Well I was wrong

† VOTRE PERSONNAGE †

† NOM COMPLET:Jacqueline Sullivan
† ÂGE:Vingt-trois ans
† GROUPE :Dark Side
† ÉTAT AMOUREUX:Célibataire
† DATE DE NAISSANCE - DATE DE DÉCÈS :3 décembre 1987- 29 juillet 2011
† PROFESSION:Serveuse
† VILLE ET PAYS D'ORIGINE:Bristol, Angleterre
† HISTOIRE: Jackie n’a pas eu la vie facile. Ça non, pas facile du tout. Bien sûr, des millions d’autres personnes dans le monde vivent une vie difficile à cette époque trouble où le capitalisme l’emporte sur la générosité et parfois, à côté de leur histoire, celle de Jackie semblerait bien douillette, mais nous ne sommes pas ici pour parler de leur histoire. Nous sommes ici pour Jackie. Jackie Sullivan.
Tout a commencé comme tout le monde commence : Un homme, une femme, une rencontre. L’homme baisse la vitre de sa fenêtre en immobilisant son automobile devant le groupe de filles à moitié dévêtues. Il pointe une jeune fille plutôt en retrait, blonde et menue, et lui fait signe d’embarquer dans l’automobile. Le nom de l’homme est Larry, mais elle ne le sait pas. Le nom de la femme est Priscilla, mais il s’en fout. Je vous épargne les détails de la scène qui suit, car nous savons tous ce qui est arrivé et que je n’ai pas envie de verser dans ce domaine un peu cru. Une fois qu’il en a terminé avec elle, Larry mets quelques billets dans le décolleté de Priscilla et cette dernière part, retenant les larmes qui risquent à tout moment de déborder. Elle se sent sale, dégoutée d’elle-même, mais au moins, elle sait qu’elle aura de quoi manger cette semaine.
Neuf mois ont passés depuis Larry et maintenant Priscilla ne doit pas seulement s’occuper de se nourrir elle-même. La petite fille, car c’est une petite fille, fut prénommée Jacqueline. Ni elle ni sa mère ne connaîtront jamais le nom du père biologique, mais peut-être est-ce mieux ainsi : Larry a déjà trois enfants avec sa femme et celle-ci aurait été détruite de l’infidélité de son mari. Mais bon, je m’égare et ça, c’est une autre histoire. Revenons à notre petite Jackie Sullivan.
Elle grandit dans un quartier pauvre de Bristol avec sa mère et certains hommes parfois, mais Jackie ne pourrait pas se souvenir de leur nom. Michael, Sam, un Fred peut-être? Ce n’est pas vraiment important. Ils finissaient toujours par s’en aller, et c’était presque tant mieux car Jackie se souviens clairement les avoir détestés, un à tour de rôle. Quand Jackie fêta son premier mois, Priscilla décida d’arrêter de faire de la rue de peur d’être arrêtée, d’être enlevée ou même tuée, car elle savait que si quelque chose lui arrivait, personne ne prendrait soin de son enfant. Elle se dénicha un emploi dans un bar, près de chez elle, et pendant qu’elle allait travailler, elle laissait la petite a la vieille Mme Rosenbaum, qui se faisait un plaisir de la gâter du mieux qu’elle le pouvait, même si cela voulait quand même dire très peu.
Jackie adorait Mme Rosenbaum, et elle allait régulièrement chez elle, la préférant largement à sa mère qui elle, préférait les seringues à sa fille. Parce que oui, en effet, Priscilla était retombée droit dans les bras de la drogue presque immédiatement après avoir donné naissance à Jackie. Cette dernière s’y était habituée, mais ça ne voulait pas dire qu’elle était d’accord avec ça.
Avec le temps, Jackie comprit qu’il lui serait impossible de faire changer sa mère. Elle se renferma sur elle-même et cela s’empira quand ils durent déménager à cause de la destruction imminente de leur bloc appartement, laissant ainsi Jackie dans l’impossibilité de retrouver sa chère Mme Rosenbaum. Elle avait sept ans.
Jackie poussait comme une fleur au cœur d’un sol rocailleux. Rare était les gens de son quartier qui ne l’avaient pas très haut dans leur estime. Elle restait toujours loin de la drogue, ne buvait jamais plus que de raison et se respectait elle-même. Sa mère elle-même était sur la bonne voie, prenant des traitements de méthadone pour se donner toutes les chances possibles d’arrêter. C’était le bon temps. Jackie était heureuse.
Mais pour cette dernière, le bon temps ne dure jamais longtemps. C’était le 23 décembre 2003. Il avait neigé la veille et Bristol était toute blanche. C’était le dernier jour avant Noël et Jackie n’avait toujours pas trouvé de cadeau pour sa mère. Elle était donc allée au centre commercial dans la voiture de sa mère (Elle venait d’avoir son permis) et avait cherché. Finalement, après trois heures, elle avait trouvé un collier à chaîne d’or avec un petit pendentif qui prenait la forme d’un petit ange étendant ses ailes. Il était cher, mais Jackie avait économisé depuis très longtemps tout ce qu’elle gagnait au café où elle travaillait et elle voulait vraiment faire plaisir à sa mère.
En arrivant chez elle, elle ouvrit la porte et sut immédiatement que quelque chose n’allait pas. L’appartement sentait le brûlé à plein nez, des seringues jonchaient le sol et aussi le silence… Le silence pesant et si inhabituel chez sa mère. Avec appréhension, Jackie avança, prenant bien soin de ne pas faire de bruit au cas où quelqu’un de ma intentionné serait toujours dans la maison. Elle regarda dans la cuisine et dans le salon : pas de traces de Priscilla. Dans sa chambre non plus, elle n’était pas là, ni dans celle de sa fille. Jackie passa donc à la seule pièce qu’elle n’avait pas fouillée, c’est-à-dire la salle de bain. La porte était barrée. Elle cogna quelques fois, mais n’ayant pas de réponse, elle décida d’enfoncer la porte, qui semblait très facile à briser et légère. Elle réussit à son troisième essai mais elle n’entra pas tout de suite dans la salle de bain exigu et plongée dans la pénombre. Rassemblant tout son courage, elle entra, ouvrant la lumière.
Sa mère était couchée sur le côté, un garrot sur son bras gauche. Jackie la retourna sur le dos. Ses lèvres étaient bleues et ses joues avaient perdu toute couleur. Jackie chercha en vain un pouls, un battement de cil, le moindre signe désespéré que sa mère pourrait encore être en vie. Au bord de la panique, elle s’empara du téléphone et composa le 9-1-1.
En attendant les secours, frustrée que sa mère ait fait une rechute, elle ouvrit la fenêtre et jeta le petit collier avec son angelot ridicule le plus loin qu’elle le pouvait, lui hurlant des insultes en le regardant tomber. Il était vrai que si elle n’aurait pas été l’acheter cette journée-là, elle aurait pu être là et empêcher sa mère de se shooter à tant de répétitions.Puis, les pleurs qu’elle empêchait de sortir furent trop pour elle et elle s’effondra sur le sol.
Ils emmenèrent directement le corps de sa mère à la morgue. L’autopsie révéla qu’elle était en effet décédée d’une overdose. Jackie fut prise en charge par les services sociaux et une famille, les Bell, la recueillirent. Autant qu’elle avait été démolie par la mort de sa mère, elle se sentait beaucoup plus libre. S’occuper de sa mère était un lourd fardeau à trainer pour une jeune fille de seize ans. Elle avait retrouvé le collier la journée après la mort de sa mère et maintenant à chaque fois que celle-ci lui manquait, elle serrait très fort le chérubin dans ses mains, jusqu’à-ce que ses angles pointus lui entaillent la paume jusqu’au sang.
Elle n’aimait pas vraiment les Bell, mais elle vécut chez eux jusqu’à sa majorité. Mais la journée même de ses dix-huit ans, enfin libre, elle s’envola jusqu’à New York. L’Amérique, cette terre promise où tous les rêves se réalisaient. Elle réalisa bien vite que cette affirmation était absolument fausse. Elle s’installa dans un petit appartement dans le Bronx, et se trouva un emploi dans un bar près de chez elle. Bientôt, elle commença à prendre de la boisson plus que de raison, et pour la première fois, elle commença à se droguer de temps à autre avec des collègues, puis ce fut de plus en plus souvent et elle finit par devenir accro. Elle avait dix-neuf ans.
Bien sur, elle savait que ce qui était arrivé à sa mère pouvait très bien lui arriver aussi, mais elle n’avait pas envie de faire attention : elle avait envie de drogue. De la coke, de l’héroïne, du crack, peu importe, si elle pouvait s’en obtenir, et elle se foutait bien de si elle était dangereuse ou pas : Elle voulait être défoncée.
Jackie fréquentait maintenant des gens qu’on aurait pu juger de pas très nets. En particulier son dealer, qu’elle détestait tout autant qu’elle ne pouvait vivre sans lui. Il lui faisait faire tout ce qu’il voulait en échange de drogue qui était souvent coupées avec autre chose pour lui permettre de se faire plus d’argent sur le dos de ses junkies.
Le montant d’argent que Jackie lui devait augmentait chaque jour et à un point, le dealer décida qu’il en avait assez d’attendre le paiement qui ne se faisait pas sentir. Il la menaça de la tuer si elle ne lui trouvait pas l’argent avant le lendemain. Mais Jackie était une femme intelligente et elle transportait toujours avec elle un petit couteau, qu’elle planta dans le cœur du dealer.
Tuer ou être tuée.
Elle ne regretta jamais son geste. Bien sûr elle avait tué un homme, mais cet homme avait été une racaille et n’aurait eu aucun regret à la tuer elle. Et Jackie voulait vivre, elle voulait vivre plus que tout au monde. Elle voulait vivre pour tous ceux qui ne vivaient pas assez longtemps.
La police ne retrouva jamais le responsable du meurtre de Frederic Williamson, et Jackie décida d’abandonner la drogue. Elle mit toutes les chances de son côté, alternant méthadone et séance de support, et finit par vaincre son addiction. C’était le bon temps.
Qu’ai-je dit déjà à propos des bon temps?
† RAISON DU DÉCÈS: Jackie commença à se sentir mal vers ses vingt et un ans. Elle l’ignora au début, vaquant à ses occupations comme à son habitude. Mais le mal empira et elle se rendit chez un médecin pour savoir ce qu’elle avait. Celui-ci trouva une bosse inquiétante sur l’un des seins de Jackie.
- Ça pourrait être une simple kyste, affirmait-il
Ce n’était pas une simple kyste. C’était rare à son âge, mais tout était possible dans ces jours troubles. Le cancer était déjà assez avancé et les espoirs étaient minimes de la sauver, mais on décida quand même de commencer la chimiothérapie. On lui injecta donc un peu de poison à intervalles de plus en plus rapprochées. Encore. Puis, les cheveux commencèrent à tomber avec les espoirs de la sauver. En mai 2011, son état empira. On la transporta à l’hôpital où elle resta. Toutes forces l’avait abandonné. Jackie n’était plus que l’ombre d’elle-même.
Puis elle rencontra Stan. Stan était un volontaire qui allait visiter les gens gravement malades pour leur redonner un peu de joie de vivre avant leur mort. Il se prit immédiatement d’affection pour cet être chauve, maigre et trimballant partout avec elle un petit collier orné d’un ange. Stan savait bien que dans aucun cas, cette relation ne se terminerait bien pour lui, mais le sourire de Jackie à chaque fois qu’il venait la voir était assez pour le convaincre de revenir à sa prochaine visite.
Mais Jackie n’allait pas mieux. Pas du tout. Et elle avait peur. Peur de mourir. Peur de ne plus être. Qu’est-ce qui se passait une fois de l’autre côté? Allait-elle le découvrir le lendemain? Le jour d’après? Celui qui venait après? Elle ne pouvait pas le prévoir. Mais elle voulait partir. Vous savez, cette envie irrésistible de sauter quand on se trouve au bord d’une falaise? Elle la ressentait pleinement.
Puis un beau jour d’été, le 29 juillet 2011, alors que Stan la visitais, quelque chose se passa.
- Stan... J'ai quelque chose... A te demander.Jackie peinait à parler. Il faut dire qu'elle n'allait plus vraiment bien, et ça se voyait tout de suite au tube qui l'aidait à respirer et à la perfusion plantée dans son bras, ainsi qu'à son rhytme cardiaque irrégulier. Le cancer la battait à plate couture.
- Tout ce que tu voudras, mon chou.
- Je... Je n'en peux plus... Il... Il faut que tu m'aide...
- À quoi?
- Je... Tue-moi, Stan...
- Quoi?
- Je t'en... supplie! Je n'en... Peux vraiment plus.
- Il faut que tu t'accroche!
- Non... Peux... Plus...
- Mais...
- Je t'en... supplie.
- Ça va contre toutes mes fibres... Je ne veux pas que tu meure Jackie. Mais si c'est ce que tu veux... Alors je vais te confier quelque chose. Il y a bien quelque chose après la mort.
- Ta sympathie... Tu peux bien... Te la foutre... Dans le...
Et Jackie se mit à tousser incontrôlablement. Stan lui versa un verre d'eau et elle se calma.
- Je te le jure, c'est vrai. Je ne peux pas te dire comment je le sais, mais c'est vrai. Ai foi en moi et n'aie pas peur. Tu sera mieux là-bas car ta maladie s'en ira.
- Mais t'attend... quoi? Vas-y... Je m'en... fout s'il y a... quelque chose après. Je veux juste... Partir.
- Ok.
Doucement, Stan ôta le tube respiratoire du visage de Jackie. Il déposa courtement ses lèvres sur son front brulant et pris l’oreiller qui se trouvait sous la tête de la malade.
- Je t’aime, Jackie.
† PERSONNALITÉ:Avant la maladie, Jackie était une fille rayonnante de vie. Elle était très sociable et généreuse, bien que parfois elle puisse se montrer impatiente ou impulsive.
† PHYSIQUE:Elle est blonde ou brune foncée, tout dépendant de la perruque qu’elle avait envie de mettre le matin même. Sa mâchoire est très carrée et ses yeux sont brun chocolat et très grands, ce qui lui donne un air adorable. Elle est plutôt petite et a reprendra un poids santé dès qu’elle le pourra dans sa deuxième vie.
† LIEN : Stanley Dean Prescott
† AVATAR: Anna Paquin
† AUTRES INFORMATIONS:Je ne crois pas que c’est nécessaire
† CODE DE VALIDATION DES RÈGLEMENTS:Life

† VOUS †

† NOM:Chloé
† ÂGE:16 ans
† VILLE/PAYS:Québec, Canada
† CE QUE VOUS AIMEZ:les livres, le magasinage, la plage, la vraie bonne musique, Jensen Ackles
† CE QUE VOUS N'AIMEZ PAS:Les oignons, les menteurs, la pop bonbon, les imbéciles et Robert Pattinson
† SÉRIES PRÉFÉRÉS:Supernatural, Smallville, One Tree Hill, Glee, Skins & plusieurs autres
† OÙ AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? :Marie (Nathan) me l’a mentionné, je suis allée fouiner, j’ai adoré le concept et j’ai décidé de m’inscrire
† CE QUI VOUS A POUSSÉ À VOUS INSCRIRE : Ça a l’air vraiment bien!
† CE QUE VOUS PENSEZ DU FORUM :J’adore les graphiques, le concept est super
† PRÉSENCE : 9/10
† ET UN PEU PLUS SUR MOI ? : Un jour je me marierai avec Jensen Ackles.

Bienvenu encore
J'ai hâte de lire la suite ...je suis déjà intrigué (bon signe)
Je sais je t'ai dit que j'allais lire ton histoire plutard, mais je ne pouvais pas attendre ^^
et en plus tu es québécoise tout comme moi et plusieurs autre membres du forum

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !

Une autre québécoise ! C'est vraiment super ; on en reçoit plusieurs ces derniers temps ! C'est vraiment gentil de la part de Nathan de t'avoir fait découvrir le forum !
Donc, avant tout, je te souhaite la bienvenue sur Afterlife, je suis bien heureux de t'y accueillir ! J'espère sincèrement que tu vas bien t'amuser en notre compagnie et que tu aimeras le forum ! Si tu as des questions, ne te gène pas, bonne chance pour ta fiche de présentation, préviens nous lorsque ce sera terminé pour qu'on puisse lire tout ça ! Amuse toi !
PS: Tu n'aimes pas Robert Pattinson, SUPER !

Alors bienvenue à toi future femme de Jensen !
J'espère sincèrement que tu te plairas parmi nous ^^
Si tu as des questions n'hésites surtout pas, je te souhaite bonne chance pour le reste de ta fiche
& un gros merci à Nath pour t'avoir fait connaitre le forum, Québécoise en plus, on commence à être pas mal là Ca fait plaisir loll
Robert P.....arrrkkkk !

Merci beaucoup

Je me dépêche à finir

^^ Prends ton temps miss tu n'auras qu'à nous le signaler une fois le tout terminé

Bienvenue parmi nous !
J'espère que tu te plaira, même si je n'en doute pas vraiment

Welcome (vive Smallville).

Bienvenue !

Bienvenue parmi nous, bonne continuation et j'espère que tu t'amuseras bien

Merci beaucoup, et en effet VIVE SMALLVILLE ET LE BEAU TOM WELLING!!!

Edit : Bon voila, j'ai fini, désolé pour le physique et la personnalité, mon inspiration est toute passée dans l'histoire, bien qu'elle ne se soit un peu gâtée vers la fin, manque de temps oblige. Merci

Danse de la fin en espérant que l'histoire de Jackie vous plaira

Alors donc c'est parfait pour moi ; je te valide sur-le-champ ^^
T'en fais pas sur le physique lol ce n'est pas la partie la plus importante de la fiche, c'est jsutement l'histoire et le décès que tu a merveilleusement écrit
J'aime bien l'idée de Stan aussi, qu'il soit au courant de ce qu'il y a après la mot ^^ un scénario pour toi miss ? Si oui, ne te gênes surtout pas et lance toi
Alors je te souhaite finalement de t'amuser et surtout si tu as des questions n'hésites surtout pas !

Ton histoire est super ! Elle compasse bien évidemment la longueur de ta personnalité et de ton physique Je te souhaite de bien t'amuser en notre compagnie ; tu peux maintenant aller ouvrir directement ta demande de topic, lien, demeure, rang & emploi J'espère que le forum te plaira et bon Jeu !

Bienvenue

Merci tout le monde

bienvenue sur le forum

j'espère que tu te plais bien déjà !

je suis aussi du quebec et j'aime beaucoup ton histoire

OH MON DIEU!! Tu es sur AfterLife!! Yeahh!!! Bienvenuuuue a toi
Indice sur qui je suis: Anabelle Watson

Ouais moi je suis Kathleen Brown... I'm back Et Marie m'avait déjà dit qui tu étais.

Pour de vrai? Ah mince. Je croyais vraiment que c’était une coïncidence! Je nous trouvais hot... xD

Hahaha ça aurait tellement été fou!

Bienvenue sur le fofo des mouru !! je te souhaite beaucoup de plaisirs en notre compagnie et j’espère que tu va vite t'y plaire
je partage ton dégoût pour Robert Pattinson xD

Bienvenue ma p'tite chouette! (Remarque, je te dis ça même si je suis plus jeune et plus petite que toi. En fait ça sonne mieux que Grande Conne, et c'est plus sympathique aussi)

Bref, j'ai pas eu le courage de tout lire ta fiche, mais je le ferai... bientôt. (Quand j'aurai finit la mienne, s'entend)

Bref, ma soeur va voir Harry Potter aujourd'hui. Je t'attend pour y aller, moi. (T'es consciente de mon gros sacrifice?)

Bon, salut là!

T'es mieux de la lire Marie!

Et merci à tout le monde