec un masque blanc ? Linda devenait un peu parano comme toute personne qui flippe en regardant ce genre de film. Elle alla tout doucement ouvrir la porte. Le stress montait en elle. Elle ouvrit brusquement comme pour faire peur à l’assaillant. Elle cria bêtement, happée par l’effet de surprise.

- Aaron, entre ! Elle l’avait vu plus tôt dans la journée et lui avait parlé de son bonheur de le revoir ici. Elle s’inquiétait pour lui qui avait eu à vivre de sales épreuves. Le rouquin semblait apeurée et il tenait un objet bien en main. Qu’Est-ce qui se passe ?

**Au moins, ça ne prit pas beaucoup de temps avant que Linda vint ouvrir au pauvre Aaron qui était habillé de son petit pyjama de soi bleu et mauve et d’une paire de pantoufle en flanelle qui allait également avec l’ensemble du coucher qu’il s’était fait commandé il y avait quelques semaines. Le rouquin tenait toujours son bibelot en céramique bien durement dans ses mains, c’était sans doute le stress qui l’amenait à agir ainsi. Le roux ne savait tout simplement ce que voulait ce voleur, mais une chose était certaine, il avait peur et avait besoin d’aller chez un voisin pour appeler la police. L’infirmier borda un petit sourire lorsque sa voisine ouvrit finalement. Il voyait les reflets de la télévision au loin, elle ne devait pas dormir. Ce qui était une bonne chose, surtout qu’il avait choisis la porte arrière pour ne pas éveiller les soupçons du cambrioleur. Aaron tremblait de partout. Il entra dans la maison de Linda comme elle venait de lui proposer et referma rapidement la porte derrière lui. Sa voix était saccadée et ses membres tremblaient tellement qu’il avait de la misère à se contenir. Il regardait Linda, presque en larme.**

« Linda.. Je .. Je m’excuse de te te te te déranger à cette heure... Il y a un intrus dans ma maison, j’ai terriiiiiblement peur ! Aide moi.. »

**Il avança d’un pas, mais sentit ses jambes ramollir L’homme tenait toujours son « arme » en main, mais quand même, il n’avait presque plus la force de rester debout. Le roux se mit aussitôt à claquer des dents et s’appuya contre le mur pour ne pas tomber. Il n’avait jamais vécu quelque chose d’aussi stressant, mise à part les deux fusillades où il avait été victime... Sans oublier le tremblement de terre et l’incendie, mais là, c’était totalement autre chose. Il était seul et sans possibilité d’aide pour le moment, mise à part le voisinage. Il se sentait choyé d’avoir choisis cette maison en particulier. Webber adorait la vie de banlieue et Linda Williams était beaucoup plus sympa que le vieux motard qui vivait là précédemment.**

Linda fut surprise de découvrir Aaron, là, à porte à une telle heure. Il paraissait ne pas avoir besoin de sucre cette fois ci. A sa première visite, Line se souvenait que le gentil homme avait besoin de cet ingrédient pour exécuter une de ces recettes. Elle lui avait donné tout le paquet pour qu’il ne soit plus ennuyé par cela. Non ça semblait vraiment plus grave vu son expression. C’était même stressant. Le rouquin n’était pas comme à son habitude mais la femme attendait de savoir de quoi il en retournait car ça pouvait être futile. La belle ne savait pas tout de son état, enfin quasi et ça tombait il avait des séquelle de l’accident du Vintage Hôtel. L’infirmier était vêtit de son pyjama et de pantoufles étonnantes, tout comme celui qui les arborait. Quel numéro ! Il semblait que sa visite ne soit pas tant anodine. La grande blonde avait un peu peur. Maintenant et elle avait raison. Heureusement, détail insignifiant, Linda était, elle, vêtit de vêtements potables pour recevoir : short et débardeur. Elle n’était donc pas gênée pour cela. Line fixait ce bibelot. Aaron s’y accrochait comme à une bouée. C’était étrange comme attitude … Le sourire du bel homme tempéra tout de même les choses. Il entra et ferma la porte pour être tranquille et parler à sa voisine. Il n’y avait aucun soucis. Line lui disait toujours de faire comme chez lui quand il était ici. La jolie flippait car elle voyait que Webber tremblait. Ce n’était pas bon signe du tout. Sa voix faisait peine à entendre.

- Aaron, calme toi. Pas de soucis. Ses yeux étaient emplis de stress et de « pitié » et sa voix de bienveillance. Un intrus ? Linda était étonnée maintenant. On appelle la police alors. Je suis là, je suis là. Elle l’assit dans le salon pour qu’il reprenne ses esprits. Raconte moi Aaron.

**Aaron Thomas Webber n’avait aucunement de la force et du courage. Il était un homme plutôt faible et fragile, dès qu’un danger se présentait, il se cachait plutôt que d’affronter le problème. La seule dose de courage qu’il avait eu dans ses souvenirs était lors du tremblement de terre, après avoir retrouvé la mémoire lorsqu’il avait découvert le cadavre de Alice dans les bras de son frère, il avait sortie son aiguille et l’avait embroché dans la jambe de la pauvre Lice pour conserver son cadavre et pouvoir faire des funérailles digne de son nom. L’infirmier ne savait pas si ce fut une bonne idée finalement vu que son frère Red était complètement digne depuis la mort de la brunette. Il l’imaginait toujours et ça contrariait beaucoup le jeune frère. Il se rappelait de l’enterrement ou Jared avait jeté le cercueil par terre, croyant à un canular, c’était horrible et très dur à vivre pour tout le monde. Webber n’était pas venu pour se genre de chose de toute façon, un intrus était dans sa maison et volait peut-être ses biens précieux comme des livres, ses cuillères en bois d’Italie ou bien sa collection d’éléphant en céramique, c’était horrible, il tenait à tous ses objets. Aaron hocha la tête d’un signe positif uniquement lorsqu’il écouta Linda qui voulait appeler la police. Il fit un léger sourire.**

« Merci... C’est ce qu’il faut faire, j’ai trop eu peur .. Moi tout seul à la maison... »

**Pendant que Linda téléphonait, Aaron se mit à fixer la boîte de papier mouchoir sur la table avec beaucoup d’insistance, ne sachant pas pourquoi, mais il l’a regardait, observant le détail des fleurs qui recouvraient le morceau de carton. Aaron détourna finalement le regard dès que Linda referma le combiné et dit.**

« C’est des chrysanthèmes.. J’aime bien ces fleurs, c’est plutôt décoratif, mais accompagné d’autres, ça rend un aspect chaleureux et vivant aux plates bandes ! »

**Évidemment, Aaron était dans la lune et plutôt perdu face à cette situation. Il n’avait donc pas posé de question sur le coup pour le téléphone.**

Aaron paraissait si attachant. Comment le rejeter. Le voir dans une telle détresse était fortement attristant selon Linda qui appréciait cet homme. Tout de suite, elle avait accroché à ce sourire gentillet et à ce caractère atypique. Elle se sentait chanceuse de posséder un tel voisinage. Pas tous ne pourraient s’en vanter. L'homme sympathique avait su être avenant et pas ennuyant lors de sa première rencontre avec la grande blonde. A cet instant, il l’inquiétait à dire qu’un voleur allait pénétrer chez lui. Le rouquin ne se sentait pas assez fort pour faire face à un intrus. Il avait ce petit côté faible mais mignon. L’homme ne paraissait pas être ce genre de gars qui aimait la bagarre. Il avait bien fait de toquer à la porte de sa voisine. Elle tenterait de l’aider et de faire au mieux.

- On va le faire alors. Vous voulez que je compose le numéro pour vous ? Ensuite vous pourrez expliquer tout vous-même. Je reste à côté de vous Aaron, dit-elle en tentant de le rassurer. Je comprends que vous n’étiez pas rassuré là seul. Vous avez prit la bonne décision en venant chez moi.

Line faisait le numéro. Ça sonnait et pendant ce laps de temps Webber entama une discussion bien étrange. Quel homme attachant une fois de plus !

- Je suis d’accord. Moi aussi j’aime ces fleurs et leur variétés de couleurs. Linda se surpris à réussir à parler d’autres chose que de ce cambriolage. En plus, le sujet était léger en somme. Vous croyez que ça va répondre ? Elle fila le combiné du téléphone dans les mains de Aaron.

Aaron se sentait faible et dépourvu de toute sécurité. Il regardait son amie Linda qui était très compatissante envers lui et prête à l’aider, ce qui était une bonne chose, sachant combien il avait eu peur lorsqu’il avait fait face à ce voleur. Sauf en cas de contraire, le voleur ne l’avait pas vu, Aaron avait quitté la maison sans faire de bruit, mais il ne savait pas du tout si le voleur pourrait faire d’avantage de dégât dans sa maison avant l’arrivée de la police. L’infirmier regardait son amie avec un petit sourire. « Oui, j’aimerais bien… si ce n’est pas trop te demander. » Aaron tremblait toujours. Il avala de travers et agrippa le combiné lorsque Linda Williams composa le numéro de téléphone. Il attendit qu’on lui réponde et se lança. « Aidez-moi ! Aidez-moi ! Il y a un fou, un cinglé qui est en train de voler chez moi, au 1012, Shotting Star Street ! Venez toute suite, c’est grave VITE ! » Hurla le rouquin, rempli d’une panique immense. Il n’arrivait pas à se contrôler de balancer n’importe quoi à la réceptionniste qui lui demandait bien que mal de se calmer un peu. Le rouquin finit par accepter et raccrocha la ligne rapidement. Son souffle était saccadé, mais il respirait. Le rouquin regarda ensuite son amie et lança un profond soupir.

« Mon dieu, qu’est-ce que je vais faire, j’espère qu’ils ne toucheront pas à mes bibelots de licornes, ils sont précieux pour moi ! » Il posa une main sur sa bouche de stupeur, jetant un coup d’œil par la fenêtre pour observer les ombres de sa maison.

Linda n’aimait pas le fait de voir son cher voisin si mal à l’aise. Elle voulait que ce vandale s'en aille illico presto sans rien emporter avec lui. Utopie complète. La femme comprenait Aaron car si elle-même, elle aurait eu affaire à un voleur, elle n’aurait pas été sure d’elle. C’était facile de dire "Oui mais tu es un homme affronte etc .." mais le bel homme était lui même et il n'avait pas l'étoffe de combattre. Il était plus doux que cela et bien au dessus de tout ce genre de comportement. "Peace & love", ça lui convenait bien plus. Il était si adorable. Pas le genre à attaquer au hasard. Ce n'était pas son univers : la violence, la débauche... quand on le connaissait on le savait. Il était peut-être une proie facile mais son intelligence aurait raison du bandit car il avait su aller chez sa voisine pour avoir de l'aide, pour appeler les policiers. La peur aurait sûrement gagné Linda et la panique aurait immobilisé la femme tétanisée. La blonde ne recula pas devant la demande de soutien de Aaron. Elle tentait même de faire au mieux.
Le rouquin se attela à dire ce qu’il avait à raconter au flics. On sentait dans son ton de voie la peur, l’impatience , le ras le bol. Le pauvre était en pure panique et il avait hâte que ce dingue déguerpisse ! Linda lui caressait le bras pour le rassurer. Elle restait là à ses côtés. Il fallait qu’il respire et se calme tranquillement.

- T’en fais pas. Le plus important c’est que tu sois sauf. Viens te poser un peu. Aaron regarda par la fenêtre. Line se mit avec lui à épier un peu.

Les mains du jeune Webber tremblaient à vives allures. Le pauvre ne savait plus comment réagir, il sentait son cœur s’emballer très rapidement. Il voyait bien que la police était en route, mais il s’inquiétait tout de même autant pour sa survie, bien qu’il soit chez sa voisine, que pour tout ce que possédait l’infirmier chez soi. Il avait beaucoup d’objets de valeur, des trucs de collection ou bien des souvenirs sur lequel il tenait beaucoup. Il était blanc et en sueur, l’homme ne savait tout simplement pas comment faire face à cette histoire calmement, pourtant il était infirmier et vivait souvent des situations de stress intense dans son boulot. L’homme tenta de reprendre son souffle, mais ça lui faisait mal, il avait une boule insoutenable à l’intérieur. Linda Williams tenta de le rassurer, ce qui était une bonne chose. Il fit un faible regard en sa direction et se posa finalement sur le banc. Il commença par étaler ses mains le long de ses genoux et fit de même sur ses joues chaudes ensuite. Il observait son amie et voisine et dit. « Merci beaucoup d’être là Linda. Je t’aime beaucoup ! Tu es une femme vraiment réconfortante et je suis ravi de t’avoir comme voisine ! J’espère que tu ne déménageras pas, tu me fais sentir bien, si j’ai un problème, je peux compter sur toi ! » et le rouquin se glissa pour faire un grand calin à la jeune blonde. C’est alors que le bruit des syrènes se firent entendre. Aaron leva les yeux et crispa d’un coup. « Ah non. J’ai peur. Regarde, il est là-bas, il veut sortir dehors ! QU’EST-CE QU’ON FAIT !! QU’EST-CE QU’ON FAIT ! » Lança le rouquin en panique, les mains affolés en l’air.

Linda était beaucoup plus calme que Aaron qui tremblaient. Il avait peur pour ses affaires et il avait aussi craint pour son matricule. Heureusement là il était à l’abris, plus que chez lui. Il avait bien fait. Il aurait pu se faire attaquer …Idée peu réjouissante. La blondinette était rassurée de savoir qu’il était venu la trouver. Ok, elle ne ferait rien de plus. Elle ne pouvait qu’appeler les secours et attendre mais au moins elle pouvait aider un peu et Aaron ne restait pas seul. Il n’aurait certainement pas su se défendre. Le bel homme était naturel et très calme. Il n’était pas dans ses habitudes de se rebeller. La police s’en chargerait. Ils le coffrerait et le rouquin serait tranquille. En espérant qu’il ne perde rien. Il tenait trop à ses objets. Pour lui, tout avait sa valeur. Linda trouvait cela futile mais elle n’avait absolument pas l’envie de juger. Elle le comprenait. Elle craignait que ce qui avait de la valeur soit subtilisé. Ils ne pouvaient que patienter et observer discrètement. Line servit un verre d’eau à Aaron, pendant qu’il était assis, pour qu’il se reprenne. Il fallait qu’il soit plus zen. Le gentil toucha beaucoup la professeur de sport avec ses paroles. Il semblait sincère et de plus il pensait la même chose qu’elle car elle appréciait ce dernier et elle était si heureuse de l’avoir prêt d’elle.

- De rien Aaron. Je ne bougerai pas de sitôt. Tu auras encore affaire à moi longtemps. Elle serra son voisin dans ses bras. Cette étreinte fut le témoin de leur amitié réciproque. La grande blonde dit en même temps. Je t’aime beaucoup et t’en fais pas-tu peux compter sur moi ! C’est certain. Je me sens chanceuse. T'es le meilleur des voisins.

Le câlin fut écourté à cause du bruit des sirènes. Ça y est les flics étaient là. Aaron entra dans une panique car il aperçut le voleur qui tentait de partir. Il ne savait pas comment réagir.

- On n'peut rien faire. Sortir les prévenir serait dangereux. Restons tranquille. Ils vont le coffrer, c'est évident. Line apparaissait moins sur d'elle. Tu as une idée ?

Aaron paniquait complètement. Il tremblait de tous les côtés, mais il se sentait malgré tout en sécurité avec sa voisine Linda. Elle était réellement très gentille, elle n’était pas seulement cela, elle était compatissante, belle et amicale. Il s’agissait d’une chouette personne avec lequel Aaron s’entendait bien. Il pourrait surtout être un très bon ami, malgré qu’en ce moment, ce n’était pas le moment de penser à cela. Le roux se mordilla les ongles. Il jeta un coup d’œil à travers la fenêtre, c’est à ce moment que les policiers débarquèrent et réussirent à attraper cet homme. Aaron hurla. « Ouais, regarde Line, il est là, ils l’ont coffré ! » Le rouquin se retourna et sauta dans les bras de la jeune femme, lui souriant de bonheur, il se retira et l’observa droit dans les yeux de manière amicale et posé. « Tu es aussi ma voisine préférée tu sais, les autres ne sont pas aussi sympathique que toi et je n’ai pas hésité à venir ici, parce que je sais que tu es gentille ! » Dit-il L’homme prit la main de Line et alla jusqu’à la porte pour recevoir les policiers. L'homme se sentait plutôt mal à l'aise. Il tremblait toujours et ne savait même pas s'il réussirait à parler devant l'équipe de policier qu'il y avait dehors. L'homme avait besoin d'un peu d'aide de la part de sa voisine pour passer à travers cette histoire. Il souhaitait surtout que rien d'important n'aille été dérobé ou brisé, on sait jamais dans ce genre de situation.