Official Tweets of Actor Pauley Perrette NCIS-ABBY

S1

Official Tweets of Actor Pauley Perrette NCIS-ABBY,

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Pandora Ҩ Brett

« Le génie réside dans l'instinct »

Alors que le jour se couchait petit à petit, la luminosité était féerique, nimbant d'un mélange de rose, de pourpre et de gris blanc l'un des vastes bureaux de l'investigation. Sur la porte vitrée de l'office, l'on pouvait lire Evans B. Détective Privé. Le bureau d'investigations Evans avait ouvert ses portes, il y a quatre années de cela. Petite entreprise familiale sans prétention née d'une passion commune ? Non. D'un rêve commun ? Non plus... Juste une envie commune, après avoir végété trop longtemps au sein d'un emploi inintéressant ? Oui. Avant de devenir des privés, monsieur et madame Evans étaient respectivement psychologue et flic. Ce job de psy, il n'avait jamais pu l'encadrer, haïssant de tout son être les patients auxquels il avait pu être confronté. Intimant même à l'un d'entre eux de se suicider, autant dire que ses méthodes étaient loin de faire l'unanimité. Pourtant cela ne lui coûte jamais sa place. Par un concours de circonstances, il ne pu accéder à son rêve ultime, devenir profiler. Frustration quand tu nous tient.

Songeur, Brett observa les méandres paresseux de sa fumée de cigarette. Il n'était pas censé fumer dans son bureau, ou du moins fumer tout court, mais il s'en fichait pas mal. Cela ferait sans doute l'occasion à sa femme de faire des vocalises, une fois de plus. Il n'en avait que faire de se transformer en cendrier géant. Il ne fumait qu'en de rares occasions, essentiellement lorsqu'il avait besoin de se concentrer, ou bien lorsqu'il était décontenancé. Et là, il l'était. Depuis deux semaines, il travaillait sur la même affaire. Un véritable casse-tête chinois. Le Rubik's Cube a côté, était un jeu d'enfants. La cliente était venue le trouver par un beau matin, demandant à ce que l'on retrouve son petit ami disparu, du jour au lendemain... Comme évaporé dans la nature, le jeune homme n'avait laissé aucune trace derrière lui, abandonnant ses papiers ainsi que toutes ses affaires au domicile, qu'il partageait avec la cliente des Evans.
Sarah, la femme de Brett, pas particulièrement attirée par ce genre d'énigme, laissa le soin à son mari de se triturer les méninges. Quelle bonté d'âme. Toujours est-il que le brunet avait réussi à plus ou moins avancer sur cette affaire et ce qu'il avait alors découvert, le laissait plutôt... perplexe. Il avait bel et bien retrouvé le jeune homme en question, mais sous une toute autre identité... Qu'en était-il vraiment de la situation ? La cliente lui avait-elle menti délibérément ? Actuellement il cherchait à en savoir plus, bien entendu pas en passant par la jeune femme directement, cela n'aurait servi à rien. Ce n'était pas encore très clair ni tout à fait avéré, mais il était plus ou moins question de WSP, soit le programme fédéral de protection des témoins... Autant dire qu'il risquait de se retrouver dans une merde noire d'ici peu. Une fois la piste certaine, il devrait en parler sérieusement avec son associée, afin de s'assurer de la meilleure marche à suivre. Aucune erreur ne serait tolérée, risquant de lui être fatale de toute façon. Totalement absorbé par ses pensées, il n'avait pas vu l'heure. Comme quasiment tous les soirs, il avait rendez-vous avec sa bande d'amis, au McKinnon.

Il donna une vive impulsion du pied au sol, pour faire reculer son fauteuil de bureau. Rapidement il le fit pivoter pour se retrouver face à la porte d'entrée de la pièce. D'un geste vif, il se leva puis alla entrouvrir discrètement la porte. Personne à l'horizon, parfait ! Ni une ni deux, il éteignit l'ordinateur, puis s'empara de son blazer. Il dévala ensuite quatre à quatre les marches de l'immeuble, le menant jusqu'au sous-sol. S'il croisait Sarah il était mort. Enfin, non pas mort, mais serait obligé de rentrer directement à leur domicile, chose dont il n'avait absolument pas envie. Celle-ci détestait son comportement, jugeant qu'en bon père de famille, il n'avait pas à traîner les bars, en compagnie d'amis célibataires. En un sens, elle avait tout à fait raison. Mais difficile de se départir de ses mauvaises habitudes, pourtant il lui avait promis de faire des efforts. Pourquoi faire une promesse qu'il était sûr de ne pas pouvoir tenir ? Parfaitement idiot. En quelque sorte, il vivait la « jeunesse » qu'il n'avait pas eue, ayant dû très tôt faire de grosses concessions afin de pouvoir élever au mieux leur petite fille. Enfin au mieux, financièrement parlant, pour le reste s'était une toute autre histoire. Il était même carrément nul dans son rôle de paternel...
A toute vitesse, il s'engouffra dans la mustang puis quitta le parking sur les chapeaux de roue. Au vue de l'heure tardive, la circulation était fluide, tant mieux. Écrasant la pédale d'accélérateur, il se retrouva en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire à Manhattan. Le pub se trouvait sur le chemin de son domicile, voilà sans doute pourquoi il s'y arrêtait aussi facilement. A vrai dire, non, ce n'était pas du tout pour ça et il le savait très bien. Pouvoir s'évader de son quotidien et de sa vie de famille, un peu trop pesante, voilà la véritable raison. Garer la mustang ne fut pas une mince affaire, cela se révéla être un exercice de haut vol. Hâtivement, il rejoignit le bar aux allures de pub irlandais. Ici, il se sentait bien, malgré la musique un peu trop forte à son goût, il se sentait dans son élément. Il scruta quelques instants les personnes présentes, avant de repérer ses amis, assis à une table, située juste en dessous d'une des enceintes de l'établissement. Discuter n'allait certainement pas être aisé à cause de la musique tonitruante. Il s'empressa de les rejoindre. Franche poignée de mains à tout le monde avant de s'installer. On ne tarda pas à venir prendre sa commande. Quelque chose de fort serait parfait. Whisky on the rocks pourquoi pas.

En attendant sa consommation, il se tint informé des dernières nouvelles. Il n'avait pas conscience d'être observé du coin de l’œil. L'un de ses acolytes, leur annonça son mariage futur. « Mes condoléances » ne pu s'empêcher de dire railleusement le détective. Plaisanterie d'un goût moyen, que le futur marié ne reçu pas très bien, cela le fit rire jaune. Brett s'abstint donc d'ajouter qu'il allait commettre la pire connerie de toute sa vie. Après tout, cela ne le regardait pas. S'il voulait foutre sa vie en l'air en épousant une pauvre gourde, libre à lui. La conversation dévia sur des sujets un peu moins … dramatiques. Une serveuse vint déposer le verre du détective, au même moment, son téléphone vibra dans sa poche. Il ne tarda pas à l'extirper de cette dernière. Le visage de sa femme s'afficha alors. Voilà, il allait se faire fustiger en bonne et due forme, cela faisait longtemps... quelques heures tout au plus. Il s'excusa auprès de ses amis avant de sortir prestement du bar. Sarah ne cru pas un traître mot de son histoire d'embouteillage sur Lexington Avenue, mais elle n'ajouta cependant rien d'autre. Tant mieux, il n'avait pas franchement envie d'une dispute par téléphone. Avant de retourner dans le bar, il se dit que s'abîmer un peu plus les poumons, ne serait pas de refus. Le soleil était à présent couché. Brett prit une bouffée de sa cigarette et recracha une volute de fumée bleue, qui engourdie par le froid de la nuit, mit une éternité à se dissiper. Il tourna la tête, pour regarder l'intérieur du bar au travers de la vitre de la devanture....

fiche par century sex.

DEMANDE DE DEMEURE

† NOM DU PERSONNAGE :
† NOM DE LA RUE SOUHAITÉE:
Paradise Avenue [ ] The Big Bang Boulv. [ ] Shooting Star Street [ ] Cloud Street [ ]
† ADRESSE: regarder les disponibilités dans chaque quartier.
† TYPE D'HABITATION :
Maison [ ] Appartement [ ] Loft [ ] Palace [ ] Manoir [ ] Fermette [ ] Condo [ ] Autre [ ]
† COLOCATAIRE:
† AUTRES:

(La résignation est un suicide quotidien - Angel Deathborn
Si je n'avais pas écrit je serais devenu un incurable de l'alcool - Dan Candel
Un ami est toujours le bienvenu dans ces moments là - Aleera Dimitrovka)

Hayley avait confiance en ce qu'elle venait de dire. Elle connaissait assez bien le jeune homme pour savoir que ses mots allaient le rassurer. Elle tenait toujours dans ses mains celle de Rupert. Elle ne bougea pas lorsqu'il se rapprocha encore d'elle ; ils étaient si proches que leurs souffles s'entremêlaient. Elle ignorait totalement ce que Rupert comptait faire, et lorsqu'il l'embrassa tendrement, elle ne bougea pas mais elle sentit son cœur s'emballer. A vrai dire, elle ne savait plus trop où elle était, ni ce qui se passait. Elle crut rêver, mais ce baiser était bien trop vrai pour être issu de son imagination. Leurs lèvres se séparèrent, et Hayley rouvrit les yeux.

« Je... je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a prit. C'était idiot, excuses-moi » murmura le jeune homme, gêné.

Hayley ne comprit pas ces excuses. N'était-elle qu'un jeu pour lui ? Ce qu'elle lui avait dit lors de la dispute lui revint en tête : il jouait avec les gens, rien de plus. Hayley aurait du comprendre la réelle situation, mais tout cela semblait que trop beau pour être vrai. Il y avait forcément une faille, un problème quelque part. Ses mains libérèrent brusquement celle de Rupert.

« Pourquoi t'as fais ça ? » demanda t-elle, le souffle coupé, les sourcils froncés. Elle marqua une pause avant de reprendre : « Il faut que je m'en aille. Laisse moi tranquille. »

Ces paroles dites, elle se releva rapidement, prit ses affaires en trombe et se dirigea vers la sortie de l'appartement. Elle se foutait totalement de Rupert, elle en avait marre d'être un jouet. On la manipulait que trop facilement. Il fallait maintenant qu'elle s'endurcisse, Rupert la faisait trop souffrir. Un coup il l'insultait de trainée, et après il l'embrassait. Elle se rendait compte qu'elle avait été vraiment sotte. Elle poussa la porte de l'appartement et la referma violemment. Mais une fois sur le palier, elle s'arrêta net. Son impulsivité lui jouait encore de sales tours. Elle s'adossa au mur, fixant la porte de l'appartement de Rupert. Elle avait besoin de réfléchir quelques secondes. Il l'avait embrassé. Ca voulait dire qu'il avait envie d'elle, non ? Et si ce n'était qu'un jeu … Elle s'en foutait. Elle était amoureuse de lui, et le désirait plus que tout au monde. Et si c'était réciproque ? Si ça ne l'était pas encore, Hayley se sentait capable de rendre cet amour partagé.
Honteuse et pathétique, elle décida de suivre son cœur et tourna la poignée de l'appartement. Elle avait l'air d'une petite fille venant de faire une grosse bêtise. Elle regrettait profondément ce qu'elle venait de faire. Elle adressa un sourire gêné à Rupert. De quoi avait-elle l'air, à partir en trombe et à revenir comme une enfant ?

« Désolée. » soupira t-elle.

Finalement, Hayley laissa retomber ses affaires part terre, puis elle s'approcha doucement de Rupert, passa une main dans les cheveux du jeune homme et l'embrassa à son tour. Il n'allait plus rien comprendre, en espérant juste qu'il ne la repousse pas. A vrai dire, elle ne savait plus très bien ce qu'elle faisait exactement. Peut-être était-elle en train de faire la plus grosse erreur de toute sa vie … Mais pourquoi serait-ce une erreur ? Elle aimait, tout simplement. Peut-être que ce baiser, après tout, était le début d'une toute nouvelle vie ?

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Les deux jeunes femmes travaillaient.

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https://afterlife.forum-canada.net/

^^

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DR.HOUSE 07
SMALLVILLE 06
CASTLE 22
DESPERATE HOUSEWIVES 14
THE SECRET CIRCLE 06
NIP/TUCK 02
ONCE UPON A TIME 12
CRIMINAL MINDS 21
NEW GIRL 10

15140F

Hutrira

True Blood 43
American Horror Story 57

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leonawin

ke♥

Leur baiser prit fin, et Hayley fut surprise de n'avoir pas été repoussée par Rupert. Elle s'était imaginé un scénario appartenant au registre dramatique, et avait eu peur de la réaction de l'acteur. Cependant, Rupert s'était laissé faire et sembla juste fébrile lorsque Hayley osa le regarder de nouveau. Elle avait honte d'avoir agit comme une enfant. Mais elle avait apprécié ce baiser, et n'avait plus qu'une seule envie, recommencer. Mais il y avait une faille à la scène romantique que s'imaginait désormais la chanteuse : si tout cela n'était qu'un jeu ?

« Tu... tu n'as pas à être désolée, Hayley, c'est moi qui fais tout de travers... »

Hayley le regarda tendrement, tout en faisant glisser la main qui s'était réfugiée dans les cheveux du jeune homme le long de son visage, puis elle retomba le long de son corps. Elle ne savait plus quoi lui dire et n'arrivait pas à savoir ce qui pourrait bien se passer. Devait-elle lui avouer ses sentiments où jouer la carte de l'indifférence ? Mais elle venait quand même de l'embrasser, c'était pas rien. C'était même plutôt révélateur. Elle n'arriva pas à trouver les mots et préféra ne rien dire. Elle sentit les mains du jeune acteur venir prendre délicatement les siennes. Elle ne savait plus du tout où ils en étaient tous les deux.

« Je sais que je ne suis pas facile à vivre et qu'il faut parfois arriver à me suivre, mais... mais le baiser que je t'ai donné tout à l'heure était sincère... je... je me suis rendu compte que les sentiments que j'avais pour toi étaient beaucoup plus forts que la simple amitié. Je sais que j'ai tord à espérer qu'un jour tu veuilles de moi... mais... enfin excuses-moi, je ne voulais pas te brusquer. »

Il avait été dur pour la jeune femme de garder le regard droit dans les yeux de Rupert, et elle avait aussi eut du mal à comprendre toutes ses paroles. Elle avait la tête qui tournait, et elle s'agrippa aux mains de Rupert, comme s'il était la dernière personne qui pouvait la sauver.
Il semblait réellement sincère, et Hayley ne pouvait que le croire en cet instant là. Peut-être que oui, dans les prochains jours, elle remettrait tout en cause, mais là c'était trop fort pour elle. Elle le croyait. Il l'aimait. Elle l'aimait. Ils s'aimaient. Aucun élément perturbateur à l'horizon, non ? Pour l'instant du moins … Hayley reporta son regard vers celui du Rupert, et lui fit un sourire timide.

« Rupert, je … je sais pas quoi te dire. Je sais plus si c'est un jeu pour toi mais … moi je suis sincère avec toi, si tu savais à quel point ! Et là, j'ai juste envie de te croire parce … parce que ... » Hayley souffla, il fallait qu'elle lui dise. Elle se mordit la lèvre et murmura : « parce que je suis amoureuse de toi. »

C'était dit, elle n'avais plus vraiment le choix, elle ne pouvait plus reculer. Elle n'osait plus regarder l'homme qu'elle aimait, de peur de voir dans ses yeux l'étincelle du mensonge. Elle avait pris le risque de croire à un jeu, et si c'en était un, elle ne s'en remettrait pas. Elle ne savait plus ce qu'elle devait faire à cet instant même, partir en courant ou se glisser dans les bras de Rupert. L'ambiance du salon était plus propice à la deuxième solution. Tout doucement, une de ses mains quitta celle de Rupert et vint se placer sur le torse de ce dernier puis elle releva le menton. Elle regarda Rupert avec son regard coupable, et pourtant elle essaya d'y mettre tout l'amour possible.

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