RIEN À COLLER

what? j'comprends pas xD !!!!!!!!!
aaaaah vlà l'adresse www.afterlife.forum-canada.net

La jeune femme assise à côté de Juliet Lester était pour le moins... étonnante. La blondinette fouilla dans sa mémoire, tentant ainsi de trouver à quand remontait la dernière fois qu'elle avait eu une conversation sembla à celle de ce soir. Elle stoppa avant d'attraper la migraine, cela remontait trop loin pour qu'elle s'en souvint. Un sourire, inattendu s'afficha sur le visage de Lester. En effet, les deux jeunes femmes semblaient se comprendre sur au moins un point. Surveiller son prochain et en cas de pépin, lui coller la raclée de sa vie, histoire qu'il se souvienne à jamais, de ne plus se comporter de la sorte. C'était plutôt radical comme technique, mais parfois nécessaire. Et puis après tout, se faire remettre les idées en place de temps en temps n'a jamais tué personne. Assurément la jeune Américaine en aurait eu bien besoin, à une certaine période... se faire remonter les bretelles vis à vis de son comportement et de son addiction, voilà qui aurait pu l'aider à aller de l'avant et lui aurait sans aucun doute évité bien des déboires. Avec des suppositions le monde serait revu entièrement, mais cela ne faisait pas avancer les choses.
Apparemment Jade se considérait comme une sorte de bête de foire à qui on aurait pu disséquer le cerveau, pour en connaître les tenants et aboutissants. Cela amusa d'autant plus son interlocutrice. Avoir un comportement étrange lui était plus que familier. De ce qu'elle avait pu en voir pour le moment, la blondinette n'avait à s'inquiéter de rien, elle était tout ce qu'il y a de plus normale. Rien dans son comportement pouvait laisser penser au contraire, ses gestes étant en adéquation avec son discours. A bien des égards, Juliet était très bien placée pour comprendre telle ou telle façon de se comporter. Depuis toute petite, le langage corporel des gens l'entourant, avait exercé une sorte de fascination sur elle. A présent, elle était capable de décrypter ce langage avec plus ou moins de facilité, mais aussi d'exactitude … Bien qu'une erreur soit toujours possible, tout était question d'interprétation.
D'un geste de la main indiquant quelque chose du genre, ne t'en fais pas, Juliet pris la parole.

« Je veux bien que tu deviennes mon sujet d'étude, mais vu l'aperçu que j'ai eu pour le moment, tu peux te rassurer, ton cerveau ne sera pas exposé au musée de sciences naturelles du Skyline. Cela arrive à tout le monde d'avoir un comportement parfois complètement décalé. Ca n'a rien d'inquiétant. »

Cela relevait presque du miracle, Lester s'étonna elle-même, à croire qu'elle était encore capable d'émettre une gentillesse vis à vis de son prochain. Décidément, elle allait de surprise en surprise ce soir. Tout en sirotant la fin de son verre de Gin Tonic, elle écouta ce qu'envisageait de faire Jade de son avenir. Assurément elle n'avait qu'une vague idée de ce qu'elle comptait faire, mais l'essentiel était là, elle avait déjà choisi sa voie, bien que le choix sembla plutôt vaste dans le milieu évoqué. La blondinette se risque alors à poser une nouvelle question à sa voisine.

« Pourquoi avoir choisi le milieu du cinéma plutôt qu'un autre milieu ?  Les débouchés ne doivent pas manquer. Tu as encore le temps de voir les choses arriver, prend ton temps pour faire le bon choix surtout. »

Encore une fois, elle eu l'impression de se parler à elle-même et non à son interlocutrice.
Les verres de soda arrivèrent ensuite. En regardant son verre, l'étudiante en psychologie ne pu s'empêcher de sourire. Qui l'eut cru, elle, l'alcoolique notoire, allait se mettre au soda... du jamais vu ! Ce n'était vraiment pas une soirée comme les autres. Jade semblait faire ressortir ce qu'il y avait de meilleur en Juliet, ce dont elle avait plus que besoin. La voix ne lui martelait plus la tête, cela la soulagea quelque peu, mais elle savait que celle-ci pouvait revenir très vite, sans même crier gare, aussi ne devrait-elle pas trop s'attarder lors de cette soirée.
Angel en vint à évoquer la date de son arriver. Janvier 2012, c'était tout récent. D'un air compréhensif, Juliet pris la parole.

« C'est vrai que c'est tout récent. Et... ça va, tu arrives à t’acclimater ? Ce n'est pas trop dur ? » Pour l'avoir vécu elle-même, elle savait pertinemment que les premiers temps passés au Skyline n'était pas synonyme de plaisir. Cela rimait plus avec étrange, décontenançant... Il fallait un certain temps avant de vraiment commencer à profiter de cette seconde « vie », bien qu'au final Lester ne profita pas réellement de cette chance qui s'offrait à elle, trop affairé à la détruire. Sans émotion aucune, elle répondit à son tour à la question. « Je suis là depuis Février 2010 ». Elle aurait voulu savoir de quelle manière avait bien pu arriver ici Jade, mais elle se retint...

AFTERLIFE

Bonjour,
Nous sommes toujours très actif ! Un tas de RP à tous les jours. Un record de plus de 12 000 messages postés en janvier. Le topic de groupe du VINTAGE HÔTEL, ainsi que ces annexes se portent à merveille, déjà 9 pages d'écriture et l'action n'est toujours pas arrivé. La révélation se fera prochainement. De plus, Les avatars de Kristen Bell - Matt Bomer - Danneel Harris & Megan Fox sont de nouveau libre. Nous sommes à la recherche de Wandering et Dark Side ! N'hésitez pas à nous rejoindre, un tas de scénarios vous attentent très impatiemment.

SCÉNARIOS ATTENDUS
AARON ASHMORE - ANDIE MACDOWELL - ANGELINA JOLIE - BAR REFAELI - CHANDLER RIGGS - CHRISTIAN BALE - DANA DELANY - EMMA STONE - ERIC DANE - FREDDY HIGHMORE - FELICITY HUFFMAN - JENNIFER ANISTON - JENSEN ACKLES - JESSE METCALFE - JOHN TRAVOLTA - KELLAN LUTZ LAUREN AMBROSE - MASON VALE COTTON - MICHELLE RODRIGUEZ - MICHAEL TREVINO - PAUL WESLEY - PETER FACINELLI - PYOTR FYODOROV - RACHEL WEISZ - RYAN KWANTEN - RYAN REYNOLDS - SHANTEL VAN SANTEN

POSTES VACANTS ATTENDUS
AMANDA SEYFRIED - ASHTON KUTCHER - BRIAN AUSTIN GREEN - EMMA ROBERT - GERARD BUTLER - IAN SOMERHALDER - NATALIE PORTMAN
INFORMATIONS IMPORTANTES
† ADMINISTRATEURS: Jayden M. Wellington & Holly M. Westley
† Nous demandons 15 lignes minimum par poste.
† Les cieux comportent 54 morts
† Ils ont traversés le monde 63780 fois.
† Ouvert ; 06 mai 2011

laboratoire

Merci pour les news ! ^^
Bonne continuation !

90016469

J'ai pas une aussi jolie voix que toi mais je joue mieux que toi !

Est-ce qu'il a été négocié avec BD la reprise de nos stocks ?


Cordialement,

02 mars 1988
Première diffusion aux Japon le 26 février 1986

NSE - Neuron Specific Enolase - sérum (ECLIA-COBAS® Roche) Terminée
Antigène Cyfra 21-1 - sérum (ECLIA-COBAS Roche) Terminée

J'adore, c'est ma série préférée
J'adore
J'aime bien
Ça passe
Pas vraiment
Pas du tout
Je n'ai jamais vu mais j'aimerai
Je n'ai jamais vu et je ne veux pas

Madame,

Suite à votre demande téléphonique de ce jour, veuillez trouver en pièce jointe le BL 157324 correspondant à votre abonnement du mois d’octobre.

Vous en souhaitant bonne réception,


Cordialement.

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video

Sarah Evans était assez agressive envers son époux. Le couple s’était certainement embrouillé en l’absence de leur fille. Le retard de Brett avait du être mal perçu par sa femme. Elle en faisait toujours trop…. . La brunette prenait tout à cœur, tout pour elle. La détective culpabilisait pour rien. Bon Brett n’était pas un modèle de vertu, de bon sens, de gentillesse, mais il restait fidèle à son épouse et cela ne changerait pas de sitôt. Il avait beau sortir avec ses potes, plus qu’avec son épouse, Brett savait être sérieux et ne pas dépasser les limites. Le brunet possédait encore quelques principes. Stella soupira quand sa génitrice répondit de manière négative, presque moqueuse, mauvaise… à l'interrogation innocente de Brett. Son sourire un peu gêné n’aidait pas sa famille à se sentir mieux. Un froid s’était abattu sur la maison familiale. Sarah se rattrapa en démontrant avec ses propres termes que ses proches l’aidaient à aller bien. Sa fille avait du mal à la croire. Après tout, elle ne la connaissait pas parfaitement bien… . Le regard que la brune lança à son mari était des plus évocateurs. Ils s’étaient belle et bien disputés. Stella ne prêtait pas attention à la réaction de son père. Ce qui était certain c’était que l’homme n’allait pas se laisser faire. Sa femme n’allait pas le menait par le bout du nez, elle n’était pas très clémente avec lui. Sarah se mit à reposer la même question que Brett à son enfant. La blondinette la fixa assez blasée:

- Bien, papa vient de me poser la question. Elle sourit pour apaiser la situation. Pourquoi vous êtes sur les nerfs? Papa à certainement une bonne raison d’être rentré en retard maman, enchaîna-t-elle.

Stella aimait beaucoup sa génitrice, elle l’appréciait grandement. Or, depuis quelques temps elle avait du mal à se confier à la femme. Cette dernière n’était pas présente, comme Brett, elle se dérobait. Les conversations entre Sarah et Stella étaient plutôt rares, de toute manière la détective y mettait toujours fin très vite et sans préavis. Sa fille se lassait de tout cela. Elle savait que sa mère s’intéressait réellement à elle mais elle ne le montrait plus depuis longtemps, ou alors il était bien trop tard… . L'adolescente avait envie que cela change. Or, c'était plus facile à dire qu'à faire. Chacun avait pris des mauvaises habitudes. S'en débarrasser ne serait pas une tâche facile. La famille Evans était coincée dans une vie assez déprimante. Mais il semblait y trouvait une drôle de complaisance... . La dîner promettait pleins de rebondissements!

♪ Une soirée entre amis ~ Megan

Crimson

Des reproches, encore et toujours... pour ne pas changer. Sortir une vacherie plutôt qu'une phrase dénuée de toute agressivité, comme si cela était presque normal. Voilà à quoi ressemblait la plupart des conversations dans cette famille. Si cela pouvait en faire sourire plus d'un, le vivre depuis des années, était loin d'être amusant. Bon sang, pourquoi ne prenait-on pas la peine de dire à l'autre, ses quatre vérités ? Histoire de tout mettre à plat pour pouvoir repartir de plus belle. Le mal était bien trop installé pour que cela change sans doute quoi que ce soit. Triste constatation. Brett en vint à se demander ce qu'ils faisaient encore ensemble.
Depuis trop longtemps, ils allaient de désillusions en frustrations. Assurément, personne n'était vraiment heureux. Pourtant et aussi fou que cela puisse paraître, ils étaient toujours ensemble, face à leurs démons respectifs. Quel pitoyable exemple devaient-ils donner à leur fille. C'était à se demander comment elle avait pu se construire, de cette façon aussi correcte en ayant des parents aussi incorrects. Sans aucun doute, elle méritait qu'on lui remis une médaille pour cela.

Le moment ne se prêtait pas vraiment à la réflexion. Le détective jeta un regard noir à sa femme. Comme il le pressentait, son interrogation, aussi simple soit-elle, avait été mal interprétée, comme à peu près tout ce qui pouvait sortir de sa bouche ; ou même, simplement émaner de lui. Désespérant pensa-t-il. Pour la peine, il eut une envie irrépressible de prendre les casseroles en question et de les lui envoyer en pleine tête... Elle pouvait se les mettre où il pensait, ses satanés ustensiles de cuisine. A force de se faire rabrouer de la sorte, il finirait par ne plus ouvrir la bouche, au moins, ne risquerait-il plus de froisser Madame. Pourquoi fallait-il toujours qu'elle s'emporte à ce point ? Elle était plus qu'énervante. Pour une fois qu'il rentrait à la maison, sans avoir fait un crochet par le McKinnon, elle aurait dû se montrer contente de cette « amélioration ». Et bien non, il fallait toujours qu'elle en rajoute une couche, incapable de se contenter de ce qu'elle avait. D'accord, il était arrivé en retard, mais cela était uniquement dû à la circulation, dont il était tributaire, élément indépendant de sa volonté ; qu'y pouvait-il ? Il n'avait pas encore le don de se téléporter, depuis le bureau jusqu'au domicile qu'il sache... Elle se montrait injuste, comme elle l'avait fait quelques minutes plus tôt avec Stella. Navrant.

Se demandant quelle pouvait être la meilleure conduite à tenir, Brett opta pour la stratégie consistant à faire l'autruche, imperméable à toutes remarques. Il se contenta de lui sourire... Que pouvait-il répondre à pareille « attaque » ? Assurément, rien ! Quoi qu'il dise cela, mettrait le feu aux poudres, cela ne ferait que décupler la colère de sa chère épouse et ça il ne le voulait pas. Il voulait vraiment que cette soirée se déroule dans les meilleures conditions possibles... Cela semblait mal parti... enfin, advienne que pourra. En plus de la technique de l'autruche, il opta pour un profond mutisme, se contentant ainsi, d'être spectateur de la scène qui se déroulait devant ses yeux.
Le fait que Sarah avance qu'elle allait mieux maintenant qu'elle était en leur présence, était plutôt difficile à croire. Il retint de justesse un rire, nerveux. C'est qu'elle pouvait être vraiment comique quand elle le voulait... Bien que cela ne soit pas forcément fait exprès.

Une preuve tangible, que dans cette satanée maison personne n'était à l'écoute des autres, arriva par la suite. La brunette demanda à sa fille si elle allait bien, question qui avait déjà été posée quelques minutes auparavant. Le détective, retint un second rire lorsque sa fille pris la parole, ne se faisant pas prier pour faire remarquer à Sarah, qu'elle avait déjà répondu à cette question. Au moins une personne n'avait pas peur des mots dans cette famille. Mieux valait ne pas se mettre à rire, cela aurait été très mal perçu. Il se racla la gorge, avant de répondre d'un ton dans lequel aucune émotion ne transparaissait, en regardant partout et nul part à la fois.

« Je suis arrivé en retard et cela ne plaît pas à ta mère, laquelle a décidé de m'en vouloir... De toute façon, j'ai toujours tord, la raison de mon retard n'est donc pas importante... » Il jeta ensuite un regard à sa femme et embraya sur le même ton morne. « Sache juste, Sarah, que je n'ai pas encore trouvé le moyen de me téléporter depuis le bureau jusuq'uciSi on mangeait maintenant... histoire de pouvoir profiter pleinement de cette … soirée. »

Ce soir, il était las ; las de cette « guéguerre » constante ; las du comportement de sa femme ; las de lui-même... Il n'aspirait qu'à une seule chose, la tranquillité. Une parole déplacée de plus, de la part de Sarah et il fichait le camp. Après tout, peut-être était-ce cela qu'elle souhaitait dans le fond ? Etait-ce vraiment trop demandé que de passer une soirée en famille, sans qu'il n'y ait de hurlements en tout sens ?

Crimson

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http://www.graspop.be/nl/index.html

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