SUPERMARCHÉ

**Johnny McRay afficha un grand sourire à la responsable du supermarché, bien qu’elle venait d’entreprendre une conversation amicale et polie, l’homme n’avait pas envie et besoin de faire marche arrière, il avait tout de même fait deux victimes jusqu’à présent, il savait ce qui l’attendait ; la mort et il ne reculerait devant rien. Il afficha un petit sourire à son tour et dit.**

Parfait ! Vous voyez cette femme là-bas ? Accompagnée de son mari et de leurs enfants ?

**L’homme pointait la petite famille au loin. Il attendit que Helen les remarque bien, sortit son révolver de sa poche avec l’autre main et tira à quatre reprises, une balle pour chaque membre de cette parfaite famille bourgeoise, ce dont Johnny n’avait jamais eu malheureusement. Il leva les sourcils et hurla en souriant.**

Ne vous affolez pas les amis, ce n’est qu’un petit jeu !

**Évidemment, on avait entendu les quatre coups dans tout le centre du magasin.**

SUPERMARCHÉ

**Jayson Walker discutait paisiblement en compagnie de la jeune Julia, une jeune psychologue qu’il venait tout juste de rencontrer. Tout se passait pour le mieux, ils parlaient tranquillement, la conversation allait sans doute se terminer pour laisser la chance à l’homme de faire ses commissions et d’aller chercher Xander à la garderie, mais au moment où il s’en attendait le moins, des coups de fusils partirent dans le centre commercial à quelques mètres de l’endroit où il se trouvait. Jay eut comme reflexe, tout comme la plus part des gens, de s’écrouler sur le sol, mais l’homme d’affaire aggripa la jeune brune et l’attira sur le sol. Ils étaient derrière le stand à pommes, ce qui leur donnait la chance de se cacher du tireur. Le coeur sur brunet battait à tout rompre, il ne comprenait pas ce qui se passait présentement et la seule chose qui l’inquiétait était en réalité sa femme qui était dans la boutique voisine. Walker dit sur un ton bas.**

Mon dieu, vous allez bien mademoiselle Gabriel ?

**L’homme fit quelques pas accroupis sur le sol. Il regarda au loin, le tireur et vit quatre victimes sur le sol. La femme et les deux enfants ne bougeaient plus, mais l’homme semblait agoniser, étendu sur le sol. Walker s’inquiétait beaucoup. Il regardait la scène sans dire le moindre mot, touchant le bras de Julia, pour être certain qu’elle n’était pas trop loin de lui. Le tireur se mit à hurler à l’assemblé, ce qui fit paniquer l’homme encore plus. Il reprit sa respiration pour garder son calme et se redressa sur le stand, face pour voir la jeune psychologue. Il serrait les dents assez lourdement et fixait la femme.**

Il y a quatre victimes, d’après ce que j’ai vu, l’homme n’est pas mort encore... Mais il faut faire quelque chose...

**Jay toucha la poche de son pantalon. Il y avait son téléphone portable. Le brun devait contacter la police. Il l’ouvrit et composa le numéro de l’urgence, quelques secondes passèrent avant qu’on lui répondit. Jayson expliqua la situation avec le plus de calme possible et surtout avec la voix la plus basse qu’il pouvait, dans la mesure du compréhensible.**

Fresh Ocean

Cette fois, Lusitania ne peut retenir son éclat de rire et ria à gorge déployée devant Caleb. En effet, il aurait du prendre la jeune femme au sérieux au lieu de dire qu'il venait de Calgary. Parce que Lusitania ne connaissait certes pas Calgary mais elle pensait quand même que c'était moins froid que Skyline. Et ce que venait de lui dire Caleb était pile ce qu'il lui fallait pour lui donner raison. Elle lui donna un léger coup de poing dans l'épaule. Qu'est ce que Lusitania y pouvait si les deux partenaires avaient eu la même idée. Alors qu'elle allait ouvrir la bouche, des bruits de coups de feu se firent entendre. Le lieutenant de police qu'était la jeune femme porta tout de suite la main à son arme tout en se baissant. Elle devait intervenir même si elle était en congé

"Ne bougez pas, rester à l'abri!!"

A peine avait elle eu le temps de dire sa qu'elle s'était déjà relevé et quittait la boutique de vêtement, en laissant ses articles derrière elle, son arme à la main.

Supermarché

Une fois sorti de la boutique, elle se dirigea vers le supermarché, suivant les conseils des clients qu'elle croisait. Venant dans le dos du tireur, elle remarqua qu'il se trouvait à côté d'Helen, une amie de la jeune femme. Lusitania se jeta derrière un étalage de légume, préférant ne pas être repéré et prise pour cible... Manquerait plus que cela quand même. Elle risqua quand même un regard vers le tireur, histoire de garder un oeil sur lui.

[Comme je suis longue mais que les admins sont gentils, Me voilà ^^ Dan était là avant les coups de feu.]

Supermarché

Qu'elles étaient rares, les journées de congé. mais bon, le travail n'attendait pas, et encore moins à la prison. Dan profitait donc de ses rares journées libres pour faire ses petites emplette de base. De quoi manger, essentiellement. Ce jour-là, il était donc au centre commercial pour refournir un peu ses placards. Et oui, ca se vidait vitesse grand V tout ça! Bientôt, il n'aurait plus rien à manger, à ce rythme-là... Donc il faisait le tour des rayons du centre commercial pour acheter viande, légumes, fruits, conserves, mais aussi eau et lait, yaourts et confiseries, son petit régal en rentrant du travail. Il regardait de temps à autres autour de lui les décorations d'Halloween qui prenaient places dans le magasin. Gradioses, vraiment très belles! Le temps, au dehors, était déjà bien froid. Mais bon... Tant qu'il était au chaud, le juge ne pensé à rien de spécial. Il se dirigeait vers la caisse, avec ses achats. Soudain, il entendit quatre coups de feu, qu'il tenta de localiser. C'était sur sa droite. Il fit signe aux clients terrifiés de se mettre à couvert et il se dirigea, à moitié plié en deux, vers l'origine du bruit. Il resta derrière un rayonnage lorsqu'il vit le tireur et ses quatre victimes, plus loin. Il s'immobilisa. De toute manière, tant qu'il n'en saurait pas un peu plus sur la situation, il ne servirait pas à grand chose, sauf à se faire tirer dessus.

FRESH OCEAN

**La discussion commençait à emmerder le jeune brunet plus qu’autre chose. Il recula d’un pas, jeta un coup d’oeil dans le magasin pour trouver Holly du regard. Elle magasinait toujours, il fit un bref sourire et regarda ensuite sa cousine Alyson qui restait là, ne semblant pas être trop dans la conversation. Wellington voulut réagir et aller rejoindre sa copine, mais des coups de feu retentir dans le centre commercial. Jay fit un pas de recul et regarda autour de lui. Il jeta un furtif coup d’oeil vers la rouquine qui était au fond de la salle. Au moins, il y avait deux agents de polices dans le centre commercial, mais bon, ils ne pouvaient pas abbattre le tireur sur le champ, les lois de la police le contredisaient. Wellington n’allait sans doute pas écouter la policière, il voulait en apprendre plus sur cette situation. Selon ce qu’il pensait, les coups de feu provenaient du supermarché. Il voyait bien que Alyson et Holly l’observait, mais sans dire un seul mot, le brun se mit à marcher rapidement en direction du marché à quelques pas de là, il suivit la policière sans dire un mot, mais ne s’aventura pas à l’intérieur comme venait de le faire la jeune flic, situation beaucoup trop risqué pour lui. Il jeta un coup d’oeil à la scène, un homme avait tiré sur quatre personnes, une famille sans doute. Jayden retourna ensuite à la boutique rejoindre Alyson & Holly. Il arriva près d’elle et remarqua en même temps une brunette près de la rousse. Il dit sur un ton bas.**

Merde, un cinglé à tiré sur quatre personnes !! J’ai vu qu’il était près de la gérante...

**Le brunet tourna la tête à nouveau vers le centre d’achat et se pencha.**

Baissez-vous, j’ai pas envie qu’il vous tire !

**Dit l’homme en tirant les femmes vers le bas. Il serrait les dents de doute, espérant que le tueur ne se rende pas jusqu’ici, sinon, la situation pourrait rapidement dégénérée.**

*Supermarché*

Aujourd’hui, June avait bossé de nuit. On lui laissa donc un peu de répit en journée. La belle profita après avoir fini son service pour passer au supermarché pour s’acheter un petit truc à grignoter avant d’aller récupérer son petit de chez la baby sitter. La brunette n’avait rien mangé depuis un petit moment et il lui fallait quelque chose pour palier à la faim. June gara sa voiture sur le parking du centre commerciale et elle descendit pour se diriger vers l’entrée du supermarché….
Ça faisait maintenant plusieurs minutes que la brune flânait dans le magasin. Elle vaguait de rayons en rayons découvrant les nouvelles promos. June avait le temps car elle devait récupérer Thomas dans vingt minutes au moins et ce n’était pas très loin. Elle allait vers ce qui lui plaisait. Là elle se trouvait dans le rayon maquillage quand elle entendit des coups de feu retentir. Mince ! Ça se passait ici dans le supermarché. La belle prit peur. Elle ne bougea pas de son rayon et s’assit par terre pour ne pas être vu. Elle attendait que ça se passait , pensant à sa famille, à son travail, … La brunette avait vraiment peur à cet instant, peur de ne plus revoir ses proches, peur qu’on la trouve, peur de la suite … Le temps paraissait long et elle ne savait pas ce qui se passait. Elle daigna avancer vers la tête du rayon pour jeter un œil un peu plus loin. Ça avait l’air très grave.

SUPERMARCHÉ :

Linda raccrocha. La belle était contente d’avoir eu sa petite sœur au bout du fils. Après avoir rangé son téléphone, Line continua ses emplettes. Elle alla dans le rayon alcool pour acheter ce dont elle avait besoin. La blondinette ne savait pas que son frère avait un soucis avec cela. Il était devenu alcoolique suite à cet accident au Devil’s Tail. L’homme était gravement brûlé et il ne s’y faisait pas. C’était tout à fait compréhensible. Line était en train d’examiner des bouteilles quand elle entendit clairement des coups de feu. D’ailleurs elle en fit tomber une de ces bouteilles par terre. Elle était confuse mais en même temps troublée. Qu’Est-ce que c’était ? Était-ce sorti de son imagination ? La grande blonde ne comprenait plus rien. La belle eut pour seul réflexe de courir à travers le magasin pour trouver Jessie et la mettre en sécurité. Elle croisa le tireur, ce qui la fit s’arrêter net car la peur l’envahissait. Elle reprit sa route pour ne pas se faire tirer elle aussi dessus. La blonde savait qu’il l’avait sûrement vu. Line était affolée. Son cœur battait si fortement qu’elle stoppa sa course. Elle respira comme si elle avait fait un marathon et par chance elle vit que Jess était là. Line s’approcha de la belle qui avait l’air stressée. Elle dit d’une voix basse.

- Jessie, ça va ? Je vais te sortir de là. Elle lui fit un geste de la main qui lui disait de ne pas bouger. Elle s’avança vers la ligne centrale du magasin pour examiner les possibilités de sortie. Linda n’avait pas froid aux yeux. Elle pensait même à tous ces gens autours qui eux aussi devaient avoir peur.

SUPERMARCHÉ:

Linda Williams avait ajouté quelques propos face à ceux de Jessie Blacks. Cette dernière sourit par rapport aux réactions plaisantes et amusantes de la femme qui souligna de manière sympathique le fait que Jonathan n'avait pas son mot à dire quand au choix de son gel douche. Ceci fut un prétexte pour souligner que Line lui botterait les fesses au cas où il s'en plaindrait. Ensuite, la belle blondinette enchaîna sur des compliments très touchants. Jess fut toute émue à l‘annonce des ces quelques gentillesses. Elle rougit légèrement avant de remercier à plusieurs reprises la personne modeste qu’était Linda Williams. Tout ce que la professeur de sport disait, partait d’un bon sentiment. Jessie appréciait également Line à défaut de la connaître très peu. Soudain le téléphone portable de l’interlocutrice de Blacks sonna. Elle s’excusa car elle devait répondre. Jessie sourit amicalement à la femme qui précisa qu’elles allaient certainement se retrouver.

Jess continua ses courses tranquillement, suivant scrupuleusement sa liste de courses quand elle fut perturbée par la vue d’un homme qui sortit un flingue. Le déséquilibré s’en servit pour descendre une famille complète. Jessie lâcha ses emplettes sur le sol, laissant une bouteille d’un bon vin se déverser sur le sol. Elle couru se réfugier derrière un rayon. La jeune femme ne savait que faire. Elle était stressée, affolée. Qu’allait-il se passer,? Au même moment, Linda arriva quasi essoufflée au côté de Jess. Elle avança le fait qu’elle était là pour elle. Elle lui demanda même si elle allait bien. Jessie fit non de la tête. Williams se mit en danger pour regarder les possibilités de sorties. Jessie la prit doucement par le bras aux risques de se faire voir elle aussi.

- Stop, c’est trop dangereux, murmura-t-elle. Ne bougeons pas d’ici. Je vous remercie. Mais, l’important est de rester en vie… .

SUPERMARCHÉ :

Jessie n’allait pas si bien que ça. Son signe « non » de la tête le signifiait très bien et le fait que ses courses soient étalées par terre aussi. En même temps, la situation n’était pas des plus rassurante. Linda n’avait pas eu le temps de voir ce qui c’était réellement passé dans le supermarché. Affolée en entendant les coups de feu, elle s’était juste mise à courir pour retrouver son amie. La belle n’avait pas pris le temps de penser, elle avait juste agit. Rester sur place n’aurait servit à rien. En tout cas, elle avait croisé le tireur et elle en gardait les traits de son visage parfaitement dans son esprit. Il avait l’air si fou. Resonger à ça donnait des frissons à Linda. Quand elle avait enfin rejoint Jess, elle tenait à faire quelque chose pour s’échapper d’ici avant qu’un massacre de plus n’est lieu mais la femme qui était à ses côtés la retint dans son élan et lui suggéra la prudence.

- Vous avez raison, elle examina les alentours et reconnut pas si loin d’elle Jayson. C’était un homme très sympa, son fils participait au cours de la prof de sport. Elle avait bien envie de le rejoindre car autant se grouper pour trouver une solution. Si on allait là bas, elle désigna Jay qui n’était pas seul. On pourra peut-être plus facilement trouver quoi faire, puis on n’sera pas seules.

SUPERMARCHÉ:

Linda Williams ne contredisait pas son amie. La prudence était de mise, chacun devait agir sans se faire remarquer pour ne pas être vu par cet homme fou. Apparemment, il était capable du pire. Le tueur comptait faire quoi? Allait-il partir? Allait-il continuer le massacre? Pouvait-on le raisonner? Que cherchait-il? Pourquoi tous ces meurtres? Tant de questions se bousculèrent dans la tête de Jessie Blacks. Elle avait peur. L’image de cette famille massacrée fit frissonner la blondinette. Personne ne méritait cette morte atroce.... . Le fait que Line accepte de miser sur la discrétion rassura amplement Jessie qui ne souhaitait pas perdre son amie. La femme proposa de rejoindre un homme. C’était un inconnu pour Jess. Or, cela semblait apaisée Linda. La belle devait le connaitre.

- Cette famille… ils sont morts: des enfants… et leurs parents. Une larme perla la joue de l’auxiliaire de vie qui avait tendance à user d’empathie. Je ne sais pas si c’est une bonne idée de rester en groupe, on sera plus visible. Enfin… . Elle suivit Linda Williams sans grandes convictions. Mais peut-être que cette dernière avait raison d'agir ainsi au lieu de ne rien faire. J’espère qu'on sera ce que le tueur désire. Il faut que ça cesse…. .

Cinema

Pour tout dire, Red ne supportait pas du tout la présence d’Aaron…bon oui, ça tout le monde le savait, mais on aurait cru cela toutefois pire qu’à l’habitude. Ce devait être parce que justement le rouquin en ajoutait une couche…délaissant son habituel silence pour maintenant emmerder son grand frère qui pourtant s’était excusé, chose qu’il craignait de faire en temps normal. Bref, le brunet se laissa porter par sa copine qui l’attrapa tout doucement par le bras et qui l’entraina hors de porter du rouquin et de la nouvelle pin bèche qui entama une discussion sans intérêt.

Il posa donc son regard inconditionnel sur sa petite amie qui tenta de le raisonner un peu, ne voulant pas le laisser aller pour des conneries de ce genre; cela vint premièrement agacer le brunet, simplement au plus profond de son cœur il comprit qu’elle n’avait pas tort…il se tut donc, la laissant terminer de dire ce qu’elle avait à dire avant d’entre-ouvrir la bouche pour se défendre machinalement; simplement un son autre que des paroles firent irruption dans la pièce bondé. Qu’était-ce ? Alors là Jared n’était pas cent pour cent certain, seulement il crut reconnaître le doux son qu’emmenait une balle, puis deux…puis une troisième, lorsqu’enfin il crut en avoir assez entendu, un second bruit fit irruption. Les sourcils froncés, Jared jeta un coup d’œil circulaire dans la petite salle de cinéma ; apparemment il n’était pas le seul à avoir perçu un bruit plus qu’étrange pour un centre commercial…

Soudain, des cris et des pas de courses dans les corridors encombré du petit centre d’achat.
Bordel… S’exclama tout bas le faucheur, commençant sérieusement à flipper.
Personne ne savait ce qui se passait, pourtant quelque chose était bel et bien en action…Inquiet, Lee s’empara à son tour du bras de sa petite amie puis la colla à son corps bâti. Reste là. Lui dit-il tout en lâchant ensuite la main frêle de la brunette pour s’approcher de la baie vitrine, remarquant le spectacle en direct du super marché… Oh putain… souffla enfin Lee tout en écarquillant les yeux, se retournant avec stupéfaction vers le groupe qui s’était formé à ses pieds. On est dans l’pétrin…Y’a un tireur fou d’l’autre côté et franchement pour tout dire il semble pas du tout coopératif.

EXTÉRIEUR

Jonathan devait aller souper chez sa soeur Linda ce soir. Il avait reçu l'invitation au début de la semaine qu'il n'avait pas pu refuser. Il aimait sa famille plus que tout et ça comptait beaucoup pour lui. Le fermier vivait tristement dans sa fermette depuis l'incendie. Il avait repris de la bête, pouvait travailler à nouveau avec ses animaux, mais l'envie de la bouteille était de plus en plus puissante. Il devenait alcoolique de plus en plus que les jours avançaient. Jessie l'avait surpris, mais malgré ça, il avait continuer à faire à sa tête. Son visage et son corps le rendait triste. Il n'en voulait pas à Holly mais aux gens qui le regardait lorsqu'il sortait de chez eux. La pitié ou le dégoût, peu importe ce qu'il lisait dans le visage des gens, ça le déprimait beaucoup. Dernièrement, son père avait eu un accident et ils avaient réussis à le faire choisir la vie, ce qu'il choisirait lui même si il pouvait avoir le choix. Il décida en cette après-midi, proche de l'Halloween d'aller acheter une bouteille de vin au centre d'achat. Il sortit de son pick-up et marcha vers le centre où il vit Cass. Il dit étonné : Cassie, que fais-tu ici ? En même temps, le bruit des sirènes résonèrent partout dans le centre-ville. Jo regarda autour de lui intrigué. Que se passe t-il ?

SUPERMARCHE


Lorsque l'homme se mit à lui sourire, Helen fronça les sourcils d'étonnement et peut-être un peu d'appréhension. Il se dégageait de cet homme une aura plutôt négative. Une lueur étrange brillait dans son regard. La jeune femme n'avait pas l'habitude de penser du mal des clients mais celui-ci aurait presque pu lui faire froid dans le dos. Heureusement, elle avait vu pire de son vivant ! Il n'y avait pas mort d'homme ! Se surprenant à sourire des idées plus que négatives qui naissaient dans son esprit, la brune écouta l'homme parler. Elle suivit du regard la direction qu'il indiquait avant de se retourner vers lui à la vue de ce qui semblait être une arme.

Helen en avait suffisamment vu dans sa vie pour savoir que ces révolvers ne faisaient jamais de bien. Son coeur manqua un battement. Le bras de l'homme se tendit et les coups résonnèrent.
- Non … Un soupir, une plainte, une lamentation, tout cela à la fois dans ce murmure d'angoisse. La jeune femme trembla légèrement. Elle n'avait plus l'habitude de la violence. Reculant d'un ou deux pas, elle tenta de s'éloigner mais reprenant un instant le dessus sur sa peur, resta proche de l'homme maintenant devenu un monstre. Ses mains tremblaient tellement qu'elle se savait incapable de désarmer le fou et c'est toute à cette constatation fataliste qu'elle l'entendit hurler. Sa voix la fit sursauter et c'est instinctivement qu'elle suivit le mouvement précédent de la foule, vers le sol. Elle ferma un instant les yeux dans l'espoir de retrouver un rythme cardiaque normal. C'était peine perdue. Se relevant doucement, elle fixa l'homme, le regard légèrement apeuré et murmura :
- Pourquoi ? Toute la question était là: pourquoi cette famille, pourquoi aujourd'hui ? S'il avait voulu mettre fin à ses jours, il aurait uniquement visé sa propre personne. Cherchait-il dont à acquérir de l'importance ou simplement à faire du mal ? A se venger ou simplement à tuer ? Le cerveau handicapé par une peur certaine de mourir, Helen avait du mal à rationaliser. Les choses semblaient floues, comme dans un mauvais rêve. Ses pensées s'entre choquées sans pouvoir être cohérentes.

Agir ou ne rien faire ? Cette question revenait. Si elle osait un geste pour partir, il tirerai sûrement et adieu la vie ! Si elle tentait de le départir de son arme, elle risquait la vie des clients encore présents bien que cachés pour la plupart. Mais, si elle ne faisait rien, il tuerai de nouveau, c'était certain. Le doute et la terreur empêchaient toute action, elle attendait là, à coté de ce meurtrier, plus passive qu'autre chose.

EXTÉRIEUR

Ce matin, Zachary fut réveillé par la lueur du jour. Les rayons du soleil éclairaient la pièce, et la première chose qu'il se dit c'est qu'hier soir en revenant il n'avait pas fermé les rideaux de sa chambre. La deuxième chose c'est qu'il avait besoin d'une bonne dose d'aspirine. Il avait mal au crâne, il avait donc du bien picoler hier soir... Il resta quelques minutes avachi sur son lit, puis s'assit au bord du matelas. Il s'était tout de même déshabiller, il ne lui restait que son caleçon. Il prit sa tête dans ses deux mains et grogna, tout en se levant et en se dirigeant vers la salle de bains. Il se rafraîchit, enfila un pantalon et alla à la cuisine. En ouvrant le frigo il remarqua que celui ci était vide. Bref, cela voulait dire qu'il devait aller manger quelque part, et aller faire des courses ! Il prit une bonne douche, s'habilla et sortit de chez lui. Il prit sa voiture et alla manger un morceau dans un resto du coin. Après cela il y resta un petit moment car il ne voulait pas aller faire des emplettes ! Il détestait ca ! Mais il devait manger. Il sortit du restaurant, roula une cigarette, s'installa dans sa voiture et mis le moteur en marche. Une fois sa cigarette allumée il partit en direction du lieu infernal.
Dix minutes plus tard, Zach gara sa caisse et en descendit. C'est à ce moment la qu'il entendit un coup de feu. Instinctivement il se baissa et couvrit sa tête de ses bras. Il attendit quelques secondes et se releva lentement en jetant des coups d'oeil partout. Pas grand monde à l'horizon, seulement des personnes comme lui qui se demandaient surement ce qu'il se passait.
Bordel ! C'était quoi ça !? se demanda-t-il tout haut.

Fresh Ocean

Putain ! S’exclama la rouquine alors qu’elle échappa un manteau rose perle sur le sol ; avait-elle réellement entendue des bruits de coups de feu ? Elle priait le ciel que non. Incertaine elle jeta un coup d’œil en direction de la petite bande qui s’était formée autour de son copain et de sa cousine, fortement distinguée pour y voir à son tour Jayden intrigué. Comme elle l’eue pensée, quelque chose venait réellement de se produire et ce n’était pas du tout bon signe. Prise de peur, la rousse ne bougea pas d’un pas, regardant son amoureux s’approcher de la grande baie vitrée. Évidemment elle n’avait aucune envie de le laisser aller, seulement elle le connaissait que trop bien et savait dur comme fer qu’il ne l’écouterait pas, surtout en moment de crise comme s’en était présentement le cas.

Ce ne prit heureusement pas plus d’une minute pour le voir réapparaitre prêt de la petite bande, étonnamment il n’y resta pas scotché comme l’eut crue la belle rousse, avec étonnement elle le regarda s’approcher d’elle et de la brunette qu’elle venait de pousser involontairement. L’avait-elle réellement entendu prononcer les mots ; tirer sur quatre personnes ? Apparemment oui puisqu’il la projeta au sol avant même qu’elle ne remarque qu’il était déjà là. J’hallucine… s’exclama à voix basse la rousse tout en se prenant la tête à deux mains, pourquoi merde se tenait-elle au toujours au mauvais endroit au mauvais moment ? Dire qu’elle venait de dire à la jeune femme que quelqu’un risquerait de mourir par sa faute aujourd’hui…elle repensa à ce Jo... la culpabilité s’empara finalement de la rouquine qui se mit frénétiquement à trembler. Elle portait sincèrement la poisse…elle méritait très certainement de mourir encore une fois.

EXTÉRIEUR:

Cassie Williams avait appelé sa grande sœur. Cette dernière paraissait enjouée de ce coup de fil, son ton de voix le traduisait. La belle Linda désira rejoindre sa frangine une fois ses courses terminées. Cass attendrait quoiqu’il arrive. Les emplettes de Line pouvait durer des heures, l’ex-serveuse ne bougerait pas de l’extérieur. D’ailleurs, elle était toujours en compagnie de son ami pas très recommandable. Ils fumèrent encore. Soudain, Jonathan son grand-frère, fit son apparition. Elle sourit, étonnée à la vue du fermier.

- Salut John, je faisais mes courses et toi?

La jeune femme n’avait rien acheté, les magasins, surtout alimentaires, n’étaient pas sa tasse de thé. Cassie se préoccupée plus de sa drogue qu’autre chose. La blondinette se demandait ce que Jo faisait dans le coin. Elle fut extirpée de ses pensées par un bruit venu de l’intérieur: des coups de feu. Cass s’inquiéta principalement pour sa sœur, coincée dans le magasin.

- Jo, Line est là-bas. Tu crois que…?

Elle stoppa nette sa phrase. Elle espéra que Linda allait bien, que les coups de feu ne l’avaient pas blessé, que tout ceci soit du vent. Les flics, la brigade du SWATT et des ambulances débarquèrent: la situation était donc bien réelle.

- Mer** . John, il y a un tueur à l’intérieur du centre commercial.

Cinéma

Elle ne voulait pas que son copain parte. Ali expliquait au faucheur qu’il pouvait ignorer son rouquin de frère jusqu’à ce que ce dernier soit confortablement assit à regarder son film romanesque. La brunette essayait, du même coup, de le calmer. Depuis qu’il était entré dans le cinéma, Jared n’avait cessé de s’emporter contre l’infirmer. Bien qu’Alice ne comprenne rien dans ce petit manège, rien ne l’empêchait d’essayer. Riley savait que son petit ami allait se défendre, il le faisait toujours, mais juste avant qu’il puisse dire un mot, un son sourd se fit entendre. La new-yorkaise posa ses yeux bruns sur Lee qui, par son aire songeur, avait lui aussi entendu le bruit. Et voilà que le son se répéta une seconde fois, troisième fois et même une quatrième fois.

Soudainement, Lilice entendit des cris provenant de l’extérieur du cinéma. Mais qu’est-ce qui ce passe ? se demanda la brunette. Cela était étrange d’entendre des cris dans un centre-commercial, non ? Tout devenu clair dans l’esprit de la demoiselle, lorsque Red colla Ali contre son torse battit. Chaque paroles dites par le brunet faisait flipper de plus en plus la new-yorkaise. C’était surtout la dernière phrase qui avait glacé tout son sang : un tireur fou. Voyant bien que les clients du cinéma s’emportait, Riley crut bon d’intervenir. C’était quand même elle la responsable, non ?

Calmez-vous d’accord. Il ne faut pas s’affoler…

Bien qu’Alice ait l’aire en contrôle, et pas trop paniqué, c’était complètement le contraire en elle. Elle avait peur de périr, d’être une victime sans avoir causé le problème. Il faut être forte, pensa t’elle, tout va bien. La jeune femme osa jeter un coup d’œil par la fenêtre. Horrifié par le spectacle qui se passait au supermarché, Lilice se recula de la vitrine, heurtant une femme qui tremblait comme une feuille.

Cachez-vous en arrière du comptoir-caisse.

C’était la première idée qui lui était venu en tête. Alice resta auprès de Jared, n’osant pas reposer des yeux bruns vers la baie vitrée.

Che tutto il modne resta calma bordello!

Voilà que Riley commençait à parlé italien : la langue maternelle d’Eleni, sa mère, qui lui manquait terriblement en ce moment. Alice avait caché quelque peu son côté latino à plusieurs personnes, mais là, elle ne pouvait plus le nier. Elle pensait toujours que quelqu’un allait la traité de mafioso à cause de ses racines italiennes. Mais bon, ce n’était pas vraiment le problème du moment. Un tireur était en liberté dans le centre d’achat et la vie de plusieurs âmes étaient en jeux.

CINÉMA

**Aaron T. Webber était comblé d’un certain coté. Évidemment, ça n’avait rien à voir avec la présence de son frère Jared, qui contrairement aux autres, passait son temps à lui faire de la peine. Le roux savait très bien qu’il ne changerait jamais, alors il essayait de faire de son mieux pour l’ignorer. L’homme regardait ainsi Lindsay. Il se sentait honorer de pouvoir converser avec cette femme. Elle était si merveilleuse, depuis qu’il l’avait vu dans « Un soir de pleine lune » Il n’avait jamais arrêté de l’admirer. La jeune femme n’était peut-être pas aimé de tous lorsqu’elle tournait chez les vivants, mais pour Aaron, il ne voyait que son talent. Contrairement à tout ce qu’on lui avait dit et ce qu’il avait lu, la brunette se trouvait à être une femme très sympathique et joviale. Le rouquin ouvrit la bouche grandement lorsqu’elle lui posa une question. Aaron aimait bien le cinéma et surtout lorsqu’il y avait des acteurs qu’il admirait en tête d’affiche, mais rien ne put sortir de la bouche de l’infirmier qui entendit plusieurs coups de feu au loin. Les yeux de Aaron devient rond comme des billes. Sa gorge se referma et s’assécha en moins de quelques secondes. Ses bras et le reste de son coeur se mit à trembler et son souffle presque couper. La dernière fois qu’il avait entendu des coups de feu, il en était mort. Aaron Webber avait perdu la vie lors d’une fusillade, il ne pouvait pas croire que ça lui arrivait encore. Il avança d’un pas rapide pour se hisser derrière la starlette sans rien dire. L’homme tremblait tel une feuille au vent. Il ne se contenait pas et ne pouvait rien dire, retenant la cuisse de la jeune Linvingston.**

CINÉMA

**Lindsay souriait toujours a l'homme qui se trouvait devant en attendant la réponse à sa question. Son sourire tourna vite a la surprise quand elle entendit des coups de feu, oui oui elle était certaine c'était des coups de feu répété. La frisé tourna la tête vers l'endroit ou elle avait cru entendre le son d'une balle et resta figé sur place quand elle en entendit de nouveau et qu'elle vu l'ensemble des autres personnes paniqués. Pour avoir jouer dans quelques films d'action, la noir savait très bien à quoi ressemblait se genre de bruit, pour en avoir elle meme déjà tirer a quelque reprises pour le besoin d'un film. Lorsqu'elle sentit Aaron la tenir fermement par la cuisse elle revient à elle et tout déroula très rapidement dans sa tête, pour la première fois le scénario n'était pas déjà écrit. Lily regarda en un coup de vent les alentours et décida de tenter quelque chose avant que les balles ne se rapproche encore plus dangereusement. Sans s'énerver à cause des cris et de l'affolement général Livingston prit la main de Aaron qui semblait avec raison terrifier, et sans lui laisser le temps de riposter elle le tira derrière le comptoir ou déjà quelque personne prennait place.

Je te lache pas promit!

Sans lacher Aaron, malgré que sa propre main tremblait énormement, elle s'approcha tête baisser d'Alice qui s'était éloigner quelque temps auparavant pour discuter seule a seule avac son compagnon.**

Alice, c'est quoi ce malade? Ta une idée de ce qu'il faut faire?

**Continuant de regarder les vêtements chauds, la brunette se déplaçait tranquillement vers un autre rayon quand elle se fit bousculer. Puisqu'elle était extrêmement concentré sur la tâche, elle n'avait pas vu la rouquine se rapprocher et donc, n'avait pas pu éviter l'impact. Norris sourit au propos de la femme puisqu'elle venait tout juste de la voir bousculer une autre personne quelques minutes plus tôt.**

Pas de problème, ce genre de truc m'arrive souvent à moi aussi.

**Elle lui fit un sourire et sursauta quand elle entendit quatre coups de feu venant d'un autre magasin. Elle baissa les yeux sur le joli manteau rose qu'Holly avait fait tomber pour ensuite les reposés sur elle, ne savant pas trop quoi faire. Tracy tourna la tête pour regarder dans la même direction que la rousse et aperçu ce qu'elle regardait. Holloway se mit elle aussi à suivre des yeux les agissements de Jayden jusqu'à ce qu'il revienne et expliquer la situation.**

Eh merde, tu la dis !

**Dit elle, répondant au juron de la rouquine plus tôt prononcer. Une fois par terre l’infirmière ne put s’empêcher de s’inquiéter.**

On fait quoi maintenant . As-tu vu si la famille à survécu ?

**Sachant fort bien qu'à la vitesse où il était revenu il n'avait pas dû voir grand-chose , la brunette n’espérait pas trop, mais ça valait le coup de poser la question. **

Alyson s’apprêtait à quitter les nombreux gens qui s’étaient entourer entre elle et Jayden afin de finalement trouver de quoi ce mettre lors de la soirée d’halloween, et le tout en quatrième vitesse pour le pas faire attendre son mari et du fait même son fil qui allait se demander ce qu’ils fabriquaient encore.
La belle blonde avait donc choisie, plus vite que jamais deux robes qu’elle semblait apprécier suite à un minime coup d’œil de sa part. Vite-fait, mais bien fait, Lilas s’aventura dans la plus vaste cabine d’essayage pour ensuite retirer tout aussi rapidement ses vêtements qu’elle prit le soin de plier et qu’elle déposa ensuite sur le petit banc prévue à cet effet. Avec précaution elle attrapa la robe du dessus puis accrocha la seconde sur un crochet doré face à la porte bien verrouillée. Lentement afin de ne pas froisser le doux tissu qu’elle tenait entre ses doigts, Walker enfila la robe pour finalement entendre un bruit sourd raisonner dans la salle d’essayage. Croyant premièrement à une égratignure sur le morceau hors de prix, la blonde se retourna, examinant son dos dans le miroir, mais ni vit aucun trait… étrange. Se dit-elle tout en tentant de ferme la fermeture éclair de la robe noire lorsqu’un second bruit, suivit de deux autres identiques firent éruption ; là elle en était certaine; quelque chose se tramait.

Interrogative, Aly ouvrit lentement la porte pour y jeter un coup d’œil bref…seulement ses yeux restèrent accrochés à ce qui se tramait tout atour. Jayden semblait mettre tout le monde en garde ; baisant les deux femmes, dont Holly au sol. Qu’est-ce… commença en vint la blonde alors qu’elle fixait la vitrine du magasin, donnant directement sur le supermarché, là où se trouvait justement Jayson, son mari. En une fraction de seconde ses yeux changèrent. En un quart de tour ses mains se mirent à trembler. Non, elle ne pouvait perde son amour pour une deuxième fois ! Furibonde, mais chagrinée, Aly claqua la porte de la cabine avant de se diriger vers la porte du magasin de vêtements. JAYSON ! Cria-t-elle, voyant plus ou moins quatre personnes sur le sol, baignant dans une mare de sang ; pitié seigneur, ne me prenez pas ce que j’ai de plus cher une seconde fois…que sera Xander sans mère, sans père ? Chuchota, comme pour tenter de raisonner les dieux de lui accorder une chance, la douce blondinette affolée.

Je ne peux me résoudre à rester là. Dit-elle, retournant sa tête en direction de son cousin toujours accroupi, il devait se douter que la belle Alyson ne resterait pas sage en un moment de crise de ce genre ; et puis de toute manière elle faisait partie du monde magique parallèle, non ?

Je ne crains rien de toute évidence, n’essaie pas de me retenir Jayden.

SUPERMARCHÉ

**Johnny McRay venait de commettre un quadruple meurtre sous les yeux de tous les clients du supermarché et des environs, bien qu’une de ses victimes n’était pas encore morte, elle agonissait sur le sol. L’homme fit un rire. La préposée l’observait terrifiée, ce qui lui fit très rire. Il s’avança vers l’homme étendu sur le sol, un bon samaritain se rua vers l’homme pour lui porter aide, mais le tueur ne semblait vouloir que ça se fasse. Il leva le bras et lui tira directement dans la tête, le corps du sauveur tomba directement sur le sol. Une lisière de sang recouvrit la totalité du mur qui démontrait divers portraits des employés de l’entreprise depuis plusieurs années à des soirées bénéfices. L’homme retourna le regard vers la foule. Il constata la présence d’une policière qui s’était rivé dans le supermarché. John se mit à rire en levant le bras en l’air.**

Mademoiselle ! Et oui, vous la policière, n’essayez surtout pas d’essayer de me déjouer, parce que si vous me tirez, vous tuez tout le monde. Oui, oui Vous avez bien comprit !! Mais là vous allez me dire, pourquoi donc, si je suis mort blablabla !

**Le tueur leva le dessus de sa veste et on pouvait y voir une bombe attachée à son torse. L’homme tourna pour que tout le monde puisse bien voir ce qu’il possédait. Il sourit et dit.**

BOOM !

**C’est en même temps qu’il tira une vendeuse qui essaya de sortir de là.**

Supermarche :

June se trouvait là dans ce supermarché mais pas dans une situation habituelle car la belle était en train de sa cacher derrière un rayon pour ne pas se faire remarquer par un tueur fou. En faisant dépasser sa tête, la brunette voyait un peu ou les choses en étaient et elle eut une idée ne voyant pas le monstre tout près. Elle pensa à appeler les secours et aussi sa famille. Elle commença par composer le numéro de la police sur son portable. La belle brune tremblait tellement la peur l'envahissait. Elle fit une description rapide de la situation et elle les sema de venir au plus vite, tout ça en chuchotant bien sur. Sûrement que d’autres personnes l’avaient fait mais bon la jolie préférait être prudente. Ensuite elle appela Liam , son compagnon, mais à part bonjour elle n’eut le temps de rien dire car elle avait aperçut ce taré qui mettait bien en évidence le fait qu’il possédait une bombe sur le torse. Elle lâcha un petit cris de peur et elle en fit même tomber son téléphone à terre. Elle ne savait plus quoi faire. Rester là n’était plus l’option la plus sure mais elle était seule et elle ne pouvait donc pas agir car ça serait trop dangereux. L’homme continuait son massacre …

Supermarché

Cet homme devait avoir pété les plombs pour réagir ainsi... Je me permis de jeter un nouveau regard vers le tueur. Pile au moment où il abattait un homme venu porté secours au père de famille. Une balle en pleine tête. Je ne pus retenir un haut le coeur. J'étais peut être flic mais voir un homme tué de sang froid un autre homme... C'était juste inhumain. Mais dans quel bordel je m'étais fourré moi? Tellement sous le choc de ce que je venais de voir, je ne pris même pas la peine de me planquer quand le meurtrier se tourna vers moi, ayant soudain remarqué ma présence. Mais je tiquais quand il m'apostropha. J'étais sans réaction, le regard tourné vers la famille et vers l'homme qui avait essayé d'aider le père. Comment pouvait on agir ainsi? Qu'avait on fait subir à cet homme pour qu'il devienne froidement un meurtrier. Alors que j'allais le mettre en joue, il me dit de ne pas faire cette bêtise et que si jamais je tirais, je tuais tout le monde. Mais qu'est ce qu'il voulait dire par là? C'est au même moment qu'il dévoila la ceinture d'explosif qu'il avait autour du torse. Si j'étais blanche avant, j'étais surement devenu fantomatique en voyant ce que cet homme portait. C'était un cauchemar... Il fallait que se soit un cauchemar!

Il attrapa soudain une vendeuse du centre commercial qui venait d'essayer de s'enfuir... Au moins, ce n'était pas Helen... Oui, c'était peut être écoeurant ce que je disais mais dans ce genre de moment, vous faites d'abord attention aux gens qui vous sont chers. Je baissais mon arme et la rangeais avant de sortir de derrière ma cachette. Comment faire pour qu'il lâche cette pauvre femme qui avait l'air terrorisé? On m'avait juste appris à désarmé un meurtrier, pas à négocier avec un fou furieux qui venait tout juste de tuer 5 personnes! J'avais bien vu des films mais serais je capable d'échanger ma place avec la vendeuse... Dans ce genre de moment, toutes les vies étaient précises, que cette vie soit policière ou non.

"Laissez cette femme partir... Et prenez moi à sa place! La police a été prévenu qu'une prise d'otage avait lieu ici et ils n'oseront pas vous tirez dessus si jamais vous menacez directement un des leurs..."

Caleb allait me tuer si jamais il entendait cela... Mais à la guerre comme à la guerre. Si cela pouvait permettre à cette femme de s'en sortir vivante.

Alice était accroupit au sol, se demandait ce qu’elle pouvait bien faire dans un cas pareil. Une famille venait d’être tirée par un homme fou qui se tenait au supermarché. Le cinéma où Riley, Lee, Webber et Livingston se trouvaient n’était qu’à quelques pas du magasin. Ils pouvaient donc être attaqués à tout moment. La new-yorkaise dit à une femme affolé d’allé se cacher derrière le comptoir caisse. Plusieurs personnes suivirent la femme en plus d’une petite madame aux cheveux blancs comme la neige. Ce n’était pas tout, Lilice était si apeuré qu’elle avait laissé son langage de tous les jours pour utiliser l’italien ; employé régulièrement par sa mère dans son jeune temps. Rappelé hors de ses pensés, Ali fixait Aaron qui tremblait comme une feuille. Qu’avait-il pour trembler autant, se demandait la jeune femme. L’homme se cacha derrière Lindsay qui lui marmonna quelque chose qu’Alice ne comprenais pas, car les cris enterraient leurs paroles. La frisé s’avança vers la brunette, tenant toujours la main du rouquin et lui demanda ce qu’il fallait faire. Dans les yeux de l’employé ce trouvait des points d’interrogations. Riley ne savait nullement quoi faire ; elle n’avait jamais vécu une t’elle situation de sa vie de vivante comme de cadavre. Décidément, ce n’était pas la meilleure des journées pour toutes ces âmes. La new-yorkaise regarda son copain quelques instants. Elle croyait sincèrement que sa journée se terminait dans quelques minutes.

Que tout le monde se couche au sol…

Cria la brunette pour que toutes personnes présentent dans le cinéma l’entendent. Elle prit son courage à deux mains, et se leva. Alice se dirigea vers les comptoirs où se trouvaient les confiseries er les caisses, pour voir si personne n’avait fait de crise de cœur avec tout ce brouhaha. N’ayant rien n’a signaler de ce côté, elle rejoignit Jared pour se s’asseoir à ses côtés. Bien que Riley s’était promis de ne plus le faire, la curiosité l’emporta. Elle regarda de nouveaux dans la baie vitrée qui donnait accès au supermarché. Le scénario était identique, ou presque. Plusieurs personnes s’empressaient de quitter les lieux. L’horreur était à son comble, car une femme se fit tiré…Alice, prise de peur se cacha les yeux et se colla sur Zachary. Que ce passera t-il de plus horrible…