-Jake, ne trouble pas ma paix intérieur avec tes reproches.

-Je ne veux pas troubler ta paix comme tu dis, je trouve juste que tu sors souvent depuis quelque temps.

-Tu n'as qu'a venir avec moi chéri, tu sais que j'aime passer du temps avec toi, c'est juste que ce soir, je ne peux pas resté dans la maison. Et ne me dit pas d'allée dans la cours, c'est un prolongement de la maison.

-C'est bon, Kelly dors, mais la prochaine fois, propose tes balades à une heures moins tardive à fin qu'on puisse t'accompagner Kelly et moi.

Sur ce, l'homme offrit un tendre baiser à sa femme. Kate quitta automatiquement la maison pour faire sa petite balade. Et cette fois ce n'était pas pour aller retrouver Jeffery, qui étrangement n'avait pas donner de signe depuis environs une semaine. Aurait-il décidé de mettre un terme à leur relation ? Sachant que les sentiments du jeune homme était alimenté à la même source que les siens, Kate se rassura puis décida de prendre la route de la place. L'endroit était éloigné de la maison, heureusement pour elle, les voitures ont été inventé pour facilité ce genre de déplacement.

Arriver à la place, la jeune femme réalisa que l'air était beaucoup plus frais que dans le cartier qu'elle venait de quitter. Puisqu'elle n'avait pas pensé prendre une veste, la jeune femme attrapa la couverture qu'elle gardait toujours dans la voiture au cas ou elle en aurait besoin pour Kelly. C'est chaudement emmitouflé dans sa petite couverture a l'image de lune et d'étoile que la jeune femme abandonna sa voiture pour aller mettre ses pieds dans le sable frais.

Cette soirée était parfaite ! Le ciel était d'un bleu royale parfait, on y voyait même quelque trait violet. Les étoiles se montraient en grand nombre et la lune était devenue presque complète. Comment faire une nuit plus parfaite que celle-ci ? En faire une nuit sans psychopathe ? Oui, sa aurai été une idée bonne idée pour Kate d'évité cet homme !

Non loin d'elle, Kate pouvait voir un homme accroupie en boule près de l'endroit ou les vagues venaient mourir. Plus elle avançait et plus elle pouvait entendre la personne se plaindre. Cet accident qui lui avait couté la vie aurai du lui faire comprendre que s’approcher des personnes sans les connaitre était un énorme risque à prendre, mais elle ne pouvait pas faire la sourde oreille à la personne qui pleurait.

Monsieur, est-ce que je peux faire quelque chose pour vous venir en aide ?

D'un bon l'homme se mit sur ses pieds, telle une petite bête nerveuse qu'on viens de surprendre. Question de garder un périmètre de sécurité acceptable , Kate décida de reculé de deux pas.

Homme-Qui es-tu ? Qu'Est ce que tu me veux ?

-Rien, je me demandais juste si vous aviez besoin de quelque chose. Je ne voulais nullement vous importunez.

-Et bien continue ta route Saloppe et laisse moi , a moins que tu puisse me dire comment quitté ce monde de fou! Quoi qu'une femme habillé comme toé sa doit avec de l'Argent non ? Qu'est ce que tu cache sous ta couverture ? Tout le monde fume du pot de nos jours ! J'suis sur que t'en as sur toi ! Donne le moi !

Dans son délire Kate au tout juste le temps de reculé davantage pour ne pas que l'homme agrippe la couverture de sa fille. Encore une fois elle c'était mit le nez ou elle n'aurai jamais dut. Au loin elle pouvait voir une femme arrivé en joggant. Kate partie dans la direction de la jeune femme pour l'avisé de retourné sur ses pas et de ne pas approché de cet homme qui maintenant était debout entrain de hurlé des vacheries.

**Le déroulement de cette journée ne fut pas dans le top trois des meilleures pour Alice Riley. Elle servait un client au cinéma lorsqu’un homme, se tenant debout loin derrière la file, criant sur la brunette de se dépêcher. De nature patiente, la jeune femme expliqua au jeune homme qu’il devait attendre que son tour vienne. Mais ce dernier n’ayant pas la langue dans sa poche commença à critiquer chaque personne se tenant dans le cinoche. Riley avait la patience assez haute mais, voilà que l’homme l’avait poussé à bout. Bref, Lilice et une de ses collègues sortirent l’homme. Maintenant, la brune avait un caractère de bœuf, ce qui n’était pas souvent le cas.

Il était quinze heures trente quand la demoiselle n’en pouvait tout simplement plus. Ali dit à sa collègue qu’elle prenait sa journée et c’est sans problème qu’elle l’obtenu…Le soleil brillait de plein feu et la chaleur était présente sans être lourde.

Riley se rendit chez soi, pour se reposer. Cet homme l’avait sortit de ses gonds et la fatigue avait apparue. Elle se coucha sur son sofa, ne prenant pas le temps d’enlever ses chaussures et elle tomba immédiatement endormie.

Une fois l’énergie retrouvée, la New-Yorkaise se réveilla, regardant un peu autour d’elle.
Ce somme avait permis à Alice de retrouver son calme et…Oh ! Les yeux grands ouverts et la bouche béante, al belle fixait l’horloge. Elle avait dormit longtemps pour qu’il soit si tard. Ce ne devait qu’être les piles de l’horloge qui ne fonctionnaient plus. Riley se dirigea à la fenêtre où elle tira les rideaux. Le ciel était noir, parsemé de million de petites étoiles qui brillaient. La lune était si grosse et magnifique. Sur ce, la brunette alla dans sa chambre à couché, peinte d’un joli violet, pour se changer en tenu de jogging. Il fallait bien qu’elle dépense toute l’énergie gagner !

Les cheveux dans le vent, la brise effleurant son visage, les vagues qui font leur adieu à la mer, c’était magnifique. Le calme et le bien être c’était emporté d’Alice jusqu’à ce qu’une femme apparaisse. Elle lui expliqua de ne pas s’approcher de cet homme au loin. Ce dernier criait à gorge déployé que sa mort était stupide. Il ne cessait de hurler et l’homme se rapprochait des deux femmes. Prit d’une peur bleue, Riley agrippa le bras de la demoiselle pour s’enfuir loin de ce fou. **

Heureusement pour Kate, la jeune femme prit son avertissement au sérieux. Aurait-elle pu faire autrement en voyant ce dingue hurler sa rage ? Les chances sont minces, mais le monde peu réagir de manière si étrange quelquefois.

En rager de voir les femmes s'éloigner de lui, l'homme fit quelque pas dans leur direction bien décider d'avoir des réponses à ses questions et que l'une d'elles lui donne un peu de calmants chimiques. Comme il l'a mentionné plutôt, tout le monde a du cannabis sur soit ! Si ses femmes disent ne pas en avoir c'est qu'elles sont égoïstes, chose que Martin n'était pas près à accepté. Et plus d'être mort la nuit dernière , il n'aurait pas le droit à un peu de compassion ? Non, ça ne se passera pas comme ça !

L'homme fit donc quelques pas dans la direction. En voyant la plus jeune agripper le bras de l’aînée pour l'éloigner, un petit sourire malsain fit son apparition sur le visage troublé de l'homme. De son vivant Martin n'avait jamais été un enfant de cœur, mais jamais il n'avait osé lever la main sur une femme... mais n'est-il pas mort ? Dans la mort le moral n'est pas la même ! S'il frappe une morte, il ne pourrait rien lui arriver de pire puisqu'elle est morte elle aussi ! Aveuglé par la noirceur qui hanter ses esprits, l'homme prit les femmes en chasse !

Martin :ou pensez-vous aller !

Rapidement, le toxicomane finit par mettre la main sur le bas du t-shirt de la plus jeune, lorsqu'il sentit le tissu rugueux, il referma sa main de manière à ce que la femme ne puisse plus aller plus loin au moment ou il arrêterait de courir. Deux pas après avoir attrapé le tissu il mit fin à sa course ce qui eu pour effet de faire tombé la jeune femme ainsi que Kate puisque cette dernière était accrochée solidement à son bras.

MartinC'est quoi votre petit jeu ? Vous vous pensez trop bien pour aidé un Punk ? Toi ! La vieille, je te trouve vraiment impoli ! Lorsqu'un homme demande, tu te soumets femme ! Tes parents ne t'ont jamais rien appris ? Et toi la gamine, je suis sure que tu as ce don j'ai envie !

-Ça ne sert à rien d'être violent !

Martin : La ferme ! Et ne pensez pas à vous relevez ! Merde, qu'est ce que je fais ? Qu'est ce que je peux faire ? Je ne peux pas resté ici ! Je ne peux pas accepté cette condition !...

Tout en tournant autour des jeunes femmes, l'homme se mit à pauser beaucoup de question qui n'avait pas vraiment de lien entre elle, il semblait chercher une évasion sans comprendre ou il se trouvait vraiment. Personne ne peut quitté la mort a moins de perdre véritablement la vie une seconde fois. Trop effrayé pour dire quoi que ce soit, Kate restait immobile dans sa couverture tout en gardant la jeune inconnue près d'elle. Tout en souhaitant que la jeune femme est une bonne idée pour les sortir de se faux pas, Kate s'aperçus qu'elle était vraiment égoïste en appréciant ne pas être seule pour passer cette épreuve.

Alice ne s’attendait nullement à ce qu’une femme vienne en courant vers elle pour l’avertir qu’un homme, un peu plus loin sur la plage, criait comme un fou. La brunette ne pris pas l’avertissement à la légère. Elle se mit à courir en revenant sur ses pas, tout en agrippant le bras de la dame. Cette dernière ne stoppa aucunement le geste de la demoiselle et la suivit sans broncher. Le cœur de Riley frappait de plus en plus violement sur sa cage thoracique lorsqu’elle entendit l’homme s’approcher rapidement d’elle. Mais voilà qu’Alice avait mal évalué la distance entre elles et le malade. Soudainement, la New-Yorkaise se sentit attirer et tomba durement sur le sol de la plage, emportant du même coup la jolie dame. Une fois au sol, Lilice s’agrippa plus solidement au bras de la blonde et regarda au alentour. Il n’y avait personne qui pouvait leur venir en aide. Personne !!! Les deux femmes étaient donc là, assis de force sur le sable frais de la plage et craignant le pire face à l’homme.

Ce dernier criait qu’il ne pouvait être dans ce monde, qu’il ne savait pas quoi faire pour se sortir de cette situation. Alice savait très bien que dans le Skyline, les âmes pouvaient mourir et que deux choix s’offraient à eux. Soit une retournait dans le monde vivant en tant que nouvelle personne, soit ils continuaient leur vie paisible dans le monde des morts. Alors, c’est avec une pointe de courage et de frayeur qu’elle ouvrit la bouche pour dire : **

Vous pouvez mourir à nouveau et ensuite choisir de retourner sur terre, mais cela dit, vous serez un gamin…

**Craintive à l’idée que l’homme lui cri qu’il se fichait bien de ce qu’elle pouvait penser ou dire, Ali se tue et le dévisageant un peu. Elle se retourna pour voir la dame qui avait l’aire aussi terrifié qu’elle. La brunette espérait de tout cœur que sa suggestion soit bonne pour que l’homme les laissant sauve, mais elle avait un mauvais pressentiment. Le malade ne cessait de crier qu’il ne pouvait être ici, que sa place était ailleurs et que ce n’était qu’un accident stupide. Lilice ne voulait pas brusquer les choses, mais décida de lâcher le bras de la blonde et se leva pour faire face à l’homme. Elle devait bien faire quelque chose bon sang ! La jeune femme ne pouvait plus l’entendre se plaindre. Elle espérait que la dame ne fasse aucun geste brusque. Sinon la situation allais tourner au vinaigre. **