Kid’s Choice Awards 2012

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Kid’s Choice Awards 2012

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La musique était devenue, au fur et à mesure des années, un symbole de rassemblement pour les générations. Chacune d’entre elle avait son genre qui lui correspondait ; les années 50’ le Blues, en 70 le Rock’n’Roll et ainsi de suite. Mais ces dernières années, on observait une tendance tout autre, celle du revival. Les jeunes de ce nouveau siècle se mettaient à réécouter la musique de leurs grands-parents. Bref, la musique avait toute une histoire et existé avant même l’existence de l’être humain, même si elle ne s’appelait pas ainsi en ces temps immémoriaux. Et actuellement, en ce pub de la grosse pomme, le genre musical était assez difficile à identifier vu le brouhaha régnant sur les lieux. Cela ne facilitait donc toujours pas la conversation entre les deux vieilles connaissances qui se retrouvaient ce soir pour la première fois depuis… trop longtemps pour bien s’en souvenir.

Juste après sa phrase, Lilith vit Brett partir dans ses pensées. Elle aurait bien été dans l’impossibilité de savoir de quoi il s’agissait réellement mais elle se doutait que cela était en rapport avec sa situation actuelle et avec sa femme. Elle n’essaya pas d’en savoir plus car cela relevait du domaine privé de la vie de son interlocuteur. S’ils continuaient à parler ainsi, leur conversation allait prendre des allures de discours philosophique sur le travail, et peut-être revêtir un aspect un peu trop Stalinien au goût de la jeune femme. Heureusement, Brett changea de sujet en parlant de la taille qu’elle aurait eu aujourd’hui si elle n’avait pas grandi. Pas très sympathique comme idée, à n’en pas douter. L’évocation des souvenirs de Brett l’a fit sourire. Certes, elle était trop jeune pour s’en souvenir mais elle n’imaginait que trop bien la scène que son père lui avait racontée des dizaines, voire des centaines de fois en riant.

Lorsqu’il évoqua le fait de ne pas oublier sa vie privée au détriment de sa vie professionnelle et de celle des autres, Lilith put lire sur l’expression de son visage que cela sentait le vécu, et pas qu’un peu. La jeune femme s’amusait à essayer de lire, ou du moins comprendre, les expressions qui passaient furtivement sur le visage de son interlocuteur selon ce qu’elle disait ou les sujets qu’elle abordait ; comme celui de Sarah, la femme de ce dernier. Il fallait avouer qu’il était étonnant de trouver un homme marié, à cette heure si tardive, seul (enfin, avec une bande d’amis abandonnée depuis quelques bonnes minutes déjà) un soir de semaine sans sa femme dans un pub à boire sans raison véritable. Brett lui expliqua alors la raison de ce fait qui semblait loin d’être occasionnel, bien au contraire, mais elle n’était pas là pour juger.

La jeune femme ne put retenir un léger rire. Décidemment, à chaque fois que Brett lui parlait de sa femme, il lui donnait l’impression de vivre avec une véritable mégère, possessive avec des excès de violence. Bien loin de l’image de Sarah dont elle avait gardée le souvenir à vrai dire. Après un rapide coup d’œil à sa montre, il finit rapidement son verre qu’il posa sur le comptoir avant de se tourner vers elle pour lui annoncer la suite des évènements. Une fois qu’il eut fini, Lilith prit à son tour la parole.

« Ne t’inquiète pas pour moi, je suis encore bien loin de l’idée de me « lier » définitivement à quelqu’un, je tiens beaucoup trop à ma très chère liberté. Tu as une mémoire qui me fait presque peur. Tu dois être la seule personne encore en vie à m’avoir connu petite. Tu sais que je pourrais te tuer pour ça ? »

Elle rit avant de prendre une nouvelle gorgée de sa bière, qui touchait d’ailleurs à sa fin. Le bar commençait aussi à changer. Les jeunes partaient pour laisser place à des personnes dites de seconde zone, les piliers de bar en d’autres termes. La bande d’amis de Brett semblait d’ailleurs s’impatientait tandis que la sienne… disons qu’ils avaient l’air de bien lier connaissance avec la serveuse, malgré les rappels à l’ordre du patron du pub. La scène tira un sourire à l’ancienne militaire qui se tourna à nouveau vers son interlocuteur.

« Je ne compte pas faire cette erreur, je veux vivre ma vie pleinement, profiter de chaque instant sur cette terre. Tu sais, avec toutes les horreurs que j’ai vu durant ma carrière de Marines, j’ai pu constater que la vie était beaucoup trop courte pour ne pas en profiter. Et puis, il faut travailler pour vivre et non pas vivre pour travailler. »

L’esprit de Lilith se perdit un instant dans les méandres de sa mémoire lorsqu’elle repensa à la mort de sa compagnon et à la perte de son enfant. Peu de personnes étaient au courant et elle espérait que cela reste ainsi, mais elle en avait tiré une belle leçon. Sa carrière était passée avant tout et elle en payait en quelque sorte les conséquences aujourd’hui. Elle chassa ce souvenir triste de son esprit et finit sa bière d’une traite avant de reprendre d’une voix joyeuse.

« Je suis pendue au téléphone. J’ai découvert ce petit bijou portable il y a peu. C’est vachement pratique, on peut faire plein de truc avec, c’est génial. A l’armée, j’en avais pas, mais c’est vrai que ça a son utilité ; une fois qu’on a fini de faire mumuse avec. Et pour ce qui est de ta femme, tu m’intrigues et me donne de plus en plus envie de la rencontrer dis-moi. Mais j’aime les défis, alors que je le relève. »

Des voix se firent alors entendre dans le fond du bar et Lilith put apercevoir que le patron du bar commençait à en avoir marre que ses compagnons tournent autour de sa serveuse. Vu l’état dans lequel ils étaient, la jeune femme sentit qu’elle n’allait pas tarder à entrer en scène pour éviter les dégâts. Elle ne pouvait décidément pas s’en empêcher. Même alors qu’elle n’était pas en service, qu’elle était en « retraite » de l’armée, il fallait qu’elle intervienne pour éviter des soucis à ses ex-hommes. Elle était vraiment irrécupérable. Elle paya alors ses consommations ainsi que celles de ses amis avant de se tourner vers Brett.

« Je sens que je vais également devoir y aller Brett. Mes amis semblent avoir légèrement abusés de l’alcool et sont tombés sous le charme, pourtant inexistant, de la serveuse. Enfin, je les comprends, ils n’ont pas dû voir beaucoup de femmes ces derniers temps. Je vais essayer de faire en sorte d’éviter des soucis avec le patron. En tout cas, ça a été un réel plaisir de te revoir Brett. Et n’hésites surtout pas à me contacter. Je ferais de même de mon côté. Après tout, tu es la personne que je connais depuis le plus longtemps ici. »

Lilith lui offrit son plus franc sourire avant de jeter un nouveau coup d’œil vers ses amis. Ils étaient vraiment intenables ces trois spécimens là.

before beginning the debate, let us make a brief presentation of chemical castration. Chemical castration is an alternative to physical castration, which is made by the removal of testicules, whereas chemical castration is operated by the undertaking of medicines.

Pro chimique : For me, chemical castration is a good way of preventing recidivisme. The medecines should prevent the rapist or the child molester from experiencing sexual arousal, and by the way preventing the desire of raping. For the rapist, it is a way to much more control his libido.

Contre : I can't agree with you, because chemical castration doesn't allow the person taking this treatment of having a normal sexual life. This person that you are naming a rapist is before everything a human being who has paid his debt to society by going to jail. I don't think we should allow this system of double punishment.

Pro physique : I would gladly agree with you if the prison sentence would be a life time one, sadly we all know that this is not the case. You want us to protect a rapist, a child molester, a monster, of his human right of having a normal sexual life. But first I don't think those people are able of having one, second, I think protecting society is far more important. I would even rather go for a physical than a chemical castration.

Contre : I can't believe what i just heard! Just tell me what is the meaning of jail, if it's not sufficient to pay his debt toward society? Your way of thinking is really dangerous. It's a very narrow minded point of view, a fearsome one, and i think a one which have been led by fear. We all know toward what fear can conduct, remember hitler?

Prochim : each of you are going to far, each in an opposite way. You can't relate chemical castration, or even a physical one to nazism, lest to the shoah, the people who undergo it are culprit, have been judged by law of having raped innocent victims, and traumatized them for life. I believe that my point of view is in the right middle, where castration is not irreversible and still is a way of preventing other sexual assault

Contre : in the prospect there is another assault... don't forget that, you are planning of destituting someone of his basic sexual rights, for perhaps a judgment mistake, or a time of this person life when he was lost and do not and will not attend to rape another time.

Prophys : when we were speaking of castration we were speaking of people guilty without any doubt. Tell me one thing now, do you know the percentage of recidivism? It's …....... in …...... . Can you just imagine the pain of the family of the child who has been molested, of this very child? Of the woman who has been raped? Now add to that feeling that we could have prevent it, if it's recidivism. That the man who has done that to them, has already done that to other? Tell me what would you say to the victims and their families? That we couldn't deprive him of his basic sexual rights?

Prochem : I agree with him, even there is not recidive in all the cases, the question is who is to be protected first? I chose the victims. Yes perhaps men chemically castrated wouldn't be able to have normal sexual intercourse, maybe men who wouldn't have tried a second assault, but what is the sacrifice of his sexual potency faced to a new potential victim, a one who could have been saved.

Pro phys : that's why I recommend a physical one, some get viagra, some surely have a way not to take the medicine, a physical castration is the real answer.

Contre : You are just totally wrong. Think a little, make the thing you have between your ears works a bit, tell me what is really the cause of deviant sexuality? Why would someone chose to have sex with a child or an unconscent woman? His testicules? Didn't know they had a mind of their own, poor women, they surely lack two brains, or have their ovaries a mind for you too? The problem is not physical one, it's a psychological one, and should be treated psychologically not physically.

Pro phys : Oh yes, it's true the psychologists and psychiatrists seem so advanced in that field, that there are nearly no more rapes.... Seriously, don't misunderstand me, i know the problem is psychological, as i do know that the specialists in that matter are inefficient to this day. So as long as the solution to that problem can not be found using psychotherapy i recommend castration.

Pro chim : I share his opinion, i have heard some new way of treating deviant sexuality, by cognitive therapy, but i don't think it is really something we can rely upon. What i like in chemical castration is the obligation, the fact that the person who takes it can't chose of experiencing the effect of the medicine or not... With this treatment there is no real problem with deception.

Contre : I know why we can't agree with what you just said, you think that humans are bad, and if given the choice they would rather chose to continue in their crimes than trying a redemption. I'm not of this point of view, i think that every human can be helped to the goodness, and i would even say that for me the real victory over sexual abusers is their redemption, their desire of stopping their instinct, not the fact that their libido is reduced by a forced injection

Satie – Lere Gymnopedie

Charles E. Hilton

C'est juste trop magnifique ! Ö

SMALLVILLE 07
CASTLE 35
DESPERATE HOUSEWIVES 22
ONCE UPON A TIME 15
CRIMINAL MINDS 21

Raggamuffin

Less leva les sourcils ; drôle de hasard…elle qui n’était pas sensé venir faire les courses en cette soirée et qui ne voulait pas du tout passer par le magasin de vêtements dans l’unique but d’acheter quelques camisole à sa fillette se retrouvait désormais en compagnie d’une jeune femme travaillante et attention, à la recherche d’un emploi. La rouquine n’en revenait pas, elle n’aurait peut-être pas besoin de passer une demi-heure à coller ses affichettes un peu partout dans les magasins et puis elle risquait de sauver beaucoup d’argent en ne faisant pas publier son offre dans les journaux de la ville, là où elle risquait de convoquer des gens plus qu’étranges à des entretiens, qui tout autant lui ferait perdre du temps. Un sourire s’installa sur son visage alors qu’elle pliait un second chandail, sourire qu’elle réprimanda presqu’aussitôt. Elle ne connaissait pas réellement cette jeune femme et puis elle n’était peut-être pas convaincue non plus que le travail convenait à cette dernière, elle était peut-être gênée de travailler avec du publique et puis le café n’était pas plu de tout le monde (quel gâchis!). Tant pis, elle demanderait quand même, ça ne lui coutait rien d’essayer après tout. J’suis pas du genre sévère, mais franchement j’aimerais bien que mes employés soient à leur affaires…pas comme ça…Puis elle jeta un coup d’œil vers une des caissière qui soupirait face à son ennui…intérieurement, la rouquine avait une folle envie de mettre la pagaille, simplement face à cette interlocutrice qui deviendrait peut-être une employée de sa boutique, ce n’était pas l’idéal; elle attendrait d’avoir sa réponse puise se ferait une joie d’envoyer balader ces blondasses qui ne pouvaient vivre sans leur téléphone cellulaire. T’as beau laisser des chances, y’a toujours une certaine limite qu’il ne faut pas franchir! Termina en soupirant la jeune femme, attrapant un autre morceau de tissu aux couleurs vives. .Puis sinon bah…l’emploi en soit serait être caissière pour mon petit café. Expliqua sans cachotteries la mère de famille, haussant les sourcils à nouveau, mauvaise habitude. . J’suis proprio du Cup&Cake, je fais des petits cupcakes, des gâteaux en tous genres que je décores et puis bah comme toutes les boutiques dans ce genre, m’enfin la plupart, je vends du café…chose que j’adore et que tu te dois de connaître, d’où vient aussi le nom tout simple. Ajouta la rousse qui termina en riant. Less était le genre de femme bien simple et puis elle n’en voudrait pas à la jeune rousse de ne pas vouloir du poste, il y aurait bien d’autres gens qui feraient la queue. Puis justement, c’est un poste à temps partiel, j’aime bien garder le contrôle sur mes affaires! Conclue la maman tout en déposant le morceau bleu vif sur l’étagère.

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Les mystères sont excitants, et ils contribuent à rendre la vie amusante. Personne n’apprécie le gâcheur qui donne la clef de l’énigme à ceux qui font la queue pour aller voir un film

Thanks

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Rizzoli & Isles

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