**Kaylee MacAllister était une tête connue dans le milieu public autant dans le monde des vivants où son émission était doublé dans plus de six langues qu’au Skyline, il était évident que sa présence là-haut n’était pas toujours approuvée et que ce n’était pas aussi flagrant qu’en bas, mais elle se faisait tout de même régulièrement reconnaître lorsqu’elle allait parcourir les terres des défunts, surtout que les épisodes qu’elle tournait étaient diffusés sur le canal des vivants via un contrat qu’elle avait signé avec une chaîne de production du Skyline. Même si on pouvait penser le contraire, Kay ne recevait pas régulièrement des défunts dans sa résidence, elle avait su aider certaines personnes à l’occasion, mais la plus part du temps, son statut était craint par les gens, ils souhaitaient tous entrer en contact avec un proche toujours en vie, mais le statut de star de la belle blonde les bloquait à venir la voir. MacAllister était une figure appréciée, lorsqu’on croyait en ce qu’elle faisait. Elle était gentille et dévouée et même malgré sa célébrité. Aujourd’hui, il n’avait rien d’autre de prévue, c’était alors avec une grande joie qu’elle avait accueillit la défunte qui venait de sonner à sa porte. Elle semblait peut-être maladroite et encore sous le choc de ce qu’elle venait de vivre. Kaylee lui fit un sourire rassurant et posa sa main sur son épaule durant quelques secondes en l’observant amicalement. Elle lui dit ensuite, dans l’espoir de ne pas trop la vexée.**

Je comprends ma chère. C’est un plaisir de pouvoir vous aider, après tout, je n’en ai pas fait mon métier pour rien. Je vois déjà que ce n’est pas facile pour vous.

**Elle cligna des yeux tristement dans l’espoir de démontrer son empathie envers l’étrangère. Elle passa une main sur sa robe, idée de retirer les quelques froissures et elle reprit le chemin, en guidant la femme d’un geste de la main et d’un nouveau sourire chaleureux.**

Je vous invite à passer à la cuisine, vous désirez quelque chose à boire, un verre d’eau ou bien café ?

**Bien sur, les morts ne pouvaient pas entrer en contact avec les vivants, mais tout ce que contenait leur monde était possible d’atteinte pour eux. Ils pouvaient donc boire, manger, toucher et même voler si ils le désiraient. Lorsqu’elle arriva dans la vaste cuisine, elle ouvrit le réfrigérateur en attendant une réponse de la part de Aleera. Elle se rappela ne pas s’être présentée à son tour lorsqu’elle l’avait fait quelques minutes plus tôt, elle posa donc sa main sur sa joue et dit un peu maladroitement.**

Oh et au passage, je suis Kaylee.. Je ne serais pas surprise que vous le sachiez déjà, mais je le dis quand même, juste au cas..

" Ohh, qu'est ce que je raconte ? Pas grand chose. J'en suis toujours au même stade qu'il y a... qu'il y a... euh trop longtemps. Toujours tout seul; toujours en train de galérer comme un abruti sur le même bouquin. Je crois qu'il faut que je me résigne et que je le laisse tomber et que je me fasse prêtre... La seule bonne nouvelle c'est que je ne suis pas encore assez désespéré; je n'ai pas encore adopté de chaton pour me tenir compagnie ! C'est pathétique, je sais... ma vie est pathétique. bref, c'est trop déprimant, ça te déranges si on ne parle pas de moi ? "

Nancy effectua un petit rictus aux dires de son interlocuteur ; il avait été là une première fois pour la sauvée de l’eau glaciale, simplement comme il venait de si bien le dire, il ne risquait pas d’être là une seconde fois et franchement personne d’autre n’y serait non plus. Un énorme frisson parcouru la jeune femme qui allait s’approcher à nouveau du bord de l’eau afin de tenter quelque chose pour ses sacs d’herbes simplement le rouquin leva la main dans les airs, disant qu’il ne souhaitait pas sa mort… mais merde c’est quoi cette histoire? S’interrogea Nancy, voyant ce même homme partir à nouveau vers son bateau ; il laissait tomber? La brunette écarquilla les yeux de plus belle, franchement qui est ce qui laisserait flotter un sac entier de marijuana sur un lac parfaitement dégelé? Quelqu’un de niait probablement… hey… Commença la jeune femme, s’approchant tranquillement du port de plaisance où se trouvait son jadis interlocuteur ; Vous pourriez au moins essayer de m’aider à le rattraper, merde j’ai pas attendu après vous 3h pour me ramasser une pneumonie et tout perdre mon stock ! Évidemment la brunette ne se doutait pas qu’elle avait en fait à faire à un policier, en plus d’un tueur en série, qui n’était pas du tout l’homme qu’elle attendait tranquillement auprès de l’eau… simplement que ne fut pas son étonnement lorsqu’elle remarqua ce même rouquin prendre place sur son bateau, charriant des sacs noirs qui semblaient assez pesant, bien plus que ne l’était les feuilles séchées de mari ou bien que ne le serait l’argent…sans parler qu’il ne semblait pas bien bavard… Nancy se tut un instant, regardant premièrement s’il l’avait entendu puis s’approcha un peu plus prêt de l’embarcation du Slice Of Life ; nom qu’elle trouvait fort sympathique il fallait l’avouer, pour regarder subtilement ce qui pouvait bien airer dans ces gros sacs poubelle… prudente, Botwin se pencha délicatement, apercevant une matière plus ou moins visqueuse glisser du sac plastique; intrigué elle y posa son doigt qui tremblait toujours depuis qu’on l’avait aidé à sortir de l’eau; pas de doute c’était bel et bien gluant… intriguée, elle approcha sa main vers la luminaire que faisait la lampe au bout du quai pour y voir quelque chose de rouge très foncé, idem à la couleur du sang et elle comprit…

- C’est pas abruti de galérer. Où trouves tu ton inspiration ? Riley menait en fait une vie de célibataire type. Elle rit à sa soudaine remarque de devenir prêtre. Ah non gâche pas tout ça, elle parlait de son potentiel envers la gente féminine. Attends si tu te fais prêtre comment les nanas feront ? Elle plaisantait bien sur mais bon elle n’avait pas tord. Riley enchaînait les remarques rigolotes et Juny ne faisait querire. Euh non pas de soucis, si ça t’ennuis je stop là mais saches que tu es un sujet intéressant.

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Le baron Derocquemort, sa femme Sophia et Lex Luthor avait été enlevés: c’était la théorie qui circulait partout. Mais par qui? Par quoi? Que leur étaient-ils arrivés? Se portaient-ils bien? Pourquoi on ne parlait pas de rançons? Pourquoi les ravisseurs ne se montaient-ils pas pour revendiquer leurs idées? Les médias avaient pris l’affaire en main, la population était inquiète. Les justiciers possédaient une toute autre idée en tête. Pour eux, de tels gens malhonnêtes que représentaient Lex & ses acolytes devaient avoir un plan en tête. Leur nom était synonyme de menace. Pour Tess, son demi-frère avait pour idée assez machiavélique: susciter l’angoisse chez les gens, la pitié pour être réélut au prochain tour des présidentielles. Les votes approchaient à grands pas. Malheureusement si tel n’était pas le cas, il avait quand-même réussi à prendre la population en compatissance. Les gens prônaient la joie, le retour du président des Etats Unis leur importait beaucoup alors qu’il avait fait tant de mal autour de lui: à croire que les citoyens étaient dépourvus de tout cerveau, de toute logique et de toute réflexion. Cela était inquiétant. Les superhéros et tous leurs alliés savaient que quelque chose se préparait, mais quoi? Ils n’avaient aucuns indices qui les aideraient. Ils avançaient dans le vide. Même Chloé, la puissante informaticienne, Loïs et Clark, le duo d’excellent journaliste, ne pouvaient témoigner d’une quelconque information, d‘aucuns scoops… . C’était frustrant, Mercer désirait savoir.

Tess n’avait pas revu Lex depuis bien des années. Elle appréhendait ses retrouvailles qui se commencèrent sous de bons hospices. A l’époque, Luthor l’avait bien berné. Il la surveillait en cachette, par des manières très douteuses, la belle l’avait appris à ses dépends. Depuis ce temps, la rouquine n’accordait aucune confiance à son frangin. Elle avait rejoint la JLA qui avait des objectifs plus en concordance avec les siens. Les n’était au courant de rien et cela Tess l’avait oublié. Sur quel tableau devait-elle jouer? La vérité sur ses origines la mettait souvent hors d’elle. La femme d’affaire ne supportait pas l’idée de posséder le même sang que des monstres. Elle avait appris à prendre du recul et ne plus se dénigrer suite à cette découverte peu banale. Elle avait longtemps culpabilisé de ne pas être assez spéciale pour intéresser son père. L’abandon était dur à avaler. Maintenant, elle voyait son frère en haut de l’affiche. Cela lui déplaisait beaucoup car pendant de longues années, elle ne savait le voir en peinture. Il la répugnait. C’était le mal incarné. Tess avait aussi mal agi lors de son existence mais elle avait fait amende honorable. Elle croyait en la rédemption. Lex était toujours le même: beau sourire, costume et chemise bien repassés, la puissance d’une parole, la supériorité accrochée à sa posture, etc. Il s’approcha de sa demi-sœur. La belle fut un peu surprise de le revoir, c’était presque irréel. Elle était partagée entre deux sentiments: la haine et la pitié. Tess ne comprit pourquoi elle éprouvait des émotions en face d’un tyran tel que Lex. Elle sourit aux dires de Luthor. Il niait les faits, il semblait vouloir rassurer sa sœur et en même temps la menée sur une mauvaise piste.

- Lex, je te connais, c’est pas le travail qui a du te retenir… . Ce n’est pas ton genre de rester caché. Qu’est-ce qui va pas? Son regard se voulait compatissant. Lui manquait-il? Oui et non. La compétition était au point zéro sans lui. Aussi, il restait son frangin… bien qu’elle ne l’appréciait pas tellement. Je veux bien un verre d’eau, merci Lex. La discussion promettait de durer.

Coup de coeur: Ma simulation pour mon concours réussie + Dana Delany à la télé dans un film + Mon aprèm! + demain entretien ^^ + le repas en famille avant

S'il avait été possible de tout recommencer et de vivre autre chose, Helen aurait sans doute changé beaucoup de choses mais, pas sa rencontre avec Riley. Bien qu'ayant commencée d'une drôle de manière, cette amitié avait su continuer au delà de quelques temps d'illusions où les connaissances récentes vous paraissent toutes belles et permanentes jusqu'au désenchantement... Les deux personnes avaient su apprendre à respecter l'autre, sa façon de penser et surtout savoir ce que chacun cachait vraiment. Bien sûr quelques secrets lourds persistaient mais il n'était pas possible de confier tout aussi simplement. Certaines choses étaient trop dures ou trop douloureuses pour être dévoilées. Ils s'en contentaient et ce qu'ils savaient l'un de l'autre était déjà bien assez et leur permettait d'avoir une amitié solide. La preuve en était, l'appellation confident convenait aussi bien à l'un comme à l'autre. Cela était bien la première fois pour Helen, l'amitié paraissait tellement dure à développer et pourtant, il y avait Riley et June voir même Lusitania qui recevait une confiance peut-être trop aveugle de la brune. Mais seulement pouvait sembler tellement peu. Toutefois, il lui arrivait de se dire et ce, assez souvent, que mieux valait avoir peu d'amis mais de qualités qu'une quantité imprononçable de relations sans réelles attache ou complicité. La jeune femme était alors contente de posséder de tels amis et bien sûr, elle était toujours contente de les voir, comme aujourd'hui.
Bien sûr, elle pouvait toujours faire une exception pour ce jour, surtout si Monsieur Riley essayait d'avoir totalement raison, la contre-disant lorsqu'elle le rabrouait sur l'insulte qu'il s'était faite. Helen préféra lever les yeux au ciel et ignorer son instant de déraison. Mieux valait en rire et prendre le tout de la meilleure façon, ce qu'elle fit sans trop y réfléchir. La suite, elle, demandait sans doute un peu plus de réflexion et vint le moment inévitable où, dans sa tête, Helen énuméra les femmes qu'elle connaissait et que Riley connaissait dans le but de trouver celle qui pourrait correspondre à la vague description. Si le mot « en couple » ne la perturbait pas plus que ça, c'est peut-être, sans doute, parce que la brune savait ce que cela faisait d'aimer quelqu'un indisponible à l'instant et dont au final, vous n'êtes sûr de rien. Bien sûr, la situation était totalement différente, Riley semblait évoluer dans le même « monde » que l'heureuse élue mais d'une certaine manière, l'expérience était la même. Il y avait des similitudes. Mais, maintenant, cela était du passé … Pour éviter de retomber dans des pensées trop personnelles où qui gâcherait la balade entre amis, la jeune femme secoua légèrement la tête et évita de répondre, ne laissant transparaître qu'un regard de compréhension car oui, elle le comprenait et même si cela n'avait pas été le cas, elle aurait essayé. Helen s'autorisa à répondre aux questions du faucheur sur les nouveautés de sa vie et écouta sa réponse. Sincèrement touchée, comme souvent, par les mots de son ami qui semblait soucieux de l'aider, la brune hocha la tête. Un simple hochement de tête car, même si sa sollicitude la touchait, elle ne donnerait sûrement pas suite et ne demanderait jamais. Elle préférait se débrouiller seule et ne pas embêter les autres avec ses ennuis et problèmes.
Une petite esquive et quelques secondes plus tard, le jeune faucheur répondait à sa phrase comme s'il n'y avait rien d'étrange, comme s'il n'avait pas relevé ou ne s'attendait pas à une autre réponse. Elle lui était reconnaissante de ne pas s'appesantir sur son mal-être. Peut-être qu'un jour elle expliquerait et dirait haut et fort ce qu'elle ressent, peut-être mais elle n'en avait aucune envie maintenant et comme plutôt, elle essayerait de se débrouiller seule et de se remettre seule de cette épreuve. Riley et son humour, une longue histoire d'amour ! Helen appréciait cela et ça détendait souvent l'instant enlevant tout malaise ou silence pesant qu'il pourrait y avoir. Malgré tout, elle se fit un devoir de répondre correctement à cette légère moquerie sur une sensiblerie possible. La brune s'approcha plus encore de son ami et lui donna un petit coup léger signifiant que le trait d'humour était passé sans casse et qu'il n'avait aucune raison de s'en faire pour quoique ce soit.
- Non, je te laisse ce plaisir voyons ! // Elle se moquait ouvertement ? Point du tout. Elle lui renvoyait juste sa phrase en laissant légèrement sous entendre que cela était une habitude. Qu'il était plus habitué qu'elle à ce genre de démonstration des ressentis. L'intonation de sa voix laisser percer l'humour et elle partit à sourire.
Quelques secondes tout juste après, il la prenait par les épaules comme deux vieux camarades et amis et permettait à Helen de sourire encore plus face à sa phrase. Elle venait de retrouver son ami. Que de la bonne humeur.
Plusieurs pas après et un petit silence, le faucheur s'écarta de la jeune femme. Ils étaient face à Cassie. Cela montrait sans doute qu'ils se connaissaient et qu'il était surpris. Il ne lui vint pas à l'idée que Cassie était La jeune femme, celle dont Riley lui parlait un peu plus tôt.
Lorsque la demoiselle Williams répondit aux propos d'Helen, le sourire de la brune se fana légèrement. Déjà que voir Cassie ne la mettait pas en joie mais avoir maintenant le souvenir vif de leur ancienne joute verbale grâce à sa voix et à l'intonation de celle-ci, lui redonnait cet air sérieux qu'elle affichait souvent. Elle ne comprenait pas ce qu'elle faisait avec Riley ?! Et bien quoi, elle n'avait jamais vu d'amis se promener ? Mais oui, sûrement n'en avait-elle pas beaucoup si bien, qu'elle n'avait pas trop cette même expérience. Helen était méchante dans ses pensées mais, elle ne savait pas pourquoi, la jeune femme avait le don pour l'agacer. Le moindre mot de sa part lui faisait grincer des dents.
Pour le moment, toutes deux semblaient attendre une réponse de Riley qui ne tarda pas à arriver. Son faucheur … l'explication était simple seulement, un détail dérangeait Helen. Pourquoi tant d'attachement envers l'autre ? Certes Riley prenait son « travail » de faucheur à coeur mais le lien qui semblait exister entre eux ne pouvait pas seulement être expliqué par cette relation faucheur-protégée. Il devait y avoir autre chose.
Retournant à la conversation, elle entendit Riley poser à son tour le genre de question qui passait d'office dans l'esprit de chacun « vous vous connaissez ? ». Cassie y répondit assez franchement et Helen n'avait rien à redire par dessus. Elles pensaient la même chose au moins pour cela. La suite de sa tirade fit sourire la brune. C'était idiot, mais cela lui plaisait de se dire que la jeune femme en savait toujours moins qu'elle. Bien sûr, elle serait vite éclairée mais pour l'instant, Helen savoura la légère confusion et l'élan de … jalousie qui perçait dans la voix de Cassie. La demoiselle était-elle possessive ? Elle devait pourtant se douter qu'un faucheur n'avait pas qu'une protégée. La brune n'en était pas une bien sûr, mais Cassie le pensait peut-être, sans doute même, d'où la question. Dans un élan de compassion pour la pauvre demoiselle, elle lui répondit :
- Non, non. Je ne suis pas sa protégée. // Et bien quoi ? Elle n'allait tout de même pas l'aider trop ! Elle laissait volontiers l'esprit de Cassie tourner à plein régime,, se demandant ce qu'elle pouvait bien penser à l'instant. Elle paraissait peut-être mauvaise mais, à l'instant, la jeune femme se sentait quelque peu en colère contre celle qui avait interrompue sa balade et le moment sympathique qu'elle passait avec son ami.
- Nous nous connaissons depuis quoi … deux ans ? // Helen savait bien sûr la date exacte de sa rencontre avec Riley mais elle voulait simplement montrer qu'elle le connaissait depuis un long moment. Ce qui était idiot dans la mesure où Cassie pouvait très bien le connaître depuis aussi longtemps. Enfin, quoiqu'il en soit, la phrase était dite et le semblant de question qui apparaissait semblait entièrement dirigée vers Riley. Libre à lui d'y répondre et de soulager, du même coup, Cassie qui devait se poser des questions sûrement injustifiées et inutiles. Helen laissait la main à son ami. Il saurait bien rassurer la demoiselle Williams. Il semblait bien la connaître. Et, après sa réponse, peut-être pourrait-elle demander ce qui les reliaient réellement ou, peut-être aurait-elle une illumination...

https://afterlife.forum-canada.net/t859-les-hostilites-sont-ouvertes-riley-helen#51747

I am where I am because I believe in all possibilities. -Whoopi Goldberg

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http://www.critique-film.fr/millenium-les-hommes-qui-naimaient-pas-les-femmes-2/

Be happy in the moment, that's enough. Each moment is all we need, not more. -Mother Teresa

Fringe VS Lost

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https://www.youtube.com/watch?v=LZl58XjtqJA

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https://afterlife.forum-canada.net/t790p10-i-want-to-learn-more-about-you-riley#51633

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merci d'avoir actualisé ta pub !
Bonne continuation et à bientôt ! ^^

WIZ KHALIFA

Anticorps anti-Synthéthases (Mi2, Ku, PL7, PL12), anti-SRP, anti-PMScl

Xio Mei