Les

Z

UC

Z

UC

- Viens, elle la prit dans ses bras. Qu’Est-ce qu’il t’arrive ? Helen répondit et expliqua par le biais d’interrogations le soucis. Je ne sais pas Helen … C’est si dur de lutter. La vie n’est pas si simple. Ça faisait froid dans le dos de constater la grande détresse de son amie. Il faut aller de l’avant. Helen n’était pas prête, on le entait bien. C’est sur que ça ça n’arrange rien. Mais viendra le jour où il ira bien ce bras. Tente de le devancer. Le bras de Helen était synonyme de pleins de choses. June comprenait la difficulté de vivre avec ce handicap. Il était là comme mémo. Ce n’était pas réjouissant … La brune ne savait que dire pour ne pas que Helen assimile cela à tous ses événements. Car en effet, il devait tant lui rappeler. Soudain, la voisine du doc dit pardon. Elle n’avait pas à le faire. Heureusement qu’elle confiait. Elle pouvait et le devait presque. Ne t’excuse pas. Je suis là. C’est bien que tu en parles.

Y’avait un assez gros bout de temps que Leslee n’avait pas mis les pieds dans un bar…encore plus qu’elle n’avait pas eu un verre offert par la maison…mais elle se sentait confiante ce soir. Depuis la naissance de Lili, la rouquine n’avait pas bu, sinon à peine ; un verre de vin rouge par-ci par-là lors de fêtes comme noël ou bien une petite gorgée de bière qu’elle piquait à son copain qui partait pour les toilettes, seulement boire, boire jusqu’à ne plus se souvenir de la veille ne lui était pas arrivée depuis au moins…trois ans si l’on comptait le début de sa grossesse non planifiée. C’était tout de même dommage car Less adorait sortir en boite et s’amuser en compagnie d’une bonne bouteille, de bons cocktails et surtout de personnes sympathiques qui sauraient mettre de l’ambiance lors de soirée comme celle de ce soir. Less se dirigeait donc vers ce fameux comptoir, après avoir complètement englouti son premier verre, dans l’espoir de ne pas se faire rejeter par son manque de pratique dû à son arrêt de fréquentation des bars. Une fois à destination, elle appuya la paume de sa main gauche sur le comptoir lisse et y glissa doucement sa main, affichant un sourire resplendissant, mais autant plus coquin, jouant de même avec ses longs cils naturels. Parfaitement sûre d’elle, elle commanda une seconde vodka orange puis retourna lorsque ce fut chose faite, vers sa copine qui la fixait, sa petite bière en main. mhh qui est ce qui a eu un verre ‘’offert par la maison’’? C’est Leslee apparemment… en plus je ne suis pas une habituée de la place lieutenant. Conclue la belle rouquine, fière de son coup, riant tout de même de la simplicité de la chose. Elle allait avoir du plaisir en cette fin de soirée, elle en était convaincue.

Qu’est-ce que tu proposes maintenant que c’est chose faite? J’ai droit d’avoir tout ce que je veux, non? Questionna d’un air suspicieux la belle jeune femme, fronçant les sourcils, approchant de même son verre près de sa poitrine, le laissant en suspens pour ensuite prendre une petite gorgée. J’ai mieux comme idée. La première qui obtient le plus de verre en l’espace de 30 minutes gagne le pari et obtient tout ce qu’elle veut du perdant Proposa finalement la mère, se disant qu’il n’était pas des plus justes de simplement gagner un seule verre pour faire de l’autre son esclave…et puis se serait assez marrant de voir le charme qu’elles pouvaient avoir aux yeux des autres… Deal? Termina d’une question la rouquine, haussant son sourcil droit, comme elle avait toujours l’habitude de faire lorsqu’elle n’avait pas peur de révéler un défi de taille.

http://perfect.forum-canada.net/t115-un-tas-de-merde-rien-de-plus-naturel-leslee-kayden#2902

[Messenger Plus! Sound] - Data{2AF817A6510A} - !ATENCIسN!!!!! 

Riley Thompson répondit aux interrogations de sa petite amie. Il rebondit sur la question de l’injustice. La jeune femme pensait mériter son sort. Elle se situait dans une optique où elle n’arrêtait pas de se dénigrer, de se rabaisser plus bas que terre. Elle n’avait pas l’habitude d’affronter ses faiblesses, ni même de les remarquer alors elle se pensait réellement nulle. Le constat de ses difficultés fut trop dur à encaisser. Voilà comme la belle avait entamé un processus de régression. Le faucheur était rassurant et confiant. Enfin, il tentait d’affirmer son point de vue, de le faire passer mais il défendait le cas de sa copine plus qu’autre chose. Le canadien était attentionné mais son point de vue était-il vraiment objectif? Pas forcément, il avait vécu ce genre de situation, où des flics l’avait accusé à tord, donc évidemment il ne partageait pas l’avis et les actes du personnel du commissariat. Le jeune homme était innocent à l’époque et il avait pris cher! Cette partie de sa vie restait à jamais gravée dans sa mémoire. Riley avait toujours était un type bon, dans le droit chemin, à l’inverse de Cassie. Elle avait certainement plus de choses à se reprocher que le pire des criminels de cette ville. Enfin… Thompson avait raison: elle s’était rachetée et avait payé ses actes en effectuant deux mois de prison.

- Merci Riley… oui tu as sûrement raison. Je vais entreprendre des bonnes actions. Je n’ai pas d’idées, je ne sais pas où commencer mais je trouverai. C’est usant d’essayer de se faire oublier… . L’ami que j’ai rencontré devant le commissariat m’a expliqué la dure réalité des étiquettes… comment dire… les policiers ne vont pas oublier mon visage donc à moi de leur montrer que j’ai changé et que je ne baisse pas les bras dans le but d’être tranquille! Enfin… . Elle ne termina pas sa phrase. Merci Riley vraiment, tu m’es d’un grand soutien. Je ne comprends pas pourquoi je ne t’en ai pas parlé avant. Mes soucis n’ont fait que s’accroître. Je t’en suis très reconnaissante mon chéri. ils repassèrent au sujet Steve. C’est gentil Riley mais je ne souhaite pas qu’il t’arrives quelque chose. Si je le vois, j’appellerai la police pour qu’il vienne le chercher: une cellule attend certainement d‘accueillir ce pauvre mec. Le faucheur rassura encore son interlocutrice qui rabaissait chacun de ses efforts. Cassie se concentrait trop sur ses échecs plus que sur ses progrès. Je pense que j’ai l’habitude et que mes expériences m’ont aidé pour une fois. Une fois de plus, je te remercie pour tes paroles encourageantes. Je ne te mettrai plus de côté, je te le promets Riley! Je suis vraiment navrée… .

Elle marqua une légère pause. La jeune femme venait d’avouer au canadien les problèmes qu’elle rencontrait lors de sa cure. Cela faisait un petit moment que ces conneries duraient et qu’elle n’en parlait pas. A cette annonce, Williams pu apercevoir le visage de son chéri changeait. Il le prenait très mal, il avait de quoi. La belle se sentit faiblir.

- Je ne sais pas… je ne voulais pas t’en parler. Tu aurais pensé quoi? Je suis rien qu’une ex-droguée qui ne méritait aucunes attentions j’en conviens. Mais je ne désirais pas te décevoir encore et toujours. Elle leva les yeux au ciel. Si j’ai confiance! Le problème ne se situe pas là… . Pourquoi tu penses ça? Je crois en toi, je t’aime et je sais que je peux tout te dire, tout partager. Mais ce souci, c’était trop dur d’en parler… . Elle soupira comme pour éviter de montrer un tremblement dans sa voix. Pardon…. Je n’aime pas évoquer cette vieille addiction. J’en ai presque honte. Je sais très bien que tu peux tout entendre, mais je ne peux pas tout te dire.

Elle évita le regard de Riley. Le thème abordé était trop éprouvant, trop difficile à expliquer. Elle l’écouta attentivement mais elle se tut. Le bel homme la fixait. Williams ne pouvait pas éviter son regard très longtemps. Cela la gênait. Elle plongea enfin son regard dans celui de son chéri. le discours de ce dernier était émouvant, fort et plein de générosité. Son interlocutrice n’en fit que touchée. Dans les yeux du brunet, elle pouvait y lire la sincérité et la loyauté. Ce contact visuel leur permettait d’être entier.

- Je serai forte pour nous deux, je ferai tout pour. Et si ça ne va pas, je t’en parlerai de suite. C’est impression cette capacité que tu as pour comprendre et rassurer les autres. Je ne suis pas convaincu de ce que tu dis je dois l’admettre, j’ai régressé Riley: je n’aurai pas du être tenter normalement. Je pensais être guérie… . Le pessimisme de la belle la rattrapait encore. Riley consola sa compagne quand celle-ci se mit à craquer pour la première fois depuis longtemps. Elle résistait mais présentement la pression retombait d’un cran. Elle se sentait mieux mais bête à la fois. Elle s’en voulait pour son comportement minable. Cassie acquiesça aux dires de Thompson quand il lui demanda ce qu’elle pensait de la situation, comme quoi le jeu en valait la chandelle. Je ne t’abandonnerai pas, je t’aime trop pour cela. Et sans toi, je ne suis rien… . Elle enchaîna. Le passé du canadien avait été remis sur le tapis. Tu as bien fait alors d’agir ainsi, c’était une nécessité à ta survie. Je n’aime pas imaginer cette période de ta vie, ça me fait mal au cœur quand je tente. Tu es quelqu’un de bien. Et tu ne peux qu’être fier de toi mon chéri.

Pour tout dire, Leslee n’était pas le genre de femme à aimer magasiner. Lorsqu’elle avait besoin de quelque chose, elle se rendait illico dans la rangée appropriée, regarda un instant puis marqua son choix sans regretter, continuant ainsi son chemin pour le prochain objet qu’elle nécessitait… c’était donc ce qu’elle ferait aujourd’hui, après avoir jeté un petit coup d’œil dans la section enfant, elle se rendrait dans la rangée femmes et s’achèterait tout autant des chandails parfaits pour l’été qui approchait et pour cette chaleur soutenant que produisaient les fours dans la boutique de pâtisserie. Ne voyant pas sur le coup les vêtements de fillettes, Less s’approcha d’une jeune rouquine qui s’afférait à plier des chandails, pêle-mêle sur les tablettes en biais à son emplacement. Les vêtements de fillettes, ça vous dit quelque chose? Questionna d’un sourire niais la jeune femme qui accomplissait une tâche, cherchant du regard son badge, afin de s’adresser à elle en mentionnant son nom… ce qu’elle ne trouva pas malheureusement. Il devait s’agir d’une boutique comme tant d’autres, où les employés étaient mêlés à la foule…Leslee trouvait cela assez intime ; ils n’étaient pas obligés de se démarquer des autres, parcourant des foulés de gens qui connaîtrait un de ces quatre, leur nom. Idée à retenir, se dit la rousse tout en fronçant les sourcils. Évidemment elle continua de regarder entretemps si elle ne finirait pas par les apercevoir d’elle-même, elle voyait la section garçon…mais alors là les robes et les tenues d’une teinte rosée ne sortaient pas du lot, ce qui était assez peu commun ; visiblement cette boutique de vêtements se démarquait vivement des autres commerces en son genre, c’était assez bien dans l’ensemble. En fait je cherche des camisoles pour petites filles… Spécifia alors Sea avant que la jeune femme n’ajoute quoi que ce soit, apportant ensuite sa tasse de café en Stainlee à ses lèvres, habitude qu’elle avait depuis le premier jour où elle avait gouté à cette merveilleuse boisson chaude.

SMALLVILLE 07
CASTLE 34
DESPERATE HOUSEWIVES 21
ONCE UPON A TIME 14
CRIMINAL MINDS 22
NEW GIRL 02

In fear and loathing

https://afterlife.forum-canada.net/t1159-on-est-la-pour-te-soutenir-frangin-jonathan-cassie-linda#75243

SMALLVILLE 07
CASTLE 34
DESPERATE HOUSEWIVES 21
ONCE UPON A TIME 14
CRIMINAL MINDS 22
NEW GIRL 02

Salut Megan ! Ça va ?

Ϟ Journaliste

coup de coeur :

Kid’s Choice Awards 2012

- Je suis très contente de te savoir bien. Moi ça va, mentit-elle. Elle avait un air assez gêné sur le coup car ce n’était pas facile. Euh oui bien sur. Tu peux entrer. C’est un peu le bazar, je m’en excuse par avance. Elle était ennuyait de recevoir avec une maison pas trop nickel. Étant en dépression, June ne faisait rien. C’était Liam qui s’en occupait maintenant.

Kid’s Choice Awards 2012

chers admins !

Kid’s Choice Awards 2012

http://