Lost time is never found again. -Ben Franklin

just beautiful! Sara Ramirez has a sumptuous voice

Lost time is never found again. -Ben Franklin

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Lost time is never found again. -Ben Franklin

Oui méchant va ! C’est de ta faute. Tu peux pas me filer le don de l’écriture plutôt ? L’interrogea-t-elle en blaguant. En tout cas, je suis sure que ça le valait le détour et je suis bien contente que tu n’étais pas là. Grrr je me retiens de te frapper vilain ! Elle appréciait cet instant de délire pur.

June riait encore avec Riley. C’était reparti de plus belle. Comment feraient-ils pour s’en remettre ? June regardait ailleurs pour pouvoir reprendre. Elle mettait sa main devant sa bouche pour stopper le bruit du rire qui était bien audible. Le bel homme n’en pouvait plus. Il était marrant à voir c’était pour cela que le médecin ne le regardait plus. Il s’essuyait le visage avec des mouchoirs.

- J’ai trébuché et puis là j’ai lâché ton colis et hop je me suis retrouvée sur le sol comme une merde, pardon pour l’expression. Et voilou je sais pas d’où mon bouton s’est fait la male mais il est parti. Arrête de rire, elle captait que ça repartirait pour lui mais elle disait cela en rigolant. De toute façon elle était aussi à moitié en train de rire en racontant ses exploits.

June ne tenait pas à s’imaginer ce genre de situation. Riley n’avait pas d’enfants ça se voyait il pouvait donc insister de toute façon c’était pour rire. Avait-il une copine ? Voulait-il des enfants ? Il n’était pas bavard sur le sujet.

- C’est rien enfin c’est toi là qui mérite des baffes ? Mais… bah ça va il semble pas si traumatisé. Ça doit être l‘habitude ! Elle haussa les épaules pour appuyer sa plaisanterie. Ensuite, elle redevint sérieuse pour poser une question à son voisin. Tu veux pas d’enfants toi plus tard ?

Les écrivains et leur inspiration ; une curiosité qui intriguait pas mal Juny. Elle était passionnée par ces gens là si incroyable et elle en avait très peu rencontré. Connaître Riley sur ce nouveau jour lui plaisait bien. Il n’avait aucune définition de l’inspiration d’ailleurs. Il se dénigrait pas mal.Il pensait ne jamais le finir alors qu'il en était certainement capable.

- Je pense que la durée d’écriture n’est pas significative. C’est le contenu et si tu n’est pas prêt et que tu ne sais pas quoi écrire, faut attendre ! Ça viendra. Te dénigre pas tant. Aller moi j’ai confiance. Tu vas le finir. Si tu veux je passerai de temps en temps pour te pousser à t'y mettre. Je vais t'ennuyer dis donc au bout d'un moment.

- De rien, RileyChou, dit-elle instinctivement. C’était un surnom des plus débile mais c’était amical et June aimait donner des surnoms à ceux qu’elle estimait plus. Oui comment ? Réfléchis avant de faire une telle bêtise. Elle sourit sincèrement. Tu serais vraiment cruel ! Reste qui tu es. June se confia quelque peu et dit son avis sur la question. Pour être ami, il faut un moment se livrer à l’autre et j’avoue que être ton amie me plairait bien. Alors je trouve ton histoire très intéressante sinon je m’en irais bien plus vite que ça et j’éviterais la conversation.

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https://afterlife.forum-canada.net/t790p10-i-want-to-learn-more-about-you-riley#62184

La jeune femme avouait le comprendre parfaitement. Mais est-il réellement possible de comprendre autrui ? Le brunet n'en était pas certain. En effet, pour comprendre autrui, nous devons lui offrir notre totale disponibilité dans le présent. Nous ne devrons introduire ni condamnation, ni identification. Comprendre n’est pas juger, or il est si facile de préjuger d’autrui, plus facile que de chercher à comprendre ! C'est sur des pensées bien philosophiques que le jeune faucheur revint à lui. Décidément, il n'arrêtait pas de perdre le fil de la conversation, puis de le retrouver. Il était un peu ailleurs, il devait le reconnaître. Les choses ne s'arrangèrent pas lorsque la jeune libraire lui indiqua qu'elle avait bel et bien une employée, du nom de Cassie Williams. Le faucheur cru défaillir sur place et se demanda s'il avait bien entendu, ou si son cerveau lui jouait tout simplement un tour. Il était tellement obsédé par la jeune femme, que cela ne l'étonnerait même pas que son subconscient ait remplacé le nom de l'employée de Books Paradise, par celui de celle vers qui toutes ses pensées étaient tournées.
Pour ne pas paraître une fois de plus dans la lune, le faucheur se dit que tant pis il fallait répondre quelque chose, au pire s'il n'avait pas bien entendu, il passerait pour un idiot. Un sourire béhat se grave sur le visage de Riley, ce qui devait lui conférer l'air passablement crétin au passage.

« Cassie Williams dites vous ? Quelle coïncidence, c'est une amie... une très bonne amie même. »

Il réalisa soudainement, qu'il avait une cruelle envie de voir sa protégée... Maintenant qu'il avait déposé son annonce, il se dit qu'il serait sans doute temps de rentrer, pour se remettre à l'écriture de son roman. Il n'avait rien écrit de la journée, il devait remédier immédiatement à cela. Il dit alors.

« Je ne vais pas abuser plus longtemps de votre gentillesse. Je vais m'en retourner, mais avant toute chose, je vais refaire un peu le plein de lecture. Je n'ai plus rien à me mettre sous la dent. »

Il passa une seconde fois dans le rayon qui l'intéressait le plus et s'empara de toutes les nouveautés du moment. Autant dire qu'il venait de dévaliser le rayon polar. Une fois de retour en caisse, il déposes tous ses articles sur le comptoir, puis attendit patiemment que la brunette lui fasse payer le tout. Avant de partir, il lui serra la main, lui offrit un sourire chaleureux et lui qu'il avait été ravi de faire sa connaissance. Il sorti de la boutique et pris la direction de son logement.





"J'ai passé un annonce dans le journal, et j'ai reçu une réponse. C'est une femme... Elle se nomme... Attendez que je me souvienne... Cassie Williams!" 

Alice avait accumulé beaucoup d'heures avec l'ouverture du Books, la paprasse qui avait avec cela et le rétablissement d'Aaron. Certe, sur ce point, elle avait son cher amoureux Jared, pour qui s'occuper de son frère était quelque chose d'important. Mais pour la libraire, Lice était seule. D'accord elle avait le soutien de Lee, mais c'était à elle de gérer le temps qu'elle y passait, comment elle voulait gérer son commerce, et tout le tralala qui s'en suis. Alors, la new-yorkaise avait décider de proposer un poste comme vendeuse chez Paradise. C'était locasion pour elle de premièrement: donner un empli à quelqu'un qui n'en n'avait pas et deuxièment: c'était le temps pour elle de reprendre des forces. Tout ce qu'elle faisait c'était de stressé pour ci, et de stressé pour ça... Elle n'avait plus de temps pour elle. C'est pour ça qu'elle avait aussi hâte d'aller à cette soirée de la Saint-Valentin organisé par les propriétaire du Vintage Hôtel. C'était locasion pour Riley et Lee de se retrouvé en amoureux pour la première fois.

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Alors

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La jeune qui était derrière la porte était une inconnue pour Linda qui n’avait jamais vu ce visage auparavant, en tout cas elle n’en avait pas le souvenir. La belle semblait plutôt gênée car elle ne s’attendait pas à tomber sur la grande blonde. C’était pour Cassie qu’elle était venue apparemment. Elle tenait à la voir mais malheureusement pour elle la jolie était absente. Elle était avec son copain. Peut-être connaissait-elle Riley. Jade ne dérangeait absolument pas d’ailleurs, elle pourrait aider Lin à réparer son meuble tiens.

Maintenant que tu me le dis... Je crois bien que je me souviens de toi !

- Si je vois bien qui tu es. Je suis désolé de que tu retrouves Cassie dans cet univers là car ça veut dire que tu es … morte. Vous restez complice c’est génial ça ! Comment vous vous étes revues ? Jade allait s’en aller. Non iens, tu peux entrer si tu veux, lui dit-elle chaleureusement. J’ai besoin toi en plus.

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Brett Evans naquit le 13 Juin 1973, dans la paisible ville de Wilmington, située en Caroline du Nord. Issu d'une famille tout ce qu'il y a de plus banale, rien d'extraordinaire n'est à noter quant à son enfance. Il fut un enfant sans histoire notable... ni excellent ni mauvais à l'école, Brett était un élève sérieux qui prenait vraiment la peine d'écouter ses professeurs. Depuis tout petit, il fut comme envoûté par les enquêtes criminelles, l'étude du comportement, l'étude des autres...
Il rencontra, celle qui deviendrait sa future femme au lycée. Ce qui était au départ une histoire de « collégiens » se transforma rapidement en une intense et magnifique histoire. Ils se marièrent tôt, sans doute trop, à l'âge de 18 ans. Le lycée terminé, le couple eut envie de découvrir le monde, de voir autre chose que ce bon vieux Wilmington, des rêves et des envies plein la tête, ils s'installèrent à New York. Beaucoup d'opportunités s'offraient à eux, que demander de mieux ? C'est tout naturellement que Brett se lança dans de longues et fastidieuses études de psychologie dans le but de devenir profiler. Il n'était pas question pour lui d'envisager une autre carrière. Cela ne fut pas sans difficulté mais pourtant Brett s'accrocha à sa véritable passion et cela fonctionna pour lui. De toute façon il ne pouvait pas échouer, ce n'était pas son genre de baisser les bras !
Malheureusement et sans que cela soit vraiment prévu, Sarah, sa femme se retrouva enceinte. La période de sa grossesse fut loin d'être un moment de joie pour le couple, beaucoup de questions se posèrent à ce moment là, ce qui aurait dû être vécu comme un immense bonheur se transforma rapidement en calvaire. Sans emploi et en pleines études universitaire, le couple se déchira avec une rare violence. Brett voulait qu'elle avorte, sans doute par pur égoïsme, car cette naissance sonnerait assurément le glas de sa future carrière de profiler, Sarah résista avec force et courage, le futur père fini par céder. C'est donc d'un commun accord que le jeune homme, mis ses études entre parenthèses, dans le but de pouvoir nourrir la famille. Il trouva un job minable dans un fast-food, cela ne l'enchantait guère et le rendit quelque peu aigri. Les horaires lui permirent tout de même de continuer ses études en cours du soir. Ce qui en soit était mieux que rien du tout. Période éreintante, entre le boulot, le bébé, les cours... Le couple ne faisait que se croiser. Cela n'allait pas aller en s'arrangeant avec les années.
Il réussit tout de même à décrocher son diplôme de psychologie, à la sueur de son front. Devenir profiler n'était plus à l'ordre du jour, cela aurait alors signifié devoir partir à Quantico, l'académie du FBI, pour étudier la criminalistique, chose inenvisageable compte tenu de la situation familiale. Il ne pouvait tout bonnement pas se permettre de faire la navette entre Quantico et New York. Cela rendit Brett d'autant plus frustré. Il se rabattit donc de nouveau sur des cours du soir, en criminologie, dans le but de parfaire son cursus initial. Avec un tel bagage en poche il ne savait pas franchement ce à quoi il pourrait aspirer comme métier, mais mieux valait le faire maintenant, avant d'avoir de quelconques remords plus tard. Il avait laissé tombé son emploi au fast-food depuis quelques mois. Il trouva un poste de psychologue dans un hôpital en bordure de la ville, cela ne payait pas des masses, mais permettait tout de même au couple de mieux vivre. Ce job ne l'intéressait absolument pas, il était plutôt brillant dans l'exercice de ce métier, mais il n’aimait pas être en contact avec ses patients. Chose plutôt étonnante. Malgré l'emploi de méthodes plutôt controversées, il est respecté de ses pairs. D'ailleurs, ceux-ci ne l'apprécie pas vraiment, car il est souvent de mauvais poil et a plutôt un sale caractère. Certains ont, en effet, pu faire les frais de sa mauvaise humeur... autant dire qu'ils s'en souviennent encore. Une certaine dualité cohabite chez lui, il est un narrateur tellement peu fiable que son image d'enfoiré total est démentie par la chaleur et la générosité de son visage. Vous regardez son visage alors qu'il peut être en train de dire la pire chose que vous ayez entendu, vous savez qu'il est à l'intérieur quelqu'un de profondément prévenant. Même s'il ne prend pas soin de vous en tant qu'individu, il se soucie d'une idée qui se révèle être importante pour vous, et qui va déterminer ce qui se passe, là se trouve tout le paradoxe. Le cynisme qu'il s'évertue à employer n 'est en réalité qu'une carapace. Le fait de n'avoir pu accéder à ses rêves, a eu pour effet de le rendre encore un peu plus aigri.
Depuis le jour de la naissance de Stella, il en veux isecrétement à sa femme de ne pas avoir avorter, pourtant il aime sa fille plus que tout au monde, c'est là que se trouve encore une fois de plus tout le paradoxe. Il avoue sans vergogne préférer passer du temps avec ses amis, plutôt qu'avec sa femme. Cela est un sujet de discorde constant chez les Evans. En ce qui concerne Stella, leur relation n'est pas des plus simples. Ils se disputent souvent, la jeune fille lui reprochant souvent son absence ainsi que son manque d'investissement. Il tente pourtant de faire au mieux... D'ailleurs à la différence de Sarah, il ne tente pas coûte que coûte de la faire parler, il la laisse tranquille. Il sait par expérience que rien ne sert de forcer les choses. Malgré tout l'amour qu'il porte envers la blondinette, cette dernière reste un mystère entier pour lui. Il râle souvent aux sujets de ses sorties, mais dans le fond, cela ne change pas grand chose, la jeune fille ayant sa propre vie. On ne peux pas dire qu'ils est été des parents exemplaires, c'est même plutôt une chance qu'elle n'ait pas mal tourner. Le modèle de l'absence aurait pu la transformer en une toute autre personne.
Brett est un personnage quelque peu compliqué à cerner, au premier abord il est assez distant, froid, voire hautain. Mais lorsque l'on prend un temps soit peu la peine de gratter ci et là, sa générosité ainsi que sa gentillesse vous frappe. Il est loin d'être le monstre de froideur qu'il semble être.
Après plusieurs années d'exercice au sein du même poste, Brett en eut plus que marre, il supportait de moins en moins ses patients. Il fini par démissionner. Le couple se déchira une nouvelle fois pour cela. A bien y réfléchir, tout est prétexte à se déchirer dans cette famille. Après mure réflexion et pour ne pas rester trop longtemps sans emploi, le couple décida d'acheter ce qui était à la base un cabinet médical et de le transformer en bureau d'investigation afin de devenir tous deux détectives privés. Ce projet commun les rapprocha, chacun y trouvant au final son compte.

tu satures de quoi ?

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Bittersweet memories
That is all I'm taking with me
So goodbye, please, don't cry
We both know I'm not what you, you need

And I will always love you
I will always love you