- Merci. Déb expliqua à June comment elle et son copain s’étaient rencontrés. La femme savait pas mal de choses sur le couple car Zach lui en parler mais entendre tout ça de la bouche de la belle Déborah était plaisant. Ça faisait deux avis et ça augmentait l’intérêt de la conversation. C’est beau ça, même si ça manque de romantisme le fast food, plaisanta-t-elle. Vous avez vite accroché. Je sais que Zach aime la musique donc ça a du lui taper à l’œil le fait que tu joues de la guitare. Bon après c’est pas tout il y a l’être qui compte aussi.

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Dossier sans échantillon reçu

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- Une rencontre et un nouveau départ [Riley Thompson]

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SMALLVILLE 05
CASTLE 37
DESPERATE HOUSEWIVES 21
ONCE UPON A TIME 15
CRIMINAL MINDS 22

at 10|9c on ABC

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Spoiler:

Mit en Spoiler car ça déforme tout

*holds up hands and waits for Mum Tess to lift him up*

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... people feel lucky when they get to hang w me ...

Jessie J - Do It Like A Dude

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Brett connaissait mieux sa fille qu’il n’y paraissait mais ce, à peu de choses près. Il oubliait qu’elle avait envie de profiter de sa jeunesse. Mise à part ses soucis avec ses parents, il n’ y arrivait pas toujours. Alors parfois elle faisait abstraction de notions principales. La blondinette comprenait la plupart des choses plus vite que la moyenne. Parfois, c’était frustrant: elle sentait qu’elle poussait des étapes, qu’elle grandissait trop vite. Au lycée aussi elle s’ennuyait, elle était en avance sur le programme. La belle acquiesça simplement aux dires de son paternel. Ce dernier avait raison, sa fille faisait partie de la bonne catégorie: les gens populaires et adulés. Brett était évasif quand à la question bien ciblée de l’adolescente. C’était dans ces moments là qu’elle le trouvait assez plat. Le sujet était intéressant, pourquoi l’éviter? Il devait certainement ne pas en discuter avec sa progéniture.

- J’ai déjà vu cela aussi: des gens qui sombrent face aux regards des autres. J’en vois tous les jours enfaite. Les nerds sont les pires pour cela. Après ça crée de grave soucis: retrait de la société donc marginalité, haine contre tout et rien, des problèmes de santé comme la boulimie, l’anorexie, etc etc. C’est triste. Mais les épreuves sont là pour te faire grandir c’est bien connu. Elle sourit. Quelles choses tu aimes le moins? Papa je pourrais formuler la même réponse que toi. Excuses-moi si je suis dure. J’ai envie de mieux te connaître. Ils revinrent au sujet des lycées. Rien ne changera papa, c’est pire à l’université avec les confréries d'étudiants. Elle marqua une légère pause, intéressée par le parcours de son géniteur. Les études c'est bien, tu es la première personne que j'entends dire le contraire, pourquoi tu dis cela? Tu as connu une erreur de parcours, imprévue: moi. Alors, je comprends ton point de vue mais un diplôme en poche: je ne vais pas cracher dessus. Je ne sais pas ce que je souhaite faire. J’y ai pas réfléchi. La suite la fit rire. D’accord. Avec plaisir papa, j’irai courir avec toi! A présent, les préoccupations de la famille Evans étaient au centre de la discussion. Au moins, le travail ne vous bouffe pas. Etre tout le temps ensemble, même à la maison, ça pourrit les couples. Stella se rendit compte de sa vulgarité. Elle sourit l’air gêné, son père ne lui en tiendrait pas rigueur. Vous devriez y penser: embaucher quelqu’un. Ça vous donnera du temps libre à toi et à maman. Elle fixa le détective, elle était sincère depuis le début, sauf quand elle parlait de son copain. On a toujours vécu séparément. Mais il ne faut pas que maman et toi, vous jouiez votre vie à part. tu as le droit à des moments seul mais pas dans un bar avec des potes à la mentalité d’adolescent attardé. Sinon, la cigarette ce n’est pas grave, il y a pire de nos jours! Enfin… si tu veux arrêter pourquoi pas. La jeune fille voulait rassurer et ouvrir les yeux de son père. Brett faisait de même. Je vais faire des efforts. Je partagerai ma vie si cela vous intéresse. Elle sourit aux paroles du détective. Il le faut papa, la lucidité permet d’éviter les erreurs inutiles et les pertes de temps. On va y arriver! Moi j’y crois maintenant. Le père de famille reprit quand à sa culpabilité. Il ne comprenait pas les dires de sa fille. L’avait-il écouté? Elle passait outre tout cela. Tu avais le droit, c’est du passé. T’es bien content maintenant, non? Elle rit. Brett devint plus sérieux. La séquence "émotions" était ouverte! Crois-moi un peu et aies confiance en mes paroles. Je ne t’en veux pas. Et j’entends bien tout ce que tu dis. Il lui avoua un sentiment inavoué depuis seize ans. Il aimait sa fille comme père qui se respecte. Cette dernière fut émue, impossible de le cacher. Elle l’avait attendu ce moment. Je t’aime aussi papa. La voix de Brett tremblait. Stella avait envie de pleurer et de prendre son géniteur dans bras. Surprise: elle le fit soudainement. Elle se sentit idiote, elle n’avait pas l’habitude donc elle se stoppa vite ce flot d’émotions. Elle reprit la conversation. Ta vie aurait plutôt était meilleure. Mais n’allons pas rappeler les erreurs et les rêves inachevés. Elle sourit. Tu avais le droit papa! La jeunesse nous fait faire des conneries tu le sais. Elle lui fit un clin d’œil. Stella avait voler de l’alcool dans une superette par stupidité et influence. L’adolescente rit avec son père en évoquant Sarah. C’est exactement ça. Moi aussi papa. Elle leva les yeux au ciel. Je m’en mêle car je veux que cela s’arrange puis c’est pesant. Je souhaite que tout aille mieux entre vous, à quand les efforts? Elle le fixa, le regard amusé. Oui ne t’en fais pas. Euh… oui c’est le mercredi et le samedi après-midi: jamais je ne les louperais. Viens voir un des ces quatre, elle rit. La légèreté était de mise face à des sujets trop importants parfois.

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