« Déborah Lys » Après avoir passé mon temps à rêver de toi et à penser à toi, je voudrai le passer auprès de toi

CRÉDIT - FICHE

Pendant quelques instants, il n'y eut plus que le silence entre les deux amoureux. D'habitude, cela ne le dérange pas qu'il n'y ait pas de conversation, surtout avec Déborah. C'est comme si ils n'avaient pas besoin de mots pour être ensemble. Rien que la présence de la jeune femme suffisait au faucheur. Mais la... Le silence était lourd, pesant. On y sentait une tension. A ce moment là, Zachary aurait bien voulu que la brune lui parle, qu'elle se mette en colère, qu'elle lui dise qu'il était un imbécile, ou ce genre de choses... Il aurait préféré que sa réaction la mette en colère plutôt que de voir des larmes coulées sur son visage. Elle prononça alors un seul mot : pourquoi ? En soi ce mot n'a rien de méchant, mais la... Le musicien devait se justifier de son hésitation, ou plutôt de sa peur... Mais il ne savait pas comment ! Il continua de regarder Déborah, même si à ce moment la il aurait aimé se lever, s'éloigner, pas d'elle bien sur, mais de cette question. Il éloigna son visage de celui de la jeune femme, essuya une larme de son visage et tenta une explication :

Je ne sais pas... Peut-être que... Peut-être que c'est trop tôt... ou... ou je ne sais pas...

Il bafouillait et tout ce qu'il disait ne ressemblait à rien. Il ne savait pas pourquoi. Il était perdu. Il savait qu'il ne voulait pas perdre cette femme, absolument pas. Quand ils s'étaient rencontrés, jamais il n'aurait imaginé ressentir ça. Il n'avait pas eu de coup de foudre en la voyant, quand il était allé lui parler il n'avait pas l'idée de la séduire, et même après quand ils s'étaient revus à l'occasion il ne l'avait pas vu comme une possible compagne. Mais petit à petit, il avait fini par l'apprécier, s’inquiéter pour elle, elle lui manquait, il l'aimait. Il était tombé amoureux. Sans qu'il ne s'en rendre compte tout de suite. Maintenant il le savait, et si il foutait tout en l'air maintenant, il savait aussi qu'il aurait beaucoup de mal à s'en remettre. Il était dans une période où il se posait pas mal de questions, il se remettait en doute, il voyait la vie en noir, sauf quand il était avec elle. Donc la seule solution était de dire oui. Comme ça il était sur de rester avec elle. Logique, non ? Alors pourquoi il hésitait ? Il dit alors :

J'ai pas... J'ai pas l'impression d'être chez moi.

C'était pas chez lui. C'était la maison de Déborah. Une grande maison, où la plupart de pièces ne servait pas, avec des meubles qui sortaient tout droit d'un catalogue. Son appartement à coté ressemblait à un dépotoir sans nom... Mais il s'y sentait chez lui, dans ce dépotoir... Il regarda Déborah, attendant sa réaction.

la mémoire est la peur de la mort. Ne plus en avoir, était-ce être mort ?

« Déborah Lys » Après avoir passé mon temps à rêver de toi et à penser à toi, je voudrai le passer auprès de toi

CRÉDIT - FICHE

Pendant quelques instants, il n'y eut plus que le silence entre les deux amoureux. D'habitude, cela ne le dérange pas qu'il n'y ait pas de conversation, surtout avec Déborah. C'est comme si ils n'avaient pas besoin de mots pour être ensemble. Rien que la présence de la jeune femme suffisait au faucheur. Mais la... Le silence était lourd, pesant. On y sentait une tension. A ce moment là, Zachary aurait bien voulu que la brune lui parle, qu'elle se mette en colère, qu'elle lui dise qu'il était un imbécile, ou ce genre de choses... Il aurait préféré que sa réaction la mette en colère plutôt que de voir des larmes coulées sur son visage. Elle prononça alors un seul mot : pourquoi ? En soi ce mot n'a rien de méchant, mais la... Le musicien devait se justifier de son hésitation, ou plutôt de sa peur... Mais il ne savait pas comment ! Il continua de regarder Déborah, même si à ce moment la il aurait aimé se lever, s'éloigner, pas d'elle bien sur, mais de cette question. Il éloigna son visage de celui de la jeune femme, essuya une larme de son visage et tenta une explication :

Je ne sais pas... Peut-être que... Peut-être que c'est trop tôt... ou... ou je ne sais pas...

Il bafouillait et tout ce qu'il disait ne ressemblait à rien. Il ne savait pas pourquoi. Il était perdu. Il savait qu'il ne voulait pas perdre cette femme, absolument pas. Quand ils s'étaient rencontrés, jamais il n'aurait imaginé ressentir ça. Il n'avait pas eu de coup de foudre en la voyant, quand il était allé lui parler il n'avait pas l'idée de la séduire, et même après quand ils s'étaient revus à l'occasion il ne l'avait pas vu comme une possible compagne. Mais petit à petit, il avait fini par l'apprécier, s’inquiéter pour elle, elle lui manquait, il l'aimait. Il était tombé amoureux. Sans qu'il ne s'en rendre compte tout de suite. Maintenant il le savait, et si il foutait tout en l'air maintenant, il savait aussi qu'il aurait beaucoup de mal à s'en remettre. Il était dans une période où il se posait pas mal de questions, il se remettait en doute, il voyait la vie en noir, sauf quand il était avec elle. Donc la seule solution était de dire oui. Comme ça il était sur de rester avec elle. Logique, non ? Alors pourquoi il hésitait ? Il dit alors :

J'ai pas... J'ai pas l'impression d'être chez moi.

C'était pas chez lui. C'était la maison de Déborah. Une grande maison, où la plupart de pièces ne servait pas, avec des meubles qui sortaient tout droit d'un catalogue. Son appartement à coté ressemblait à un dépotoir sans nom... Mais il s'y sentait chez lui, dans ce dépotoir... Il regarda Déborah, attendant sa réaction.

June passait un très bon moment en compagnie de son ami Zach. Danser avec lui ainsi n’était pas déplaisant, loin de là. La brunette en profitait ça ne serait pas tout les jours qu‘elle s‘adonnerait à une telle danse avec son faucheur qu‘elle appréciait fortement. Puis l’alcool faisait qu’elle ne pensait plus à rien et donc les conséquences elle s’en fichaient pas mal. Mais alors que tout deux s’amusaient bien, le brunet coupa cours à tout ça et dit vouloir aller au toilette. La belle ne le retint pas car elle le trouvait un peu pale. Elle souffla tout de même une fois qu’il s’était évanouie dans la foule pour rejoindre les WC. La jolie continuait à danser tranquillement dans son coin. Puis quand elle vit Zach revenir elle s’empressa de vouloir le rejoindre mais il avait choisit de danser avec une autre nana et de s’éclater ailleurs. Un peu déçue, June s’en alla au bar pour s’enfiler une nouvelle bière, bien trop rapidement. Bizarrement, elle était assez dégoûtée… Le médecin décida de se rabattre sur quelqu’un d’autre car elle préférait zapper ce moment trop déprimant. Un bel homme était sur un table seul avec une consommation à moitié remplie, c’était une bonne cible. Il semblait seul, lui aussi. June se permit de s’asseoir à ses côtés avec difficultés bien sur. La belle lui demanda d’aller sur la piste au bout de quelques minutes. Les deux avaient sympathisé rapidement. A une période, c’était devenu une habitude pour elle de sortir et de faire des rencontres hasardeuses pour oublier son quotidien et là : alcool, débauche etc … Tout était au rendez vous. Depuis que sa déprime c’était accentuée, elle en avait fini avec de tels comportements dangereux car elle n’avait tout simplement plus l’envie de profiter de la vie. Autant dire, que là c’était une petite renaissance qui lui faisait du bien mais bon c’était éphémère et complètement fou. Qui était cet homme ? June ne savait rien de lui.

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« Il est temps que nous parlions » Riley Thompson & Cassie Williams

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Dexter Morgan 15
Debra Morgan 13
Rita Benett 14
Angel Batista 11
Vince Mazuka 14
Joey Quinn 08
Lumen Pierce 09
Lila 09
Trinity 14
Ice Truck Killer 14
Jordan Chase 09
Travis Marshall 08
James Doakes 14
Miguel Prado 05
Astor Benett 07
Cody Benett 07
Harrison Morgan 08
Harry Morgan 11

The White Stripes - Seven Nation Army

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Alysia ne s’en attendait pas. Kathleen lui avait même dit qu’elle ne la connaissait pas... Et oui, son amie lui avait menti. Bien sur, le geste était « justifié », mais d’une certaine manière, rien n’excusait le fait que la brunette avait menti à la médium. Sur le coup, Brittany resta muette, sirotant son café. Lorsqu’une femme dévisagea les demoiselles, Parker ne se gêna pas et lui fit un doigt d’honneur. Voilà ce qui détendra l’atmosphère. En réfléchissant un peu Parker se dit que son amie ne pouvait pas la connaître suffisamment pour lui donner des informations concernant l’amant d’Alice, mais malgré tout, elle lui aurait pardonné, c’était sa petite Kathy.

-Ne t’inquiètes pas, j’aurais peut-être, sur le coup, pété une crise mais, après quelques minutes j’aurais retrouvé la raison. Ne t’en fais pas.

Aly considérait Baxter comme sa petite sœur, celle qu’elle n’aura jamais. Et en parlant de famille, la médium se mit à réfléchir à Michael et Stepheny, comme ils lui manquaient. Perdue dans ses pensés, elle reporta pas attentive à son amie qui lui demandait qu’elle pouvait bien avoir. Revenant en douceur, Brit prit du temps avant de pouvoir répondre.

-En?.. Oh, je ne fais que penser à Michael et Stepheny, tu te souviens, mes parents adoptifs. Ils me manquent tellement, en plus de ma sœur... S’tu moi où il me faudrait en verre pour faire passer toute cette émotion!

Oui parfois, lorsque la jeune femme avait des passages émotifs, elle les noyait très souvent dans l’alcool. C’était le seul moyen qu’elle avait trouvé, car elle ne voulait pas gelé le cerveau avec de la crème glacée. Soudainement, le serveur du café vint avec deux gobelets et dit :

-Voilà pour vous mes dames, servit par les deux hommes là-bas.

Et il repartit, sourire aux lèvres. Alysia se retourna, car les deux hommes étaient derrière elle, assis quelques tables plus loin. Et comme ça, elle lâcha en direction des âmes :

-Bien que je sois bisexuelle, je ne sortirais jamais avec des gens ne faisant pas partit des catégories hommes ou femmes!

Et elle éclata de rire. Comme toujours, les autres clients la regardèrent de travers. J’ai rien fait de mal!

Quand amitié et danger font bon ménage. Alec et Casey en savaient un rayon sur le sujet. Présentement, ils s’adonnaient à une pratique bien dangereuse: s’injecter de l’héroïne par voie intraveineuse. Ils étaient concentrés dans leur pratique respective. Dans son kit, Hamilton possédait plusieurs seringues. Pour éviter d’attraper des « poussières » ou des infections bactériennes, elle nettoyait régulièrement son matériel. Le désinfecter, elle ne le faisait pas tout le temps non plus: lors de certaines soirées, elle partageait sa seringue... . Chose à ne pas faire pour éviter les hépatites ou même pour ne pas choper le sida! Parfois, elle était trop alcoolisée pour se rendre compte de ses gestes affolants. La belle usait souvent de cet amusement. L’héroïne permettait d’accéder à un apaisement soudain. Les deux amis avaient connu le « rush », surtout Alec Doakes. Leur esprit était ailleurs: le brunet subissait et son amie attendait. Les effets de cette substance illicite se propulsaient à la vitesse d’un flash, en quelques secondes. Casey pimentait jeu. La jeune femme s’était administrait une injection intramusculaire pour retarder ce flash. Les effets arriveraient dans sept à huit minutes, c’était une moyenne. Ils duraient pour toutes injections en partie: trois à cinq heures. La première heure était consacrée à l’acquisition d’une paix intérieure très soudaine et intense. Ensuite, l’angoisse prendrait place. Hamilton faisait un mélange pour contrecarrer les effets de l’héroïne. C’était mortel, cela pouvait provoquer une overdose à retardement. Elle ajoutait de la cocaïne au cocktail car elle en consommait de coutume et qu’elle connaîtrait l’euphorie pure. Un certain équilibre s’installerait, il serait facilité par la prise de « speed ball ». La dealeuse pouvait percevoir les dires d'Alec qui était complètement dans son trip. Casey se resservit un verre qu'elle but cul sec en attendant la montée du produit.

- Ouais. Tu ressens quoi?

Soudain, le flash arriva. Ce moment fut appréciable. Une montée de chaleur était notable. Casey osa enlever son débardeur sans pudeur et sans retenue, elle finit donc en soutif. La plénitude était un effet recherché. Hamilton ne négligeait pas une telle pratique. La hors la loi désirait éviter une overdose donc elle avait habitué son corps à cette prise. Sa première fois fut immonde. Elle avait vomi et des nausées incommensurables l’avaient alors empêché d’apprécier le tout. Elle n’était pas une vraie junkie à proprement parler. Elle ne prenait pas deux à quatre prise d’héroïne par jour et par voie intraveineuse, non! La jeune femme voulait ne pas connaître les effets de sevrage qui était contraignant en général: nausées, diarrhée, vomissements, etc... . Elle faisait cela occasionnellement en fin de semaine la plupart du temps. Les effets, elle les ressentait toujours. Il fallait avouer qu’elle en était dépendante parfois. Guns ne portait pas ce genre de pratiques dans son cœur! Et s’il venait à la découvrir?

https://afterlife.forum-canada.net/t1184p20-a-really-good-surprise-zach#85130

http://24.media.tumblr.com/tumblr_m24ob5VOML1qbdbago2_r4_500.gif

https://youtu.be/nHtkcpsRjj4

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Alison DiLaurentis

- On répond aux imbécile par le silence. Ils sont idiots, c’est bien dommage pour eux mais il faut que vous apprenez à dépasser cela, même si c’est difficile. Les jeunes sont injustes et ça n’sera pas les seules qui réagiront ainsi. Tentez d’être sourde à leur remarques débiles. La brune voulait rassurer et aider Déborah.

je t’adore très fort

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